de mon rapport aux membres du site :merci de m'aider à croire que mon problème d'addiction-compulsion-obsession avérée au porno se doit d'être traité, qu'un arrêt du porno et de l'autoérotisme s'avèrent nécessaire, que le pronostic vital est engagé.Je dois donc je peux, sans plus attendre, prendre les moyens d'arrêter : le porno, l'autoérotisme, les phantasmes, les intrigues sentimentales, les embrouilles affectives.Je perçois les dégâts dé-socialisants du pb. : isolement, sentiment intérieur que la souffrance en situation sociale l'emporte sur les bénéfices du lien.Et pourtant, et en même temps, je...continue. C'est mortifère, suicidaire mais je continue. ce qui montre l'addiction et donc le besoin d'arrêter.Au fond , je doute de pouvoir et même de vouloir arrêter.. Si j'avais voulu ou pu, ce serait fait non, en 15 ans de réus, entraide en tous genres?..
vouloir t'arreter? tu en doutes? tu imagines que tu en as peut-etre envie seulement en façade mais pas au fond de toi? c'est peut-être plutôt que l'addiction est forte et te met cette idée "défaitiste"dans ta tête pour prendre le contrôle...? pourquoi essaies-tu depuis 15 ans? je ne connais pas ton parcours, tu es sur des demarches similaires a ce site etc depuis 15 ans? tu vois des psys etc?tu doutes, mais juste avant tu exposes très bien le problème... alors ne doute plus, utilise ton energie a vivre et pas de façon a te maintenir dans le mortifère? facile a dire, mais ca se fait un jour a la fois comme on dit. sans fin. cela aura encore moins de fin que l'addiction, qui peut y toucher (à sa fin)je sens que plus je m'approche de l'eventualite d'en sortir vraiment, plus la vie semble avoir a offrir de beaute et de bonheur... et j'ai envie de verifier cela, d'avoir enfin ma part juste.merci de te confier parce qu'on peut tous se confronter, se retrouver, en toi, et voir ce en quoi on est aussi different...
mon parcours : réunions DASA, ce forum, travaux psy, parcours spi (torrents de vie 30soirées)mon actu: fixation sur une déception sentimentale, accrochage à une historiette (a mouillé une fois et puis plus rien) + décrochage professionnel (écumé nb services, classé invendu, bras cassé, cas psy, border-line) + pourrissement lienbs filiaux et fratrie.homme à affectivité réduite, incasable, invendu, fera tj tapisserie.
mes plus longues rémissions (2 mois?) n'ont pas pu s'étayer sur "l'ouverture à la vie", sur l'offrande de vie.Mon voeu le plus cher : ne plus jamais m'enamourer. Si possible, mourrir au plus vite sans douleur et en bonne santé. J'aime écouter du chant grégorien (Barroux, Fontgombault), orthodoxe (Chevetogne), les musiques apaisantes (Steve Halpern) et ressourçantes (Philippe Barraqué), tout cela dispo enécoute sur musicme.com
pour compléter : je dois aussi arrêter les phantasmes par sites sur lequels je me fais passer pour une chaudasse ou un dominateur. Oui, c'est grave.
lol ce n'est pas plus grave que quoi que ce soit. tu n'es pas le premier ni le dernier, je pense que ce n'est pas beaucoup plus grave que de s'exciter sur une "teen".je ne veiu pas minimiser le probleme, mais ce n'est pas la pratique qui est grave. il est clair qu'on explore toute la palette, au fur et a mesure qu'on emousse l'excitation donnee par tel ou tel type d'images ou de comportement. alors on cherche ailleurs, que ca nous corresponde ou non. moi aussi j'ai fait la chaudasse, en chat, je l'ai aussi fait au telephone et meme en reel.ce qui est grave, ce 'est pas les anecdotes de ce que ça t'a poussé à faire, c'est bien ce qui t'y a poussé. c'est la compulsion, et la propension à la développer, à t'y réfugier. c'est pour ça que le passage par le psy semble plus que recommandé. pour etudier cela.
merci de ta réponse. Quel est ce quelque qui fait que... qui me pousse à... ? à refuser de m'impliquer dans le rétablissement??Le suivi actuel ne m'y aide guère, ce n'est pas l'angle thérapeutique choisi.
Just do it : zéro annonce zéro réponses, arrêt complet des dials en cours.Et je complexe par rapport à celles qui ont un vécu de couple et de parent. Et j'envie /j'admire par rapport à ceux/celles qui ont une sexualité belle. courage et confiance à toi.
je serais plus compagnon de route que rétablissant.Je n'adhère pas en mon for intérieur, je ne prends pas la carte, je n'ai pas la carte.
? tu ecris un jour que les relations sociales et h/f c'est de la merde en baton sans le baton, et un autre jour tu dis que tu envies les amoureux; que tu as des complexes en idealisant ce qu'ils vivent...l'angle therapeutique que tu suis, il t'apporte quelque chose? je l'espere? je ne sais pas conseiller, mais "just do it" c'est un peu léger comme argumentaire, c'est comme "faute de mieux"...moi, je poserais au therapeute cette question de la resistance a la therapie, je demanderais a relire le mode d'emploi...comment reussir a inflechir ta vie, sans impliquer ta vie dans ce retablissement?(et pourquoi as-tu ecrit tous ces messages hors-sujet, pour te sortir la tete du guidon?)a plus, man.
slt,je ne sache pas que la force de l'argumentation gage de la réussite d'un rétablissement.tu écris "comment reussir a inflechir ta vie, sans impliquer ta vie dans ce retablissement?" : quand bien même je refuse de l'impliquer, elle est de facto impliquée.
S'il y a fausse demande d'aide de ma part, hypothèse recevable, c'est à qui de droit de la mettre au jour et de la dénoncer.[img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4dcd7b9f4.gif"[/img] Sur le plan de l'élliptique , j'ai la certitude que la révélation d'oxyde de souffre dans une solution calcaire et les évolutions successives des mentalités berbères , qui furent une source pour l'avortement précaire des castors nains, ont leur rôle à jouer dans l'éveil macrobiotique des caméléons.
Je me demandais :qqn en pb grave de dépendance affective et/ou sexuelle,qui échoue au sevrage, a-t-il INTERET à se garder (d'essayer du moins) de dragouiller ou d'avoir des aventures? Serait-il alors PERVERS de sa part de repérer des dép', des ""blessées" ( genre abusées et tout..) alors qu'en réalité il ne saurait espérer taper dans les femmes normales?
Merci du coup de main. 
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URLs de référence
- Dépendance sexuelle: http://www.dependance-sexuelle.com/index.php
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