Dépendance sexuelle

Version complète : Une accro au porno, une de plus
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Citation : thierry vissac à écrit: N'avons-nous pas confondu notre élan affectif primal avec l'Appel de l'Unité ?
et voilà tout est dit. La dépendance n'est pas autre chose qu'une quête spirituelle qui se trompe d'objet, c'est à dire de direction. C'est bien ce que je crois et je l'ai clamé sur tous les tons ici. Maintenant, entre temps, que faisons-nous car il est clair que cheminer sur le Sentier à la recherche de son être vrai, est une démarche au long terme, et pour laquelle tout, absolument tout nous a désarmés : nos parents, l'école, la société, nos premières expériences issues de notre être incomplet et qui nous ont persuadés de notre incapacité fondamentale à trouver le bonheur en nous ; nous sommes fondamentalement aveuglés et biens conditionnés désormais à l'acheter à l'extérieur, à le troquer contre notre conformisme à tous niveaux. à l'opacité naturelle de l'être incarné s'est ajouté celle culturelle d'une civilisation qui a toujours utilisé l'Ignorance comme un ciment de son unité et un ingrédient indispensable à son fonctionnement. Voyant tout cela nous pourrions nous sentir à juste titre découragés comme si nous devions nous attaquer à une montagne à la petite cuiller. De fait, il y a une période de prise de conscience assez inconfortable pendant laquelle nous aurons à creuser en nous, à essayer de nous faire face enfin, et de cesser d'être jeté en dehors de nous-mêmes par nos inconscients systèmes de défense, comme les deux pôles nord des aimants. Il faut que notre pôle nord mental retrouve son pôle sud que j'appelle la Source, et qu'il fusionne avec. Alors la transformation se fera enfin. Ayant enfin trouvé la vraie nourriture de l'être, aucun ersatz ne sera plus nécessaire pour nous faire oublier que nous ne sommes pas comblés. Car nous serons comblés, et ce même au fin fond de la solitude du désert. Alors les relations seront vues différemment, nous pourrons donner, être pourvoyeurs pour autrui ; et non plus seulement des moribonds échangeant leur soif pour celle d'un autre en appelant cela amour.</p> <!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="156"> </w:LatentStyles> </xml><![endif]--><!--[if !mso]><object classid="clsid:38481807-CA0E-42D2-BF39-B33AF135CC4D" id=ieooui></object> <style> st1\:*{behavior:url(#ieooui) } </style> <![endif]--><!--[if gte mso 10]> <style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style> <![endif]-->
<p class="MsoNormal">@John Warsen</p> <p class="MsoNormal">Bon alors disons que je ne suis pas sûre de vouloir arrêter ? En faite j'en sais rien, je suis perdue. Je me sens dépassée par la situation Je me retrouve face à la réalité et elle me fait peur. Encore aujourd'hui, en cours on parle de choses que j'essaye d'oublier et dont je n'aime pas spécialement débattre puisque ça me renvoit à mon passé (mort&hellipWink je sais que « c'est la vie », mais habituellement suite à ces cours-là j'utilisais mon échappatoire, et maintenant je me force à ne plus en avoir. Je ne suis pas sûre de vouloir vraiment arrêter, et pourtant ça fait trois jours que j'ai arrêté, alors ce n'est pas possible. On ne peut pas vouloir continuer quelque chose alors qu'on s'en empêche. Je sais plus vraiment quoi penser. Et j'ai peur que tous, vous désespériez à m'aider, je me désespère moi-même&hellip;</p> <p class="MsoNormal">Soit le problème c'est que je ne veux pas entendre ce qu'on me dit, soit c'est autre chose. En tout cas je ne sais pas ce que c'est.</p> <p class="MsoNormal">J'ai compris que j'étais aussi une dépendante affective, vouloir être reconnu, se sentir exister... Je ne sais pas si c'est valable aussi pour se sentir utile mais c'est aussi ce que je ressens. Et le métier que je veux faire est directement impliqué dans ce sens (travailler dans l'humanitaire). Je me suis rendue compte que j'avais beaucoup de culpabilité en moi et que je faisais tout pour aider les autres, même si les autres pensent que j'en fais trop, moi je trouve que je n'en fais jamais assez. Bref, pour l'instant c'est le mystère, je me cherche, je sais pas où je suis, mais en tout cas j'ai pas replongé pour le moment. Concrètement, qu'est-ce qu'il se passe ? C'est normal que je sois perdue ? Où est-ce que j'en suis ?</p> <p class="MsoNoSpacing">Quand il dit que : « <span>Je ne dis pas que les relations doivent être évitées</span> », j'avoue que ça m'arrive souvent de les éviter, même amical, pour ne pas prendre le risque d'être abandonné. Je me mets volontairement en retrait lors de nouvelles rencontres.</p> <p class="MsoNoSpacing"><span>D'un côté je sais bien tout ça, qu'il faut chercher en soi et pas en l'autre et c'est aussi pour cela que j'ai toujours refusé d'être avec quelqu'un, parce que ne me connaissant pas totalement moi-même, les dégâts sont plus facilement réalisables je trouve. Et puis je ne m'en sens pas capable aussi. Et aussi pas digne d'être aimé. </span></p><p class="MsoNoSpacing"><span>C'est comme si je voulais racheter mes fautes au monde tout entier.</span></p><p class="MsoNoSpacing">Pour la culpabilité que je ressens et le fait que je veuille toujours en faire plus, est-ce que cela pourrait être explicable par mon passé ? Parce que j'ai bien des idées qui pourrait expliquer cela. Pour certaines choses, je me sens impardonnable. </p> <p class="MsoNoSpacing"><span> </span> </p> <p class="MsoNoSpacing"><span> </span></p> <p class="MsoNoSpacing"><span>@Fritzecat</span></p> <p class="MsoNoSpacing"><span>Suis-je dans la période de prise de conscience ? J'arrive pas à savoir où j'en suis (je crois qu'on le sait depuis le temps&hellip; mais je le redis encore et toujours).</span></p> <p class="MsoNoSpacing"><span>En faite si nous ne sommes pas heureux et que l'on cherche à combler notre manque, c'est parce que la société actuelle nous « a enlevé » la capacité de le faire, ou nous a démontré que c'était introuvable ? </span></p> <p class="MsoNoSpacing"><span>Pour « trouver l'amour », enfin je préfère dire pour pouvoir être avec quelqu'un et construire quelque chose de sain, il faut d'abord réfléchir à qui nous sommes nous-mêmes sinon on cherchera à combler un manque que l'on n'arrivera pas à combler avec l'autre ? C'est ça ?</span></p>
oui, et non seulement réfléchir à qui nous sommes, cela ne serait pas d'une grande utilité d'en avoir une idée mentale, mais de découvrir ce que nous sommes réellement. le sentiment de manque et d'incomplétude vient directement du fait d'être coupé de soi-même et de rechercher la solution à cette rupture vitale à l'extérieur, ce qui ne peut qu'engendrer des catastrophes...
Oui, et nous sur ce forum, nous avons trouvé la solution à cette rupture dans l'addiction. On cherche à oublier notre présent, notre avenir, on fait tout pour se cacher dans l'addiction pour ne pas vivre nos émotions, notre vie. On se voile la face parce qu'on a peur de la "vraie vie". Refuser cette addiction, c'est comme refuser mon refuge, j'ai plus de refuge et d'ailleurs je crois qu'il n'en faut pas. Mais depuis ces années, après un refuge malsain trouvé, j'allais vers un autre, cette fois je veux pas que ça recommence.Mais même si je sais que ça me fait plus de mal que de bien, je "rêverais" de retourner dans mon refuge, que tout soit comme avant, quand je ne savais rien. Mais bon, ce n'est pas une solution, faut avancer et régler les problèmes. Alors je tiens.
Bon, du positif et du négatif...Pour le négatif, disons que comme je l'avais cité plus haut mon père est gravement malade, et cela ne s'arrange pas... Je ne veux pas de cette situation (comme beaucoup je le sais). Mais punaise, je ne veux pas en entendre parler (ma psy dit que j'ai une immense "façade"... Pas super cool). J'essaye de me sortir du passé et voilà que j'apprends que son état empire. Bref, j'en ai assez. Mais je tiens bon, toujours. Je ne sais pas comment je fais mais je tiens, pas le choix. Je suis toujours là pour eux (ma famille), toujours là pour leur rendre service. Ils sont tous terrifiés, meurtris, alors quand je suis là ils se reposent un peu sur moi. En plus j'ai pas envie de leur rajouter mes problèmes sur le dos. Ils arrivent déjà pas avec les problèmes de santé de mon père, alors j'essaye de ne rien dire, de montrer que ça va bien, que je gère le truc. Et pour le côté positif, j'ai vu ma psy, donc pour la dernière fois (enfin officiellement à l'hôpital, car on se revoit en Avril mais dans un "autre cadre" si on peut dire), je lui ai dit que j'avais beaucoup de problèmes sur plusieurs plans dont le fait que j'ai une addiction, sans la nommer. Elle n'a pas cherché à en savoir plus, ça m'a rassurée, j'avais un peu peur de sa réaction. Elle m'a donné le nom de 2 de ses confrères, de ce côté là je pense que je suis "sauvée", je vais pouvoir dire ce que j'ai sur le coeur depuis de nombreuses années, depuis l'enfance pour certaines choses.Sinon, je n'ai pas rechuté depuis lundi, ça fait 6 jours. Je tiens bon même si parfois j'ai envie de rechuter. Voilà, que de joies, on relativise. Je fais tout pour que tout se passe au mieux, mais ça se "barre en sucette", désolée de l'expression. Mon monde s'écroule encore plus, de jour en jour. Mais je tiens bon, alors ça va. Quoi dire de plus, je ne sais pas. Je ne sais pas où la vie m'emmène, mais c'est encore droit dans la tristesse, alors on relativise, quoi faire de plus.  
salutbon il y a un truc qui est hyper important et qui peut aider beaucoup pour franchir des étapes difficiles comme la situation que tu nous racontes, et c'est d'apprendre à respirer. j'avais posté ça sur mon fil, et je viens de regarder la série de vidéos. le conférencier est un peu pénible à parler trop vite, ceci dit ce qu'il dit est très utile. ça peut paraitre simpliste d'apprendre à respirer, mais prêtes bien attention à ce qui est dit, écoutes plusieurs fois les vidéos si tu peux, pour t'en rappeler et surtout commence à mettre cela en pratique. l'enseignement est simple pourtant les bienfaits qu'on peut retirer de la respiration consciente sont énormes, vraiment je t'assure. le chi kung n'est rien d'autre qu'une école de maitrise du souffle. donc de maitrise de l'énergie et de maitrise émotionnelle.essaie, je suis sûr que ça peut t'aider...http://www.youtube.com/watch?v=TIHrZnGUlA4 <p class="MsoNormal">http://www.youtube.com/watch?v=TzHreRjVvko</p> <p class="MsoNormal">http://www.youtube.com/watch?v=joRdp00NNio</p> <p class="MsoNormal">http://www.youtube.com/watch?v=CZ36FV6iLhw</p>
Merci, je me lance dans les vidéos !Je ne connaissais pas du tout le chi kung, alors essayons. Merci Smile 
ça c'est pas vraiment encore du chi kung, bien que ça s'en rapproche, c'est de la respiration consciente, mais ça a des effets puissants. je dirais que le principal obstacle c'est de ne pas y croire assez parce que ça parait trop simple. et en conséquence ne pas s'y tenir ni persévérer.les occidentaux ont la manie du compliqué et de l'artificiel, beaucoup de choses inefficaces, mais ils y croient, hélas, et ils persévèrent malgré que ça ne marche pas, parce qu'on leur bourre la tête dans les médias... extrais-toi de ça, c'est mortel ! les choses les plus naturelles sont les plus efficaces, mais faut avoir un mental fort pour sortir de la pensée unique dictée par les labos qui veulent vendre leurs poisons. warsen va encore dire que je sors du sujet, et je vais encore répondre que tout est lié... bon courage...
Ah non, je vais rien dire du tout, j'ai pu apprécier le pouvoir de la respiration consciente quand j'ai fait du rebirth, suite à une grosse déprime en 2007. Y'a pas besoin d'y croire, il suffit de pratiquer pour apprécier les effets.
<img style="float: left; padding: 2px" src="../../../uploads/smil3dbd4d6422f04.gif" border="0" alt="Content" title="Content" /> Vous m'faites marrer !Bon pour les vidéos, hier soir j'étais trop crevée alors je les ai pas toutes vu, mais je compte m'y mettre dans la journée.Sinon, je me sens hyper stressée pour la santé de mon père (les vidéos vous allez me dire !!! J'vais en regarder une là pendant que j'ai le temps). Du coup la seule chose à laquelle je pense et qui m'obsède : "Trouve-toi un truc pour tout oublier, et vite !!!!!!!!" Mais non. Je ne fais rien, j'attends. Tout se mélange dans ma tête mais c'est pas grave. J'espère que ça ira mieux, enfin faut pas trop y compter non plus, faut que je me fasse une raison.  
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