l'article
free @ 17-03-2007 09:03:20

désir régressé au besoin:
Le modèle psuchopathologique tranosographique, des addictios, est ici pertinent pour éclairer l'objet de cette étude.En effet, l'urgence de la demande, la dépendanceau shoot, la pauvreté de la créativité seuxelle, le sentiment de ne pas exister(et les crises de manque) en dehors du terrain addictif, l'augmentation des doses pour parvenir à la tranquilisation, tels sont les éléments quotidiens des toxicomanes de la sexualité, que j'appelle"les égarés de l'amour".Etrangement, cette mendicité sexuelle, étroitement liée au fantasme de prostitution contiendrait dans sa réalisation même l'espoir fou d'une rencontre avec l'objet idéalisé.Si, depuis Genèse, le sexuel est intriqué à la conscience de la mort, les pratiques ici décrites recouvrent des dimensions de défi, de trangression et de déliaison : elles se caractérisent par leur caractère compulsid, irréfléchi et agi.L'autre, le partenaire sexuel, ne doit pas exister dans sa dimension identitaire et historique : il est un corps anonyme qui caresse, il constitue un soin pour le corps.Le sujet, qui a plusieurs partenaires par jour(dans le cas de rencontres physiques), est souvent dans l'incapacité, le lendemain de se souvenir de leurs prénoms ni même de leurs visages : il ne lui reste que les impressions, des souvenirs de sensations.Le partenaire n'estpas appréhendé comme sujet, ni même comme"autre".Il constitue une enveloppe de peau, une fonction réparatrice pour une personne en recherche urgente de se perdre, de s'abandonner dans les plaisirs de la chair, de quitter les fonctions intellectives.Dans cette forme de génalité sexuelle, le partenaire devient une sorte de corps étranger, venant pour un temps apaiser un pénible affect de vide, d'angoisse, de solitude.
La sexualité addictive, semble procéser d'une contestation in vivo, d'un modèle de relations objectales imprégnées d'attachement, d'apprentissage de l'altérité, au profit"passes"(puisque les termes de rencontre ou de relation) seraient ici déjà excessifs, mettant en avant le primat d'un certain anonymat sexuel et accrodant au fragile domaine de la sexualité génitale adulte un régime comparable à celui, économique, de l'offre et de la demande dans un supermarché.Chez les sex-addicts, après le coit, c'est souvent l'horreur de la présence en personne du partenaire.Quelques heures plus tard, le sujet semble ne conserver, en mémoire consciente, que les brides de sensations, des bouts d'images, qui, à l'opposé d'un puzzle, ne peuvent entièrement se reconstituer.L'effacement des traces de ce mouvement psychique de meurtre face à un partenaire qui doit"disparaître" en tant que singulier, qu'autre étranger.
Cette sexualité singulière que j'ai qualifiée d'impersonnelle, pourrait se justifier dans une tentative de reconstruction d'une fantasmatique sexuelle dont l'émergence ne pourrait avoir lieu que dans une position ou l'autre(le partenaire) pré"sent ne serait appréhendable sexuellement que du côté de sa présence physique mais surtout pas du côté de son idendité affective et sociale.Aller chercher des corps telle serait l'irrépressible tentation du sex-addict, dans son inépuisable quête d'excitations sexuelles, ne désire paradoxalement plus, ou de moins en moins, puisque le manque n'est plus cultivé et que l'autre n'est pas reconnu comme tel.
Le danger consiste en une putréfaction du désir, lequel a transgressé aux acractéristiques du besoin.Les risques de glissement vers la perversion sont alors plus élévés.


Il est utile d'insister sur l'importance capitale de la fonction du"toucher"(l'importance des mains" dans ces conduites répétitives.
La sexualité addictive, sous un tel éclairage, agirait comme une masturbation à travers le corps de l'autre, nié en tant qu'être qui parle.
La fuite tend à laisser penser que cette Mystérieuse angoisse(de castration? d'anéantissemnt? celle d'être seul face à la mort, comme face à l'amour?) pourrait se réactiver si un lien quelconque venait à être tissé ou ressenti avec l'autre.Le partenaire revêt en ce sens un statut d'obet partiel.Qu'en est il du statut de l'autre? L'autre l'être humain, animé par la parole?Souvent cette parole est court-circuitée, mise en échec, comme si le moyen de communication devenait celui plus symbiotique, du côté de la télépathie : on se comprend, sans se parler, en un simple regard.
Si la parole est tuée, s'inscrit on, dans une desumanité de la sexualité?
La masturbation frénétique, s'apparente à la psucopathie dans ce qu'elle revèle le clivage de la personnalité, une partie satisfait l'autre, et en tant que subsitut d'un amour, renvoie à l'humiliation vécue d'^tere sous le regard méprisant de la personne aimée.

extrait d'article de Vincent Estellon.
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Re: l'article
free @ 17-03-2007 23:03:37

et de là j'ai réfléchi à ce que je vis "sexuellement" avec lUi.
C'est pas d'amour, c'est pas de carresses, c'est pas de jouissance.Alors que çà marhait bien avantr.Mais comme être amoureux ne veut pas dire ressentir forcément, nan, je ne ressens rien ahjourd'ui avec lui.
Forcé, y a pas de préliminaires, je ne suis pas ADDICTE de cela, mais bon, retrouver sexuellement son homme, qui a été se booster sur internet à regarder je ne sais quoi, c'est pas trsè entrainant.Et je compati envers toutes ces femmes qui subissent l'acte sexuel comme tel : un truc immonde qui vous innode, alors que l'on ne pense pas à çà.
Les égarés de l'amour, c'est bien le terme, mais ne dervrait on pas de faufiler, se tirer ailleurrs, plutôt que de rester, d'attendre, d'esperer?
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Re: l'article
mette @ 18-03-2007 13:03:01

.....".....alors que ça marchait bien avant....".
Dis-tu Free.....

Je pense que nous cheminons tous ici bas à des "allures" différentes, grâce à des rencontres, des lectures, des blessures différentes, des aléas ou des bonheurs différents.

Le compagnonnage qui "marchait bien avant" peut, insidieusement, se révéler inadapté, bancal, inutile.....parceque le coéquipier (ou la coéquipière) est resté musarder plus loin derrière et nous n'avons ensemble plus grand chose à partager.

C'était son cheminement.
Ca n'est plus le nôtre......

Peut-être avons-nous avançé plus vite?
Peut-être avons-nous avançé mieux?
Peut-être avons-nous su "profiter" de tout ce cheminement?

Peut-être est-ce l'inverse?

Toujours est-il que nous n'avons plus besoin des mêmes stimulateurs pour tenter une évolution, toujours est-il que nous nous retrouvons parfois.....à des années lumières l'Un de l'Autre!

La question est alors : ai-je le courage de partir pour tenter de trouver un compagnon qui me tirera vers le haut ou bien est-ce que je me satisfait de celui que j'ai depuis des.....lustres ;-)en espérant qu'un jour, nous nous retrouverons quand même quelque part?

Moi je ne sais plus.
Ce que je sais c'est que je fatigue.
Je n'ai plus envie de tout redémarrer à zéro sachant que dans 5 ans......l'usure et la routine affecteront tout pareil mon nouveau couple et que l'émoi de l'apprivoisement dépassé, le sordide peut encore ressurgir!

C'est dur, c'est vrai de ne plus porter haut l'envie de cheminer ensemble. C'est presqu'un échec, pensons-nous.
Nous qui sommes si romantiques, dans le fond......
C'est dur, c'est vrai.
C'est une étape.
J'en suis sure.
Temporisons encore un peu ;-)
:Hello:
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Re: l'article
fish @ 18-03-2007 14:03:13

Pardon......
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Re: l'article
free @ 24-03-2007 22:03:08

nan, en y reflechissant, on ne peut pas ressentir de jouissance avec un dépendant.Ou du moins, pas avec le mien.
Quand çà lui prend , c'est tout de suite, et pas après, c'est pas un acte d'amour.C'est un apostrophe , une pasranthèse.
JE ne pense pas qu'un addict ne pense à la personne qu'il a en face de lui.
Il pense à se jouissances; à lui.
Fo pas prendre des lanternes pour des codependantes.
Et de là, autant j(ai pu faire des effforts envers lui, autant je n'en n'ai plus envie.Mais aussi je me dis, c'est que je l'aime moins, et que de tout çà, je m'en sorso bien.µ
Je n'ai plus envoe de lui.
0 force de mensonges, etc.....
çà vous retombe dessus.et c'est tant mieux.
Je vous laisse à vos penSées, moi, j'ai les miennes.
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Re: l'article
free @ 24-03-2007 22:03:32

Et, juste mette,
je n epense pas à un autre compagnon, parceque de que lui sera le dernier.pARCEQUE je me suis jurée que jamais je ne vivrais avec aucun homme;
Parceque today je n'ai pas besoin d'eux, m^^eme que d'un seul, je ne crois plus jamais en un seul, d'autant plus en plusieurs.
Quand on vitr une seule fois avec un dépendant, c'est être prtesque vaccinée vontre toutes les maladies.
J e ne veux pas être confrontée à cela.JAMIS;
iL se dévrouille , il continue de se rendre sur des photos de femmes, j'ai mon planning de fait.çà y est je revis, j'ai envie, je ne l'aime plus comme avant, comme accepter tout
jamais de la vie.
Il peut se demener ce qu'il veut moi, c'est non, je ne peux plus supporter les mensonges.
Comment peut on se suppporter devant une glace quand on raconte des conneries?
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Re: l'article
labardo @ 25-03-2007 00:03:41

[size=small][font=Verdana]Salut free![/font][/size]

Tu as raison quand tu dis que vivre une seule fois avec un dépendant, c'est être presque vacciné contre toutes les maladies! Je me demande souvent pourquoi, à travers celui que j'aime, j'ai à vivre ce cauchemar! Je n'ais pas demandé ça! Aucune femme n'a demandé ça! Et je ne te parle pas de la "belle-famille" qui me fait vivre l'enfer!!! Des fois je me dis:"qu'est-ce que je fais dans ce bout de rêve?" Et c'est lorsque je me pince que je réalise que je ne dors pas!

Excuse-moi, je suis un peu déprimée ce soir. Ça devrait aller mieux demain, nous fêtons l'anniversaire d'une de mes filles. Elle va avoir 23 ans! Je devrai prendre sur moi car elle vit des moments difficiles. Un de ses copains s'est enlevé la vie la semaine passée. Je veillerai sur elle! Je ferai tout pour que ce soit une belle fête!

Allez! On garde le moral! À + labardo! :love2:
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Re: l'article
free @ 25-03-2007 23:03:12

et j'ai besoin de me faire opérer des deux mains.Canal carpien disent ils.
Et je me dois de demander ou ma ma mère ou ma soeur de venir pour me seconder.Et c'est un comble quand j'y pense il ne bosse pas, ne passe son temps que sur l'ordi.
Comble de bonheur et comble de joie.Dans un cas "normal" il aurait pu être là.
Mais je ne suis pas dans un cas normal.Je suis avec LUI, le dépendant, multidépendant....Accroc à tout et encore.Je ne me plains pas mais, tout compte fait à fout une vie en l'air tout çà.
Et tout ce qui nous entoure, mensonges, etc........Comment peut on faire confiance à quiconque après?
Le pauvre.............le pauvre.
Alors je me dis aujourd(hui que ce n'est pas ma faute, ni de la sienne.Sauf que lui a choisi ses camps.Ses jouissances de la vie et pas moi.
Je suis sure aujourd'hui de ne plus l'aimer, je ne veux plus me cacher, et je veux revivre, sans lui avec moi, et sans lui à la maison.ol est plus facile de rompre si j'avais été chez lui.Là il décide de ne pas partir, je dois peut être prendre la force demander de l'aide.Et que pourrat il dire s'il demande de s'expliquer?
bah je serais franche, il est dépendant, multidépendant, ert çà je ne peux l'oublier
Impossible.
Mais je veux réussir ma vie, je veux penser à demain, ne pas vivre avec une sorte d'adolescent attardé, qui ne pense qu'à ce qu'il n'a pas pu faire, et je me rassure de cela.
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Re: l'article
luciolechrysalide @ 01-04-2007 21:04:31

MA FREE je t'envois tout mon soutien de luciole prend courage je suis avec toi en pensée;tiens le coup je crois en toi et ton dynamisme tu as des projets plein la tête je sais que tu vas y arriver.

TU ES FREE ET TU LE RESTERAS monsieur profiteur et briseur de ton coeur dehors. :-o

Désolée mais j'en ai marre que tu souffres comme ça :-(

avec toute mon affection :Hello:
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Re: l'article
free @ 10-04-2007 21:04:44

bsr tours,
j'ai failli à ne ^plus faillir.
Je suis aujourd'hui à me "remettre" avec mon ex.Trop de facilités va t on me dire, mais pour moi, non, 17 ans de vie commune avec un homme"normal" fait que, je suis bien.
Parceque je ne suis pas avec un "pervers" çà va choquer plus d'un, mais non, après tout,c'est un état de fait,un tout.
Je ne veux plus jamais de ma vie être avec un pervers.Plus jamais être avec un multidépend&ant.
Je vous avais donné la date de Paques,j'ai oublié l'accent, mais je suis là, je n'ai pas oublié, lui et moi, c'est terminé, je ne veux plus avoir jamais avoir en commun une quelqconque histoire, suis désolée, mais la dépendance sexuelle, c'est grave de grave.c'estr un tout.
C'est se leurrer devant un feullleton, c'est se lamentert devant un téléfilm, c'est de leurrer devant tout.
bougez vous, si vous tenez à vos couples, ou mêmes si je n'y crois pas.
Y a rien n'à faire sauf que d'attendre, que Lui soit prêt.
Il est prêt mais moi non.C'est fini parcequ'il m'a trop menti.
TROP MENTI
et oui
c'est kon mais çà a duré 7 ans.
7 ans j'y crois pas

de, là, je pense que je vous retrouverais pour le fun, pour essayer d'aider, sinon, non, Laurent t'es un mec normal, et tu peux pas savoir ce que ce que tu fais est normal.çà fé 7 ans que je me plante et je donerai ma vie pour vivre ue vie avec toi.


çà est dédié pour mon ex , qui m'a sauvé la vie, être avec un multidependant, je vous aime
parceque je vais me remetre avec lui, juste parcequ'il n'est pas dépendant......................


çà, çà vaut de l'or..............................

Et oui s'immaginnner son mec avec le bas de pantalon en bas, c'es pas çà.....................................
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Re: l'article
free @ 12-04-2007 22:04:22

merci toi.
Je suis là, à errer depuis des années devant des forums, qui seraient tous différents pour vous, mais pas pour ma vie, pas pour Lui.
Il est multidépendnt, d'ou la difficulté de retrouver le mal, de toutes ses dépendances.Soit, elles se regroupent, elles sont d'ailleurs, groupées.
Elles ont un point commun, être là, à le narguer, à lui foutre sa vie en l'air, et de là; foutre la vie en l'air des êtres qui vivent avec lui, ou plûtot pour lui.
Immaginnez : dépendant alcool, shit, ou plûtot shit alcoolpuis la bouffe, puis à hauteur égale, le sexe.Sur internet, les photos, les films, j'ai pas essayé mais je sais qu'on a tout ce que l'immaginaire peut imaginer...............
Et oui, merci ce contact, internet, la planète, çà démultiplie.
Puis les jeux, guilde.War,mes jeux de coinche, de belote, de cartes, de pocker, et j'en passe, tout quand je vous dis tout.Et les adresses msn avec, toutes celles qu'il contacte, bizarre, est il normal?il a toujours capté des adresses de femelles.............Pourtant y a des hommes.
Mais bref.
J'ai depuis, lundi midi une vie "normale" avec le père de mes filles.
On vit, on bouge, on fait les courses, on se regarde, on se réapprend.
Soit il regarde les femmes, mais vous ne pouvez pas savoir avec quel soulgement je le découvre..........Il les regarde.C'est tout.
Il fait et cit comme je suis.
Ce n'est pas un dépendnt sexuel, qui s'arrête devant un"plan" Q.
Un truc que nous, les codep, avec lequel on a mal.
Un truc qui nous prend, nous laisse vidée, nous laisse morte.
Nous sommes des personnes, des êtres humains aussi, mais rendus à l'état de bêtes quand noous sombrons dans l'extase de la Codépendance.
Quel beau mot.Rien de rien, çà ne veut rien dire.
çà veut juste dire, asiister un dépendant.Se rendre malheureuse de l'état de dépendance de l'autre(le, ou la dépendante)
faut arrêter.
Faut vivre, faut de remettre de çà.
On ne doit pas porter le malheur de l'autre à aucun prix.
Je suis en osmose avec moi, parceque j'ai souffert.De l'expliquer, bien sûr qu'il y a pire.Mais il y a des gens heureux.
Vivre avec un multidépendant, relève de je ne sais quoi.
Un truc qui dure qui dure et n'aboutit jamais.
Ce que je voudrais vous dire, c'est que je n'ai pas vraiment rencontré de vrais multidépendants ici.Et tant mieux.
Et aussi que de par cela, je n'ai pas pu vraiment partagert ma vraie souffrance, et de là, la sienne.
Oui j'ai les boules pour lui, mais 7 ans c'est aps rien.
Lui donne depuis 17 ans.
Et ce n'était plus possible, plus parceque j'allais, moi en crever.
Une, c'est gérable, deux, moins, trois, çà relève du psy, 4 , désolée, je cours, et encore, pas assez vite.................
Je ne pouvais plus, j'ai tout essayé, j'essaye tout, mais lorsqu'il m'a dit y a 4 jours :
je suis invité en week end, à la rochelle, chez des amis du jeu auquel je joue..........................
Bah purée, il ne gagne pas sa vie, il consomme, il ne se lamente jamais sur mon sort, jamais, et en plus, il projette des plans....là nan.
Mais je ne m'ennerve pas, plus, je m'en contrefiche, parceque je n'ai plus le choix.
Donc son week end s'est transformé en période CDI;
Voilà.
Je suis, je vis, je revis, ne m'en voulez pas.Je pense avoir tout esdsayé, mais, entre vous, dépendants sexuels, et lui, dépendant de tout, y a une grosse différence.
je reste là, en, essayant d'aider qui je peux, surtout en pensant, à, je ne me rappelle pas la pseudo, mais une femme qui est tombée anorexique de par la dépendance de son mari, et j'ai pleuré en lisant son post, et c'e :love2: st ce qui m'a fait ENFIN, réagir.
C'est trsite ,pensez y, ceux qui plongent.Et qui font plonger, malgré eux.
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