18-04-2009, 00:47
Bonjour à tous,J'ai 22 ans et je suis étudiant en médecine. C'est dans un de mes cours de psychiatrie que j'ai découvert que la dépendance vis-à-vis des sites pornographiques, étaient considérés comme une pathologie pouvant avoir la même gravité que l'alcoolisme ou le tabagisme. Dans les cas de descriptions cliniques, je me suis souvent reconnu en certaines éléments ce qui a engendré beaucoup de questionnements vis-à-vis de celaDepuis bien longtemps (je dirais au moins 6ans), je suis habitué à la consultation sur le net de sites pornographiques (je ne consultais pas lorsque j'étais en couple avec quelqu'un) fournissant vidéos ou photos. Au cours de cette période, l'utilisation d'internet est devenu on peut le dire quotidienne : souvent après une journée de travail le soir avant d'aller dormir au même tire que prendre une bière ou regarder un feuilletonAu départ mes incursions x sur le net étaient relativement brèves mais cela a commencé à devenir de plus en plus long, vu que j'ai commencé à découvrir des sites ou actrices X qui étaient capables sans grande peine d'assouvir mon besoin. C'est à partir de ce moment que j'ai mesuré qu'il existait une certaine forme de dépendance. Pour moi, le net était une source de plaisir garantie lors des périodes où je n'avais pas grande chose à faire (pendant les vacances notamment ou certains week-ends vides)Cependant avec le temps, la dépendance s'est encore accrue dans la mesure où lors de voyages avec des amis à l'étranger, je commençais à vraiment à subir un réel manque de telle sorte que dés mon retour, c'était une joie de retrouver vidéos ou photos préférées…C'est donc bien une dépendance au x qui s'est petit à petit construire lors de ces 6 ans interrompue lors des périodes où j'étais avec quelqu'un. La dépendance aujourd'hui est très forte lorsque j'ai des journées vides à ne rien faire. Par contre lors des journées remplies, je n'y pense pas (ce qui est peut-été un élément positif). Cependant je crois qu'une l période plus ou moins longue sans X, va clairement engendrer un manque certainJ'ai donc décidé de prendre le taureau par les cornes et bannir complètement cette addiction en entamant ce lourd combatAinsi, n'hésitez pas à me fournir des bon conseils dans ce combat qui pourra sans doute faire passer cela plus en « douce ». (A ce titre, j'ai déjà consulté le site de orroz)
Il faut en effet que j'arrete lorsque j'ai rien d'autre à faire d'aller empecher une vidéo x pour me distraire. Le désavantage de cette méthode est qu'il restreint l'acces à certains sites comme facebook et autres envers lesquels je n'éprouve aucun problème. Je dois donc faire un long travail de configuration pour encore avoir acces à ces sites tout en ne retenant pas le mot de passe qui me permetterait de débrancher le programme de controle...Cette prise de conscience m'a vraiment fait remarquer qu'il s'agissait d'un problème o combien énorme chez les jeunes de ma génération : j'identifie en effet au sein de mon entourage deux types de consomation du X , l'une sans grande gravité par laquelle tout le monde commence puis une seconde bien plus perverse vers laquelle on peut facilement tournerLa première est celle la plus courament rencontrée chez les jeunes comme moi et comme on dit "elle permet de s'entretenir lorsque on est avec personne". Sous l'action physiologique d'hormones et de pulsions sexuelles, on doit les assouvir en mattant à l'occasion un film x dont on est tombé par pur hasard sur la télé ou sur le net (notament via des sites comme youporn où on prend en cash une vidéo sans rien connaitre). Chez ces personnes, la consomation du X est très brève et peut-etre purement "physiologique" (peut-etre une nécessite on va dire...)La deuxième s'affirme lorsque on reste sans partenaire pendant plus longtemps. Les incursions x sur le net deviennent plus longues et on commence à repérer des préférences bien spécifiquesEn ce qui me concerne (ainsi que plusieurs amis se trouvant au stade "2") ils est possible aujourd'hui de trouver des actrices avec un certain charme pouvant etre la superbe fille de notre auditoire avec laquelle tout le monde veut sortir (on est loin des gonzos ou choses brutales et bestiales de ce genre mettant en scène des filles humilées ou des superproduction montrant des filles siliconées et complètement artificielles). Il est donc possible aujourd'hui de trouver plus que du sexe sur internet : on peut trouver du charme... Je l'ai remarqué moi meme dans ma consomation du X sur internet :je suis habitué des scènes lesbiennes (ainsi que certains amis) ne mettant pas en scène d'homme et montrant de très jolies modèles ne présentant meme pas les attributs habituels (gros seins,...) mais elles avaient un charme énorme. C'est cela qui m'a rendu quand meme très dépendant Au départ de ma période "X", j'étais habitué à des gonzos dont je me lassais très vite. Après j'ai commencé à bien connaitre la toile x du net, et je pouvais trouvez sans grande difficulté les scènes lesbiennes avec ces superbes actrices plein de charme. Je crois que cette recherche d'actrices avec un charme absolu, révèle que j'ai jamais vraiment trouvé quelqu'un dont je suis tombé amoureux car ce "charme" n'était pas présent tout simplement...C'est donc ce point là qui va surtout me manquer lors de ma période de sevrage et pas vraiment l'acte sexuel pur présent au niveau du matériel xJe crois que les personnes présentes dans le deuxième stade peuvent éprouver des fantasmes bien différents de moi , cela réside simplement dans le vécu de chacun ( par exemple quelqu'un avec une vie sexuelle pauvre et très conventionelle cherchera plus des situations extremes). Le pire c'est que l'industrie du X est à l'écoute de cela et chez certains éditeurs, on peut trouver toute sorte de fantasmes : situations extremes (gandbang,gonzo hard,...) , scènces lesbiennes avec modèles superbes (comme moi) et meme comme on dit dans le jargon des MILFs (des femmes de 30 à 35 ans plus agée que moi). Bref tout est fait pour instaurer une méga dépendance et détrouner l'esprit des gens des situations réelles parfois moins excitantes et plus difficile d'accés