Allo

Deux semaines avant ma fête, une rechute.

Les faits : J'avais téléchargé un film sur internet, la première version était un film XX, la deuxième aussi, il en restait une autre en téléchargement qui n'indiquait rien de tel. Alors il se télécharge (le film) tranquillement et dimanche alors que ma femme part faire les courses, je décide de regarder ou ca en était et boom un nouveau film XX, que cette fois j'ai regardé, surement parce que j'étais tout seul et que je pouvais me permetttre, car d'habitude je supprimais ce genre de chose sans hésitation.

Le coupable : Moi, après mon geste, un gout amer dans la bouche, car comme toute chose, c'est ephemere et ca ne procure qu'un court plaisir qui disparait vite.

Le dénonciateur : Encore moi, car aussi bizarre que ca puisse paraitre, ca me faisait chier de garder ça pour moi, j'ai chercher vainement à le dire à ma femme, mais sans résultat, alors j'ai craché le morceau par mail et j'étais soulagé car je ne l'avais pas gardé pour moi !

Le compte est à zéro, je ne sais pas si le 15 du mois, c'est mieux que le 30, mais retour le 15 du mois de mai pour fêter mon premier mois !

Je repasse derrière mes amis.. Nicolas, Polo, ...

Au plaisir de vous revoir dans la course !

Tu énonces les faits, le coupable et le dénonciateur... je frémis à l'idée qu'il manque à cette assemblée le bourreau et la victime !
si tu fais reset, n'oublie pas de te faire risette ! :lol: c'est à dire de faire contre mauvaise fortune bon coeur.
l'essentiel, c'est de ne pas sombrer/te réfugier dans la culpabilité, qui est comme un cimetière dont toutes les croix portent ton nom, et de repartir d'un bon pied, un jour à la fois. A nos âges, le pli est pris, on ne va pas revenir en arrière, à moins d'être complètement masos. Vas-tu toujours aux SA ?
il est étonnant que malgré les conseils du Grand Schtroumpf "ne téléchargez que de la musique" nous persistions à télécharger des films. Ca s'appelle jouer avec le feu, le risque étant de se cramer la moustache.
Je me rappelle les instants d'épouvante, de terreur pure quand je découvrais qu'au lieu de pirater tel film récent je me retrouvais avec une cochonceté coincée au bout de l'hameçon. Pour éviter une telle mésaventure (je ne puis parler d'arnaque puisque le fait de pirater des films est une entourloupe au droit d'auteur), il existe des sites où l'on ne trouve que des films "certifiés conformes", mais ces sites sont eux-mêmes truffés de bandeaux pour des films et sites pornos. Avec de l'entrainement, on peut réduire et recadrer la taille de son navigateur de façon à éviter ces bandeaux, mais on n'échappe pas au questionnement sur "à qui profite le crime" (ou qui le finance).
Renoncer au téléchargement, comme j'ai renoncé à mon blog et au tabac, fait partie de mes priorités, même si j'y vais mollo : je ne veux pas pêter les boulons en ne mettant "que du moins" dans ma vie, il faut que j'y ajoute du plus aussi.
La prochaine fois qu'une telle mésaventure t'arrive, essaye de penser à donner un coup de fil AVANT pour ne pas repartir dans les affres des débuts, même si ça te rappelle ta jeunesse.

Courage, c'est pas la fin du monde, tu sais bien que tu as toutes les clés en main et nous aussi ça nous est arrivé (et ça nous arrivera peut-être avant qu'on ait eu le temps de réagir) alors le plus important est de reprendre tout de suite ton bâton de pélerin.

En route :Hello:

Polo :-)

Et ben avec John on est sûr de s'en prendre plein les dents John ce qui te chagrine c'est l'humour pourri que j'ai utilisé dans mon poste alors que j'aurais du être navré et fermer ma gueule ou juste le fait que j'ai avoué pirater des films pendant mes longues soirées d'hiver ?

Réponse en pv ou par tel comme c'était prévu lol

a+

Bonjour...

Le mieux est de couper l'internet. Ces temps-ci, c'est ce que je fais et je m'en porte pas trop mal.
Pour l'instant, je suis addict au chocalat de Pâques, au point que mon transit en souffre :lol: !

A bientôt, Nicolas.

Moi j'ai deux addictions, le sex et internet, alors deja que j'en coupe un (au sens figuré , si je dois couper les deux ca va être dur dur..

A bientôt Nicolas !

Ben je te comprends, je cumule aussi (sans parler des chocolats de Pâques et autres, je ferais bien de me remuer un peu plus...)

Ce qui m'a toujours démoli et qui continue ce sont les images. Une seule image et c'est la machine infernale, le tapis roulant sur lequel il est très difficile de faire marche arrière.

Et là ça va pas fort. Je m'accroche tant bien que mal, mais on est très loin du Nirvana. Je passe ma vie à ramer et à en subir les conséquences, j'ai le sentiment que tout s'est dégradé autour de moi. etant le seul point commun je finis par me dire que j'en suis la cause...

Faudrait peut-ête que j'envisage une nouvelle pause. On verra. Tout ça pour dire qu'on en est tous ou presque tous réduits à naviguer dans le brouillard. Tant que la mer est calme ça va mais dans la tempête et les icebergs faut s'accrocher.

Bon courage, patience et rigueur. Que nous souhaiter de plus ?

:-)

allo Polo

As tu prévu de participer aux groupes d'entraides virtuels ?

Juste besoin d'un micro, d'écouter les autres et de parler un ti peu

a+

Suis un peu largué ces derniers temps. Là j'ai eu des congès d(où ma présence, sans quoi j'évite de roder autour de l'ordi.

Mais je vais regarder le post en question, et pourquoi pas, après tout, ça ne peut qu'être profitable.

Pikmin, je ne suis pas allé au bout de ma pensée, il n'y avait nul sarcasme sous-jacent. Quand je te dis "Tu énonces les faits, le coupable et le dénonciateur... je frémis à l'idée qu'il manque à cette assemblée le bourreau et la victime !" c'est pour dénoncer la dureté avec laquelle tu te juges. Qui est semblable à la mienne. Coupable, dénonciateur, bourreau et victime sont du même côté du bateau, qui le fait dangereusement pencher sur babord, au risque de précipiter l'équipage à la flotte. Il y manque (et je ne les avais soulignés que par l'absence) d'autres membres :lol: que je te laisse nommer toi-même.
(en ce moment, http://vivrelibre.free.fr/textes/souffrance.html)
Seule la spiritualité, la psychothérapie et le pardon me délivrent un jour à la fois de cet épouvantable tribunal de guerre.
Vas-tu toujours aux SA ?
Comme Nicolas, je ne vais pas attendre ma prochaine rechute pour couper internet, donc sachant que la cyberaddiction préexiste chez moi au sexe virtuel, je travaille sur les deux en limitant au max ma présence devant l'écran.