Dépendance sexuelle

Version complète : repic
Vous consultez actuellement la version basse qualité d'un document. Voir la version complète avec le bon formatage.
Pages : 1 2
<!--[if gte mso 9]> Normal 0 21 Je suis en décrochage d'une F, collègue qui plus est, donc pas d'éloignement géo pour m'aider. Madame était prête à coucher le 1er soir, j'ai été complètement pris de cours. Surtout que Madame m'a dit qu'elle était mouillée, avec une voix de petite fille, d'un ton neutre, sans aucune invite, aucun geste. C'était à moi de deviner le sens, à moi de lui demander si elle voulait, ce qu'elle voulait. Comme si il suffisait que Madame mouille pour que j'ai envie de bander, l'horreur. A la limite, j'y allais franco, je courrais le risque de la violer! Et je me suis accroché à l'historiette, j'ai essayé de la faire grossir et elle m'a planté x RVs très inélégamment. J'appelais toujours, elle très peu. Pas moyen de gonfler la baudruche pdt 3 mois, Rien, pipo de chez pipo. Juste une amitiè particulière, quelques étreintes sur quai de gare, quelques restos ou diners en tête à tête. Elle a été désirante, amoureuse même m'a t elle confiée, mais nous n'avons jamais pu être synchro. Ce qui est un critère pratique pour voir s'il y a couple possible pou pas, non? Je m'autorise donc, à ne pas la voir en privé, ni en tête à tête, à lui parler le minimum -bonjour,bonsoir-, si j'en perçois le besoin, si cela m'aide à quitter l'obsession -ce qui n'est pas sur. L'obsession c'est comme de vomir un sandwich jambon beurre, il reste des petits dés qui se coincent entre les dents! Sur que Madame n'a rien à offrir, rien de plus qu'une autre. J'ai projeté sur l'écran de ses attributs féminins ma panoplie complète de besoins, désirs, consolations.. et contrôle. <!--[if !supportLineBreakNewLine]--> <!--[endif]-->

je profite des vacances scolaires pour décrocher d'une certaine femme, collègue . Je l'avais hébergé pendant les grèves, tendu une perche pour l'amener dans mon lit. son excitation mais sans aucun geste ni parole d'invite m'avait complètement pris de court. en quatre mois de déclaration, je n'ai pas réussi à faire avancer l'histoire d'un pouce. elle ne veut ou ne peut me proposer rien de plus qu'une amitié particulière, longs regards croisés, sourires entendus, balades furtives, étreintes à la sauvette. je viens d'atteindre un pic de dépendance affective : Je me suis remis à fantasmer sur ses attributs féminins - voix douce suave, port de tête et de buste impeccables, sourire large, doigts fins de pianiste, j'en oublie bien sûr la poitrine plate, les premiers cheveux blancs. bref encore une qui n'a rien de plus qu'une autre - Je prends conscience que si je l'avais en face, non seulement je serais incapable de lui demander " toi et moi nous en sommes ou? et où il nous mène la relation?" mais je la remercierais d'être une personne vivante qui me soulage du mirage sur lequel je fantasme. c'est comme si elle me manquait alors qu'elle ne sort pas avec moi et ne me laisse aucun espoir en ce sens. Alors je me venge du mal que j'imagine qu'elle me fait en me soulageant d'une main. j'avoue que j'ai honte. Les conseils pour décrocher sont les bienvenus merci.
misclic  [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif"[/img]
re misclic[img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif"[/img]
Marie-Jean,Qu'on joue à oui, non, peut-être quand on est ado, ça se comprend, mais au risque de te paraître sévère elle a passé l'âge à jouer ce jeu avec toi. Vous êtes grands tous les deux, alors c'est oui ou c'est non mais dans la situation que tu décris ça n'est pas un oui franc, elle n'a pas les couilles de te dire non (désolé d'écrire ainsi mais ça résume bien des longs discours).Si tu veux rester en bons termes avec elles, tu ne peux lui exprimer ouvertement ce que tu souhaites, alors c'est tout, pas la peine d'épiloguer à n'en plus finir, de de te faire mal inutilement, d'imaginer quoi que ce soit, ne perds plus ton temps avec une histoire dans laquelle tu n'en sortiras pas indemne. C'est juste un avis extérieur, mais s'il y avait eu quelque chose, une éteincelle alors tout aurait été très vite. Bon courage pour ton sevrage.
merci du retour, heureuse surprise.l'histoire ne repasse pas les plats, c'est mort de chez mort.C'est juste une passeuse (aucun jugement de ma part), alors qu'elle passe, et vite!D'ailleurs, depuis hier, j'ai une autre collègue, moins bégueule, avec qui nous échangeons des services affectifs sexuées (flirt non poussé).

 

he ben dis donc on ne doit pas s'ennuyer à ton boulot !!!cela dit ne risque-tu pas de retomber dans la même situation qu'avant ? Pourquoi te lancer dans des relations qui à terme ne peuvent engendrer que des frustrations (et qui dit frustrations dit rechute certaine) ? N'est-ce pas dans l'assainissement de tes relations par rapport aux femmes que tu trouverais la stabilité te permettant de lutter contre tes pulsions ?
 salut,Pour le coup, excuse-moi, mais Ta remarque introducitve tombe mal à propos. flirt non poussé à 45 balais, en 2009, après 5 ans de ceinture, c'est même pas fleur bleu, c'est bas bleu, limite genre fans de Benoit XVI - faudrait ouvrir un post de soutien [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif"[/img] C'est vrai qu'au boulot, ça permet de revoir les personnes, vu que je passe rarement le cap du 1er RV par sites. Je suis surtout du genre loser innofensif, j'ai jamais brisé un coeur de ma vie. Je te rappelle qu'avec machine, ça n'a pas dépassé l'intrigue

Suis juste un mort de soif, qui, après 3 ans de ceinture,  en croque un peu, essaie de se faire mettre le pied à l'étrier, ramasse qqs miettes.

Mais c'est parti pour un truc bien platonique. Pourvu qu'elle me largue pas sinon, bonjour la compuls Bon, trêve de plaisanterie, je retourne à mon rétablissement.

  

pour assainir mes relations aux femmes, encore faudrait-il qu'il y en ait, si tu veux.
Ah ok ben j'avais pas tout compris dans le terme "services affectifs sexuées"...en tous cas t'as quand même l'air de plaire aux femmes (aux moins à tes collègues féminines même si ca ne va pas aussi loin que tu voudrais) alors ne désespère pas...souvent c'est quand on s'y attend le moins que l'on est frappé par l'amour avec un grand A (mais sans doute je ne t'apprends rien) et je reste persuadé que c'est l'arme la plus puissante pour lutter contre cette foutue saloperie (désole du terme mais c'est tout ce qui me viens à l'esprit pour qualifier cette dépendance).

Accroches-toi !!!

omineros

si avoir une historiette mort-née touts les 3,4,5 ans et aucune aventur, c'est cela plaire aux femmes, alors disons que oui.tout ça n'a aucune importance, personne n'aide personne, ici comme ailleurs.à un certain niveau de frustration, l'amour n'est plus accessible. Le porno est aussi, est d'abord un tue-l'amour.Les fois où je suis tombé amoureux, il y a eu non désir en face. l'amour est un sac de merdes, les relations hommes-femmes sont un sac de merdes.  
Pages : 1 2
URLs de référence