Dépendance sexuelle

Version complète : Besoin conseil pour un jeune dépendant qui va tenter d'arreter
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salut iorgui, je me pointe avec min grain de sel...je pense que c'est dans ces pensées obsédantes que se niche la compulsion. attention au sens de ce mot, que je ne suis pas sur moi-meme de manier correctement. tu "compulses" le net a la recherche de la nana que tu dis savoir en plus eexactement ou trouver. (c'est atypique, en general on se contente de s'exciter sur les memes images au deut et ensuite on s'habitue, et on a besoin de renouveler, toi tu decirs l'inverse, c'est interessant...) le sens du mot "compulser" est le meme que consulter. la compulsion sexuelle, celle que nous combattons ici nous autres qui formons le peuple d'Orroz, c'est ce qui fait que tu n'es plus maître de toit et que tu es en quelque sorte le jouet de ces "envies" qui devienne tirrépressibles... exactement ce que tu décris, puisque te soulager de ces idées obsédantes sur lesquelles tu tombes au détour de tes pensées et de tes journées est plus fort que toi...ce n'est pas la faute de ces pauvres donzelles, icônes marketing d'une récupération commerciale de la misère humaine, de sa faiblesse, des fistules de la civilisation...ce n'est pas simplement de la tienne non plus, certes tu as succombé au chant des sirènes, mais il y a sûrement tout un contexte. te jeter la pierre ne fera pas avancer quoi que ce soit. comprendre le ou les problèmes, et les examiner pour les traiter ou les arranger, c'est la marche logique à suivre semble-t-il, chez le psy par exemple, entre autres.on s'enferme dans des meanismes mentaux quio sont erronés mais dont on se convainct je crois, quand on sombre dans la dépendance... il faut désapprendre la psychologie à 30 centimes d'euros qu'on s'est forgés, et essayer de voir plus clair en soi. et on peut y arriver. j'en ai en tous cas l'impression et c'est motivant.
Oui, Lorgui, le problème, c'est le conditionnement que l'on se construit, dans la pratique compulsive. Le cerveau se nourrit de cela, cela nous structure, et pour ma part, la recherche d'excitation a fini par être le moteur presque exclusif de mon quotidien. Bref, la question n'est pas de trier entre l'érotisme légitime et le porno déviationniste, mais de passer à autre chose, de tourner le dos à cela, pour se laisser déconstruire les représentations que tu t'es laissée imposer. Cela passe pas s'abstenir de tout ce qui favorise la compulsion. Y'a pas 36 solutions. ;-) Bon courage à toi. 
Rebonjour tout le monde,J'ai été un peu pervert (le mot est peut-etre un peu fort et mal adapté surtout dans ce contexte) de vous poser ma dernière question puisque j'avais déjà un bout de réponse après ma propre introspection. Je voulais simplement avoir l'avis de personnes possédant plus d'expérience que moi dans la matièreCes derniers jours , j'ai vraiment fait un travail de questionnement sur mon comportement (étant étudiant en médecine, certains de cours de phsychologie m'ont bien aidé pour cela) avant d'avoir recourt à un professionnel. A partir des mes périodes de consultation du x, de la manière dont je consultais, je suis arrivé à peut-etre mettre le doigt quelques éléments responsables d'une certaine addiction au pornoEn quelques mots, le porno au cours de ces dernières années est vraiment devenu une véritable déchaiterie où l'ensemble de pulsions, d'envies ou ennuis non satisfaites ont été versées et en retour, j'avais vidéos ou images qui essayaient très vainement de  satisfaire ces pulsions. Cependant, j'ai remarqué que ces pulsions premières essayant d'etre assouvies par la porno, étaient très rarement sexuelles..... Je vous présente quelques éléments de ma reflexionJ'ai malheureusement eu peu de chance dans ma vie sentimenle pour le moment n'arrivant pas à trouver l'ame soeur". Parfois, en soirée, j'abordais une fille que j'appreciais mais si cela ne marchait pas quand je rentrais chez moi (parfois à 5h du mat), je commencais à consulter du porno pendant des heures comme si je devais satisfaire mon échec cuisant. Souvent la fille étant bourrée de charme, l'attraction envers elle ne se limitait pas au physique : il y'avait quelque chose d'autre. Cela n'étant pas satisfait, j'essayai de combler ce manque par le plaisir de la chair vu sur vidéos qui échouait  puisque la pulsion première (sortir avec la fille en question) n'était pas sexuelle : il y'avait une atractionAutre élément, pendant des périodes de blocus où je devais étudier des matières très ennuyantes, les pauses que je faisais consister à la masturbation comme si j'essayais de masquer cet ennui par le plaisir très relatif que la masturbation peut fournirLe soir parfois je voulais regarder un film. Cependant devant le télécharger (avec un processus légal lol), cela prenait du temps et je preferais dont m'adonner à la masturbation où il suffisait de 2-3 clics pour acceder à une vidéoJe me consolais en disant que la masturbation était un acte sexuel normal quand on était seul. Cependant, il était clair qu'avec la fréquence parfois à laquelle je le pratiquais, cela virait au convultionel (je me disais naivement que je ferai un bon acteur porno.... j'en rigole encore mais avec un certaine peine tellement c'est lamentable)Enfin bref je commence à entrevoir les raisons premières et il est clair que c'est important pour au mieux lutter contre ce fléaut. Ce travail est important car étant scientifique, j'ai besoin de savoir les éléments à l'origine de.... (et ce dans tout meme dans mes problèmes)Une des moyens parlequel je lutte aujourd'hui est la sublimation : ce forum m'aide beaucoup à me sublimer puisque je parle ouvertement du problème. Je pourrai rentrer dans un engrenage inverse : le problème de la masturbation pourrait me pousser à encore plus me masturber pour essayer de fuire cette réalité dans la jouissance éphémère Je tiens donc à remercier ce forum et les personnes que le composent car cela m'a permis de vraiment prendre conscience que c'est pas normal et le porno pour moi était un refuge pour mes angoisses, mes pulsions non assouvies, mes ennuis,... Je crois avoir pris conscience que ce qui me poussait vers le porno n'était pas mon "manque sexuel" parceque je n'ai pas de relations sexuelles pour le moment. Le problème aujourd'hui c'est que comme moi auparavant, beaucoup de jeunes  sont persuadés du contraire et quand ils commencent une relation, c'est trop tard, la dépendance est complètement installée meme si la satisfaction sexuelle avec la partenaire est làJe me sens bien sans porno pour le moment, vraiment bien... j'essaye de sublimer mes pulsions (sexuelles ou pas) et de pas les ranger dans le porno. Qu'il était temps pour moi de prendre conscience du problème car j'éprouve un manque pas encore trop prononcé pour le moment, de vouloir aller voir du porno comme "par habitude du bon vieux temps". Cela se compte bien que cela soit fini pour de bonA bientot chers amis et bon courage
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