Dépendance sexuelle

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J'ai trouvé ici un résumé fort bien troussé du "chemin le moins fréquenté" qu'on m'avait conseillé dans un moment de désarroi intense, et qui m'avait bien aidé.http://auriol.free.fr/psychanalyse/PeckScott.htm"L'objectif de Scott Peck est (...) d'élaborer une façon d'aborder la douleur de manière constructive. Il fait pour cela appel à quatre techniques de discipline : retarder la satisfaction, accepter la responsabilité, se consacrer à la vérité, et trouver l'équilibre." Plutôt que de repartir en live, Vision Addict, ce dont nous sommes tous capables, je pense que tu devrais reprendre ta lecture et chercher à te sortir du virtuel pour entrer dans la vie, la vraie, la seule qui vaille le coup.
Salut! Je l'ai lu ce livre et les 4 techniques qui y sont conseillées ont eues sur moi un impact majeur. J'étais co-dep, je m'en suis sortie, j'étais dépendante affective, je m'en sort! Je ne suis pas au bout du chemin, car ce chemin c'est la vrai vie, mais la lumière maintenant, éclaire ma route!!!  Puissiez-vous tous un jour, marcher sur un chemin éclairé!!!  Labardo!!!  
Mondom et Raoult: Je pense effectivement que je n'ai pas explique mon pb de dependance au porno au psy avec toutes les histoires qui vont avec. Je l'avais deja fait au precedent psy et du coup j'y ai pas pense. Je devrais lui reparler de mes histoires dragues par sites de rencontre, echapatoire pdt classe prepa...Mondom:Sinon je ne pense pas avoir la famille ideale et je n'ai peut etre pas parler de ma famille la derniere fois mais je pense qu'il y a un terreau fertil quand meme: pere absent physiquement et mentalement bien souvent, mere capricieuse, et tres possessive qui veut tt le temps des calins, engueulades a repetitions, pere grille a mate des trucs sur internet regulierement... Mais vu que c'est ma mere qui a fait tte mon education je me dis que je dois avoir "besoin" d'avoir des amities et confidences avec des filles. Bref un contact avec des filles que je "trompe" avec le porno aussi, notamment quand je me prends la tete avec ma mere, ma colloc...Sinon la derniere fois elle m'a pris la tete car elle me parle tt le temps de petites copines, et fait des sous-entendus....John Warsen et Labardo: Sinon j'essaie de me raccrocher a la realite mais je constate que je me laisse un peu trop faire par mes amis, me laisse trop absorber mon temps... Parfois je fait l'oppose je m'isole pour taffer car a la bourre et je laisse les trucs deperir. Bref dure combat que j'ai l'impression de subir, comme une expression d'un manque affectif. Je retarderais la douleur, l'effort du boulot quand je serais avec des gens en reprenant des termes du "chemin le moins frequente". Et je n'ai pas l'impression que ca avance avec le psy, il ne me dit rien, pas de question et la derniere fois je lui ai demande ce qu'il pensait de tt depuis le debut: Il m'a juste dit que je m'etais implique et engage et que c'etait bien. Je ne vais pas le voir pour me faire un faux pote.Moi je reste persuade que mon pb c'est le sentiment d'abandon. Ce soir encore je l'ai subi. J'avais demande a un pote de garder une place pour moi a un concert assis parceque j'etais en retard. Il ne l'a pas fait et du coup je me suis retrouve tt seul comme un con sachant que si j'etais venu c'etait pas mal pour passer du temps avec eux et pas trop pour la musique. Apres j'ai garde ca en travers de la gorge. De tte maniere ce "pote" m'a fait ce coup plusieurs fois et je doute vraiment de son "amitie" maintenant.Dsl d'avoir fait aussi long et bonne nuit sinon. (ca rime, quel poete ^^)
Hello Labardo Peux-tu nous en dire davantage stp concernant ce livre ? Par passages, n'est-il pas quelque peu niais ? Est ce que quelques fois ses mots ne t'ont ils pas paru un peu faciles ?Ou au contraire, tu as eu l'impression d'une lecture "intelligente" ? Est ce que tu sais s'il est possible de le trouver en livre de poche ?Je te harcèle... ça m'intéresse, ne m'en veux pas !Merci pour tes infos
Vu que je suis encore sur le topic je vais te repondre give peace a chance. Ce livre tu peux le trouver en edition "J'ai lu" donc format de poche. Pour ma part je l'ai trouve interessant et plutot intelligent ou intuitif. Ce n'est pas de la philosophie mais c'est des constats donnes par un medecin. Il commence par des postulats sur la sources des pb des gens pour gerer leur vie et ensuite il donne des cas concrets de ses patients. Il definit aussi l'amour car selon lui bcp de pb sentimentaux sont lies a la mauvaise definition de celui-ci.Je te le conseille vivement.VA
BonsoirJe veux juste marquer l'évolution récente de mon sevrage, ce retour vers la réalité. Ca doit faire une semaine sans porno à peu près, même si je ne veux pas lire mon calendrier des rechutes, si nombreuses...Là en tout cas je suis convaincu que c'est néfaste, je veux arrêter. Le fait que ma collocatrice ait remarqué plusieurs fois mes rechutes avec à chaque fois son changement de comportement qui s'en suivait, son dégout, que je peux comprendre, m'a marqué. J'ai vraiment vu ce que ça pourrait causer sur une copine, sur une femme qui pourrait m'être cher. C'est une drogue. J'étais retombé un moment dans l'addiction sévère avec l'envahissement des pensées perverses sur tout le reste. J'ai lutté pour en sortir moralement. Je ne veux pas rechuter. Quel triste moment.J'ai réussi à me sortir des "étapes intermédiaires", où ton corp te demande sa dose d'hormones et ce fut difficile mais j'ai tenu. Je sais que je peux réinvestir totalement le présent et je veux changer. Là j'ai un peu des difficultés depuis ma pdernière période de stress où je me suis senti très seul. A ce moment comme je l'ai lu sur un post mon cerveau se rapellait que pour sortir de ce grand stress il y avait la pornographie et du coup je m'amenais ces pensées obsédantes. C'est une habitude qui revient et qui est dur à ce débarasser. Depuis je garde  parfois lorsque je sens un stress trop grand émotionnellement, ce retour à ces images porno. J'en ai conscience donc j'arrive à me retenir pour l'instant. Je veux vraiment me débarrasser de cette habitude.J'ai l'impression de ne pas être naturel là dans ma manière de m'exprimer là...Parfois aussi j'oublie pourquoi je veux arrêter et je me dis juste par plaisir... Votre site doit pvr me ramener à la réalité de ce "loisir". Sur ce bonne soirée, je lirais vos histoires.VA
un truc qui peut etre interessant a envisager, VA, pour toi comme pour tous, c'est, puisqu'on a identifie que le porno surgit parfois dans nos esprits comme en reaction a des etats d'esprit, comme un reflex, du genre "je me sens mal - le reflexe habituel de me changer les idees sur du porno surgit", puisqu'on est d'accord que c'est un leurre, que cela ne comble en rien ce maletre et au contraire que cela l'accroit et qu'on veut se sortir de ce schema, on peut pour se "reeduquer" et faire disparaitre ce reflexe commencer par s'en occuper QUAND TOUT VA BIEN, et pas seulement quand on se sent un peu mal...je m'explique: si je reste demuni, a compter uniquement sur la volonte et ma clairvoyance, au moment ou celles-ci justement sont mises a mal, je n'arriverai pas a grand-chose. alors que si, en periode de tout va bien, je m'exerce, je m'adonne a des trucs auxquels je developpe  de l'habilete, de la familiarite, en pleine possesion de mes facultes y compris volonte et clairvoyance, alorsquand celles-ci vont chanceler je pourrai essayer de me ramener a ces pratiques-là plutot que d'attendre que ça tombe tout cuit et que la maladie porno ait disparu toute seule... par exemple, je joue de la guitare, ou je tricote,quand ca va bien, en ayant des pensees positives, en m'y appliquant avec sincerite et engagement. et hop je sens un coup de mou, voire une idee "rose" qui point le bout de son nez... hop, je m'aide de mon activite associee a la serenite, pour me sortir de cet etat d'esprit un peu zonard... parce que dans ces moments-la, on est forts pour occulter tout le positif, il faut lui donner un coup de pouce. des petits mots dans un tiroir a lire, du genre "je n'ai pas besoin de rechuter pour esperer retrouver la certitude que je suis qqun de bien, quand j'ai écrit ceci j'en étais bien conscient"...

un jour a la fois, ils peuvent etre tous superbes.

Pour l'instant, l'habitude que j'ai prise quand je me sentais triste ou stressé était d'aller voir mes collocs et de discuter avec eux. D'essayer de m'ouvrir l'esprit, d'être plus disponible pour les autres et d'avoir des activités avec eux. Mais là je suis retourné chez mes parents pour noel et c'est pas la joie.Il n'y a jamais eu bcp de communication à la famille et il y a tellement d'engueulades gratuites, de règlements de compte que l'ambiance est assez horrible. Je pense aussi que je n'ai pas assez ouvert ma gueule avant du coup maintenant quand je dis ce que je pense, cela fout la merde totale dans la famille. Là ce soir mes parents regardent un film et essayaient d'alléger l'atmosphère et je me suis tellement fait engueuler (pour des suspicions non fondées et pas d'excuses après) aujrd que je n'ai pas envie de rester avec eux. Bref c'est pas facile.N'empèche il faut que je résiste et passer des coups de fil, essayer de trouver une activité comme tu dis comme écouter de la musique, dessiner et autre devraient pouvoir m'aider. Mais pour moi c'est surtout m'ouvrir aux autres et prendre des nouvelles, notamment d'une amie qui habite loin de chez moi mais charmante :)Et il n'y a pas de doute que si je la contacte ou prends des nouvelles des amis quand je me sens bien cela ne peut que favoriser le dialogue quand je ne me sens pas bien. Je crois aussi que je n'ai pas l'habitude de dire le fond de ma pensée à mes amis et il est parfois aussi plus facile de le dire quand on ne se sent pas forcément bien. Bref... C'est une histoire d'ouverture et de sincérité pour moi Mondom, peut être plus que d'activité.
Bon je veux juste marquer noir sur blanc que ce soir je suis très tenté et arrêter de me remuer le cerveau pour rien là dessus. Je vire du trop de confiance et sa récompense idiote, au besoin maladif. Mon cerveau pense le tout et son contraire en moins d'1 minute. Il faut que je me vide le cerveau, télé, méditation ou qq chose comme ça.
Bon suivant le post précédent j'ai rechuté mais je tiens à préciser que je suis de nouveau en selle, la tête haute. Les problèmes familiaux ont l'air de se calmer surtout dans ma tête car je ressentais de la haine contre mes parents, du dégout de vivre parmi eux, dans leur relation très difficile et superficielle par moment, et du "préférentisme" pour ma soeur... Là après avoir pensé que si je retournerais dans la colloc je serais seul ou presque je me suis rapellé que je dois compter surtout sur moi pour être heureux, pas sur mes parents. Il faut que je continue à exprimer mon besoin social pour ne plus être seul (notamment avec facebook même si ce n'est qu'un premier pas) et que je continue mon chemin avec sérénité. Je finirais bien par me mettre à chercher un travail aussi, autre source d'angoisse que j'avais car je voyais la fin de mes études arriver et les mauvais moments à passer en famille qui devaient en suivre mais je me suis prouvé que ce n'était qu'une vision négative et pas une obligation. Je peux donc maintenant chercher un travail en paix. Je souhaite travailler d'abord car il me faut de l'argent pour être indépendant de mes parents et retrouver la fierté des choses simples du travail avant de vouloir chercher monts et merveille en voyageant dans des pays en voie de développement.Je me rends compte que j'avais la vision troublée par des pensées négatives à longueur de temps. Maintenant que j'ai conscience de mes vrais besoins et que je les assume,la tête reposé ça devrait aller mieux. Voici mon plan d'action pourle moment et je l'écris surtout pour moi. Bon courage tout le monde en tout cas.A plusVA
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