Bonjour.

John disait en substance que la branlette n'est que l'arbre qui cache la forêt causale. On est pas dépendant parce qu'on aime le cyberporno, mais parce que nous sommes prédisposés à recevoir le message pornographique.

Je voulais mettre à votre attention le fichier suivant :
http://www.manageris.com/francais/PDFs/MAN_121a.pdf
Un truc de "manager", certes, mais intéressant à lire, je pense car, pour moi, mes dernières chutes ont été provoquées par le stress.
En fait, une contrarité externe et assez lointaine du porno (un pb relationnel avec un collègue "difficile") a été l'étincelle. Puis d'autres stresss (je mets un s à stress au pluriel ;-)) s'y sont ajoutés, pour aboutir finalement à la chute, avec force pensées du style "j'y arriverai jamais, je ne suis qu'un gros pervers".
A défaut de pouvoir entreprendre un travail psy, qui expliquerait pourquoi on est si stressé, alors qu'il n'a pas tant de raisons que cela de l'être, on peut essayer de gérer ses propres tensions internes pour faire baisser la pression dans les moment les plus difficiles.

D'autres voies seraient intéressantes à explorer comme le Taï-Chi par exemple ou tous ces "sports" qui visent à faire baisser la tension.

Un truc que j'ai appris ce week-end sur le stress, c'est que stressé on est, stressé on restera, un comportement ne se désapprend pas. Mais par contre on peut apprendre à lutter contre le stress irraisonné. Et ainsi mieux passer les "moments délicats" devant son PC.

A bientôt, Nicolas.

Intéressant ton article, et utile aussi de se rappeler que "stressé on est, stressé on restera".

Une fois qu'on a pris conscience et décidé d'arrêter, on se rend bien compte que le risque au bout d'un certain temps vient bien d'une situation de stress plutôt que d'un stimulus visuel (là je parle pour moi, c'est peut-être l'occasion de me dire si je me plante...).

A nous maintenant d'apprendre à sentir le coup venir pour réagir le plus rapidement possible. Seulement comment gérer ce stress omniprésent ?

Dans les situation critiques, j'ai l'impression que je pourrais essayer n'importe quoi ça n'y changerais rien. Le plus efficace pour moi est encore de m'éloigner du danger et de raser les murs en attendant que ça passe.

Courage, on s'accroche :zen2: