Dépendance sexuelle

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salut a tt bon je suis un agerien jè une francais kasi mi je compron trè bien alors moi jè 24ans jè tunu prsqe 1ans son porno mi 3 ruchut danns le debu mi vriment si une otre vie calme une vie positife danns se 1ans la belle vie bon moi jè conu une fills qui partage avec moi mi on a fais la l'amour mi pas le sexe i je suis inviter set semain avec elle peur pasi une semain onsomble è vriment jameri savoir asqeu je ruchut o non pk un progmarme irotique il me parle qeu de sexe vriment jamri savoir pk jè tenu 1ans si pas fasil qe je rechute ? è merci
Je comprends que tu ais des difficultés à t'exprimer, mais peux-tu être plus clair, c'est dur de te comprendre. Voilà ce que j'ai compris :Salut a tous. Bon je suis algèrien, j'ai une française "kasi me" (???). Alors moi j'ai 24 ans j'ai tenu presque un an sans porno bien que j'ai fait 3 rechutes au début, mais maintenant c'est une autre vie, calme et positive depuis un an, la belle vie quoi.J'ai connu une fille qui vie avec moi, on a fait l'amour mais pas de sexe (???). Cette semaine, je suis invité avec elle, on va donc passer une semaine ensemble et j'ai peur. Et vraiment j'aimerai savoir est-ce que je rechute ou non parce qu'un programme érotique me parle que de sexe et vraiment j'aimerai savoir si je rechute et si c'est si facile de rechuter alors que j'ai tenu un an ?Et merci.  
 bon plus clair une semain de sexe tuet les jeur avec ma belle  asqeu je recute o non pk moi jètè teut les jeur je regarde le porno è je masturbe a l ge de 15ans jusqe 23ans è danns se 1ans jè ruchuter 3 fois son porno è voila jamri bien partager m plesire avec elle mi ????
Je suis retourné au domicile familiale avec ces problèmes et je suis retourné dans de vieux schémas.Je reconnais maintenant mieux les situations à problème et dernièremet j'ai rechuté méchamment. Mes problèmes avec la gente féminine et bien sûr avec ma mère castratrice sont des déclencheurs très forts...Mais bon je n'ai pas le temps de rentrer plus dans le détail.Bon appétit !
Cette semaine fut très difficile, autant d'un point de vue professionnel, affectif qu'avec le fantasme, la compulsion sexuelle.J'ai trouvé des occasions de compulser comme un rêve où je dominais complètement une jeune femme, la traitant un peu comme une esclave ou qqchose comme ça,... Je suppose que c'est ma vengeance sur la gente féminine...J'ai depuis envie de voir une amie à moi qui a également du mal dans ses relations avec les autres et je me demande si ce n'est pas intéressé. En fait j'ai trop l'habitude d'être hypocrite avec les filles. Pour moi ce sont des personnes vicieuses et je n'ose que très rarement affirmer mes positions de peur de remontrances, le mauvais caractère de ma mère m'ayant peut être influencé là dessus.Cette semaine j'ai fait un craquage comme j'en faisais à une époque, en changeant de manière d'être avec les autres d'un extrème à l'autre, changeant mon mode de pensée. Je pense que j'ai gardé pas mal de ressentiment pour pas mal de gens pour avoir ce comportement... Mais bon un moment j'aimerais bien passer à autre chose.J'ai d'abord commencé par avoir du ressentiment envers mes parents car c'est très difficile de leur parler, de les coincer dans leur emploi du temsp pour ça. J'avais plus ou moins décidé de leur faire la tête et de voir plus mes amis. Mais ça ne m'a pas aidé sachant que lje les vois rarement. Je me sentais vraiment seul et je ne sais pas pourquoi en ce moment je mettais moins de réserve à mon comportement du coup je me suis comporté bizarrement à mon travail socialement, trop proche des gens, gaffeur, et des collègues m'ont un peu taillé.J'en ai d'ailleurs extrèmement honte rien que de l'écrire. Mais néanmoins malgré cela je n'ai pas envie de rechuter ce week end. Je me rapelle ce que ça fait de rechuter et je sais que c'est en me rapellant cela que j'arriverais à me sevrer. Ce n'est pas parce que j'ai eu un comportement étrange, avec culpabilisation actuel tel un cercle vicieux, que je vais me vider le cerveau de cette manière. Enfin je ne le souhaite pas...Ce cercle vicieux affectif, je ne sais trop comment lui donner un nom ou ce que c'est, m'a pourri la vie un long moment et je vois que dans le cadre d'un travail, avec des collègues, c'est l'une des pires choses qui puisse m'arriver. je pense que je vais relire un peu vaincre la dépendance affective...Bon week end tout le monde et bon courage pour le sevrage et pour votre chemin vers la liberté...
Je continue mon blog, un peu en tout cas... Depuis avoir vu "I am a sex addict" et à vrai dire un peu avant j'ai continué à réfléchir sur mon addiction. Pendant longtemps je l'ai renié car j'arrivais à oublier, ou j'arrivais temporairement à omettre, lors des crises, les gros désagrément que m'amenait mon comportement compulsif. Tout d'abord cela occupe beaucoup de place dans mon cerveau et ça me rend totalement instable avec les filles et souvent très intéressé. Cela m'amène à m'isoler et à me masturber compulsivement sur du porno et mes colloques m'ont déjà entendu donc j'ose imaginer ce que cela ferait avec une copine comme "collocatrice". Mais surtout du fait du peu de relation proche que j'ai avec des filles et que globalement j'ai beaucoup souffert à cause d'elle (notamment comme l'explique mon post précédent) je haissais la gente féminine toute entière et pour moi la masturbation était une punition que j'imposais à la vision que j'avais de la femme. Je m'en servais comme drogue également, contre la solitude, le stress... Autant dire que ça influençais beaucoup, et en mal, mon comportement et encore pire en présence d'une femme. Il y avait aussi le cercle vicieux de me mettre dans le rôle que je pensais que les femmes aimerait bien que je joue. Le fait que pas mal de femmes dans la rue, les transports... me regardent (et ce n'est pas seulement dans ma tête je pense) me poussait à vouloir les charmer (et à combler un vide affectif) et à jouer un rôle qui n'était pas moi,tout ça dans le but ultime de compulser sur elle. De plus cela se cloturait sur un échec systématique (car je jouais le role du male dominant obsédé malgré lui, malsain, et ça ne marchait pas pour arriver à mes fins). Je n'y arrivais tellement pas que ça en devenait frustrant (peut être dû au fait que je ne suis pas le genre de mec qui attire pour un coup d'un soir en boite avec des pouffes et que je n'avais pu à l'époque voir la différence entre mes fantasmes et l'acte machinal sexuel, purement corporel, et aussi parceque ma haine et mon mauvais motif (la compulsion) transparaissait. Et c'est ce pourquoi la drague ne me plait plus du tout. Bref pour moi le chemin continue et j'essaie d'oublier cette compulsion, ce comportement. De m'en débarrasser en trouvant d'autres comportement. Je n'ose pas dire que ça avance bien mais je l'espère et je me dis que moins je compulse et plus je vais perdre ce comportement, ce cercle vicieux, cette prison. Le seul moyen d'en sortir c'est de s'en débarrasser et non pas de s'accommoder dedans avec ses compulsions et des obsessions.Sur ce, j'ai dit ceque j'avais à dire. Bonne nuit.  

VA

Bon, en ce moment ça ne va pas fort. J'ai tendance à me soulager en regardant des vidéos porno et je sens bien que c'est mon sentiment de solitude et d'abandon qui me pousse à cela. N'empèche l'envie est très forte. Sinon j'avais rechuté dans une situation que je n'avais pas vécu depuis longtemps et je pense avoir peut être appris des brides d'indices. En fait pendant une soirée je m'ennuyais car isolé de mes potes et j'avais commencé à fantasmer sur pas mal de filles autour de moi pour finir par draguer une fille, récemment devenue petite copine d'un pote, et je n'arrivais pas être naturel avec elle, à m'arrêter de m'addresser à elle de cette façon, à voir en elle un objet de compulsion, en la faisant parler et en lui disant ce qu'elle veut entendre et en ayant honte après, de ne pas pouvoir me contrôler et c'est cette même honte qui m'a pousser à me masturber après sur du porno, de retour au bercail. Je n'ai pas ressenti de honte après, d'avoir rechuté et j'avoue le lendemain m'être plus ou moins forcé à avoir de la honte mais ça n'a pas spécialement marché. Les jours d'après mon cerveau s'est rappelé qu'il pouvait se réfugié là-dedans quand ça n'allait pas. Du coup j'ai eu des érections, de la compulsion au travail. Et ce week end je ne me suis pas masturbé pour l'instant mais là je regarde des vidéos... Mon psy me dit que c'est peut être une sorte de masochisme avec les filles, mais rien n'est sur. Bref je n'ai pas l'impression qu'il m'aide quand je le laisse parler... 
Je te comprends bien quand tu dis que l'envie est très forte. J'ai vécu cela récemment. Le problème, c'est que tu restes isolé avec l'obsession (comme je l'ai fait), et que l'envie risque d'être toujours aussi forte tant que tu consommeras.Appuie toi plutôt sur le réseau de dépendants dont tu as les coordonnées et essaye d'aller en DASA. Moi, les contacts que j'ai (je vais voir les SA en Belgique) m'aident beaucoup à ne pas consommer Courage à toi. 
Quelle belle illustration de ce que disait le dalaï-lama :"Il est des souffrances inévitables, et d'autres que nous nous créons. Trop souvent, nous perpétuons notre douleur, nous l'alimentons mentalement en rouvrant inlassablement nos blessures, ce qui ne fait qu'accentuer notre sentiment d'injustice. Nous revenons sur nos souvenirs douloureux avec le désir inconscient que cela sera de nature à modifier la situation - en vain.Ressasser nos maux peut servir un objectif limité, en pimentant l'existence d'une note dramatique ou exaltée, en nous attirant l'attention et la sympathie d'autrui. Maigre compensation, en regard du malheur que nous continuons d'endurer."bon Sans déconner les gars, puisque vous vous répétez, je vois pas pourquoi je me gènerais moi aussi pour radoter un p'tit coup vite fait.Je me demande si la compulsion au porno ne relevait pas elle-même, en tout cas pour moi, d'une forme d'auto-apitoiement (qui est une forme élaborée de masochisme, puisque la complaisance contient sa propre récompense, mais aussi son propre châtiment) : comme vous, j'ai tenté de me "consoler" de ma vie sexuelle insatisfaisante par une vie sexuelle imaginaire beaucoup plus riche. Evidemment ça s'est avéré aussi efficace que de boire de l'eau salée quand on a soif, comme le décrivent si bien les bouddhistes.Et il est finalement salubre que ce mensonge m'ait précipité dans l'enfer de l'addiction, puisque l'enfer m'a contraint à chercher la sortie, puis à m'enfuir épouvanté. Ce n'est pas dans l'imaginaire que nous pouvons soigner nos bobos réels, c'est en posant des actes, quel que soit le temps que ça prend pour que le sevrage nous aide à nous pardonner et à revenir à la raison, c'est à dire sortir de notre spirale délirante.
Mais est-ce bien que je me force à avoir honte ? Le truc c'est que je n'entretiens pas beaucoup de relation avec des femmes (mis à part de façon assez superficiel avec ma mère, ma soeur qui croivent encore devoir me couver) et j'ai peur de ne pas ressentir le beoisn d'arrêter après une rechute. Je pense que ça contribue à mes rechutes d'après en faite. Je sais bien que ça déforme ma vision de la femme mais quand on a qu'une vision limitée de la femme et qu'on a pas l'occasion (ni au travail, ni en dehors) de cotoyer des filles, c'est compliqué. Surtout qu'orroz disait que la vie de couple devait aider les célibataires à se mettre sur le droit chemin.Du coup je m'étais mis au site de rencontre, en soft, mais je vois bien que la compulsion tente de s'infiltrer de temps en temps... J'ai pas pu m'inscrire en plus à une association de dessin à cause de mon arrivée tardive dans cette année académique (et son rythme lent et frustrant). Yeahh !!! D'ailleurs pour être honnête dimanche - rechute mais il ne sert à rien que j'ai honte même si mes "performances" de sevrage ne sont pas aussi bonnes que celles d'autres sevrés qui ont commencé après moi... En fait j'oscille dans mes rechutes mais ça n'avance pas franchement. C'est un peu frustrant mais bon, c'est mieux que d'être dans la compulsion tout le temps...Mais je vois bien que quand je sors et m'ouvre, ça va mieux et d'ailleurs il est temps que j'arrête de parler de moi... Bonne nuit et bonne continuation dans vos voix respectives (et non compulsives Wink )
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