Salut,

premièrement j'aimerais ne pas avoir des sentis et impressions de...sur le choix de la solution.

Bon...

Je suis rendu à une étape importante de mon sevrage, vers la sobriété sexuelle...

(mi-mars 2012), je suis en évaluation intensive depuis hier dans un centre de trouble de comportements sexuel (cas judiciaire et non judiciaire, mon cas)...L'organisme le plus spécialisé pour notre dépendance...Je suis content...dans les mesures des circonstances!

Lors de ces nombreuses heures d'évaluation...j'ai du commencer à me positionner avec un des intervenant sur la prise de médicaments-traitement médicale...possible...me demandait mon ouverture ou pas...à un éventuel traitement...J'ai répondu favorablement...mais avec réserves...

 J'aimerais avoir des gens (du site ou des références) qui ont fait un traitement hormonal...ou autres types de traitements.

Pouvez-vous me dire pour vous: Ce qu'on été les effets secondaires...sur votre sexualité par la suite (gout, effets sur les érections, effets sur la précocité ou améliorations des)...Votre vie en général (familliale, amicale, relations de travail)...et surtout vie avec conjointe...Est-ce que je serrai en mesure de continuer mon travail sans problème...

Est-ce que ceci est complémentaire à ma thérapie comportemental...?????

 Je ne suis pas encore rendue là...mais je suis un peu angoissé devant l'inconnu...

 J'ose croire que ceci m'aiderait...

 Quel ont été les effets directs de vos traitements...bon...mauvais...leurs limites...ce que vous avez cru...et avez constaté...

 Quels ont été vos sentis quand vous avez arrêter vos traitements...si tel est le cas...Est-ce que ceci a clouer le cercueil une fois pour toute de votre luxure (addiction au sex)...

 

J'ai besoins d'avoir des références...je ne suis pas un pro pillules...mais je me rends bien compte des fois qu'un cachet m'enlève un mal de tête subtil...ou m'aide à dormir malgré un mal d'épaule ou de dos...Donc...

 De plus, est-ce que ces traitements sont réversibles dans le temps...exemple après 3 ans...4 ans...quel est l'effet de la non prise des traitements...exemple si je décide d'arrêter... 

 

Merci...essayer de ne pas tomber dans les jugements...et sentis généraux de...est-ce bon ou pas...J'aimerais favoriser des faits et expériences.

 

Salutation, merci beaucoup de votre temps...aide.  

Alexandre 

Bonjour,J'ai lu attentivement ton post et je trouve intelligent le fait de se renseigner comme tu le fais.On ne prend pas des médicaments à la légère, de un. De deux, et dans certains cas, ils sont nécessaires quand tout le reste a échoué et qu'il y a souffrance ou risques pour soi et/ou pour l'entourage.S'agissant des anxiolitiques ce que je peux en dire, (j'ai vécu avec deux femmes atteintes profondément par ce genre d'addiction sexuelle et compulsive et j'ai une formation en psychopathologie et en musicothérapie donc j'espère que je pourrais être utile face à ton questionnement) c'est que bien qu'ils aient un effet calmant visible et rapide, le revers de la médaille c'est que t'es vaseux et inapte à bien des tâches. Ils font oublier mais ils ne règlent pas le problème de fond et ils ont un effet endormissant qui n'est pas négligeable, bref, tu roupilles et t'es hors de toi-même sans véritablement trouver la paix à mon avis (Tranxèn, Lexomil, etc). Expérience et vécu thérapeutique : ma première épouse présentait des symptômes de psychose avec hallucinations. Avant d'engager une relation sérieuse avec elle (j'étais aux études et étais moi-même en thérapie pour la validation de stage) j'ai exigé qu'elle consulte car bien qu'étant très cultivée, intelligente et belle, elle était sérieusement désiquilibrée par les halu. Donc la première fois qu'elle a été en psychothérapie, le verdict de la psychologue est tombé : addiction sexuelle compulsive avec hallucination à la clé. Dans ce cas il faut vraiment un traitement médicamenteux pour éliminer les hallucinations mais elle a refusé catégoriquement d'en prendre. La psychologue (une sommité) a engagé un traitement sous forme d'hypnose et là, miracle. Tous ses symptômes ont disparus. Ensuite elle a continué la thérapie pendant deux ans.Second cas : ma dernière compagne est aussi atteinte du même mal mais elle a plutôt des symptômes physique de manque. L'hôpital psychiatrique lui a prescrit des anxiolitiques avec les effets décrits plus haut. Ceci a occasionné quelques effets positifs à savoir qu'elle arrêtait de se prendre la tête mais dans l'ensemble ça a été catastrophique car elle végétait et dès qu'elle arrête ça revient en pire. Actuellement elle tente aussi l'hypnose qui ne laisse aucune trace négative, bien au contraire, c'est tout simplement génial et quand je la vois après une séance d'hynose, elle est super calme et bien relaxée, elle ne ressent plus aucuns trouble et je n'y vois que des effets positifs. Donc il faut je crois envisager d'autres traitements que les médicaments car on serait surpris de voir qu'une autre voie existe dans cette pathologie. J'espère que je n'ai pas dérapé en t'écrivant et que celà t'aidera à choisir la meilleure voie pour toi.

 le revers de la médaille c'est que t'es vaseux et inapte à bien des tâches. Ils font oublier mais ils ne règlent pas le problème de fond et ils ont un effet endormissant qui n'est pas négligeable, bref, tu roupilles et t'es hors de toi-même sans véritablement trouver la paix à mon avis (Tranxèn, Lexomil, etc). Mais ça doit dépendre des médicaments, peut être que c'est valable surtout pour les anxiolytiques, parce que John Warsen ils lui ont filé des trucs contre la dépression qui lui ont fait péter le feu. Apparemment, pour lui c'est le contraire, ça l'a rendu plus hyperactif que végétal. Il faudrait lui demander ce qu'il en pense maintenant qu'il a réduit les doses.  

Ouin... et les traitements hormonale...? Je me rends compte que ceci est pas mal pointue, marginal et non fréquent comme acte de guérison... Mais disons si ceci est un acte positif en réponse à mes actes négatifs passé...et présent... Bon...Hypnose...je ne suis pas un bon candidat...déjà essayé. Mais il y a longtemps...peut-être une autre tentative...Pour Jonh Warsen...j'ai lu à ce sujet ses poste...moi aussi ...quand il pettait le feu...je trouvais cela drôle...ce qu'il écrivait...Pourtant, je trouvais contradictoire l'effet qu'il obtenait et mes intentions de guérison...soit: de modérer mes montagnes russe de mes émotions...Hi-down...heureux...dépressif...Je ne veux pas geler les down...en créant des hi perpétuel...mais bon je sais que je suis TDA...Donc peut-être que le ritalin serrait une révélation!??? Je vais voir... Ce matin, PROPREMENT DIT,  j'essaie de comprendre pourquoi je suis si angoissé et tournée sur mes sentiments (apeuré/angoissé) de voir ma conjointe devoir aller voir un psy (dépression momentanée)...Je me rends compte (un an et 2 mois plus tard; du fond de mon baril) que toute la merde que j'ai mis est encore bien là et en ce printemps avec la fonte de la neige...on voit la merde sortir...et j'ai emerdé du monde...que j'aimais et qui m'aimais...ma conjointe... Je ne me souhaite pas qu'elle me quitte...mais on dirait que c'est tout ce que je méritte... Merci de continuer à m'écrire sur le sujet lancé (traitements médicaux)...ceux qui on eu une expérience avec traitements médicaux ou hormonaux!   ps: je suis loin de la prise de médicament en évaluation psychiatrique...et non je ne dois pas régler une dépression associé à mon sexolisme mais bien règler mes pulsions...sexuelles et idées sexuelle et de séduction...et aussi de rage... Nuage semblait avoir des conaissance à se sujet...mais bon... Je crois que ce nouveau psy a raison...simplement dit: JE ME PERMETS CES ACTES... Pourquoi? Est-ce que MOI j'aurais plus le droit que x-y-z M. Mme tous le monde...Pourquoi Moi j'ai le droit de...Me fâcher...Pleurer....séduire...cruiser...penser à des délits....violenter...dénigrer (en mots ou pensé)... Quel beau monstre que je suis...était...Apprendre et persévérer dans des comportements!Alexandre 

c'est cool je vais pouvoir écrire typiquement quebecoisbon...  un monstre??? quel monstre??on a tous des émotions positive et des negatives corvus.. tout le monde!! ;-)non mais penses-tu que j,ai pas envie d'étriper mon ado quand elle vire une brosse a en etre malade??ou quand DES employés ne voient pas a leur job et change un cheque post daté (que j'avais pris soins de surligner la date en jaune en plus)  et que ca fuck toute mon compte de banque et mes paiement qui y passent? penses-tu que j'ai pas envie de les engueuler et leur foutre une taloche en arriere d'la tete a défaut de mon pied au cul?  faut apprendre l'art de mettre ca a notre avantage..moi je chiale un bon coup, ensuite j'analyse le comment du pourquoi.. je comprend plus de choses, ca m,apprend sur l'incompetence entre autre et sur l'attention aussi, donc, je prend la lecon pour ne pas faire le meme genre de gaffe..j'apprend a exprimer ce negatif aux personnes concerné.. il y a des commentaires negatif, et constructif.. pour la médication je ne sais pas, suis pas une personne pilule.. j,ai de la misere a prendre des tylenol et/ou des vitamines lol par contre j'ai deja écouté un Emission radio ou il y parlais des prédateurs sexuels (violeur, pedo etc) et il y avait des temoignage de personne qui ont accepté la therapie medical, la plus part c'était ce quil nomme la castration chimique, et il y en avait 1 c'était la castration physique..dans tout les cas ils ont dit la meme chose, ca aide, mais ce n'est pas l'ultime solution.. la seule chose que ca faisait c'était de les aider pour pouvoir voir plus clair leur probleme et les regler..donc, comme pour tout medicament, ce n'est qu'un calmant..on fait toujours mieux face a un probleme quand on est calme..la castration chimique ou physique doit etre laissé selon moi au cas extreme (violeur, abuseur etc)pour ce qui est de la dependance sexuelle, la traiter comme pour tout autre dependance..il y a eu un temps, ou j'ai vecu un stress important.. ma psy m,avait glisser un mot de peut etre prendre quelques chose pcque j'était tellement stressé, en quelques sorte en état de choc, que j'était pas mal embrouillé.. je le constatais moi-meme.. je lui ai alors dit, je vais appliquer les methode de relaxations et essayer de me clamer par moi-meme et on verra au prochain rendez-vous..j,ai sorti la documentation sur le sujet que j,ai, j,en ai appliqué.. et j,ai pu continuer sans medicament.. ca n'a pas été facile, mais je l'ai fait et j'en étais ben fiere  un expérience et acquis de plus a mon cv de la vie j,ai eu des amis héroinomane.. tout on eu droit a la méthadone... tout m'ont dit la meme chose, ca aide, mais ca ne regle rien.. ca ne fait qu'aider a regler..donc, la solution, elle est entre nos 2 oreilles ;-)