30-04-2008, 16:36
Salut pixel77, je m’adresse à toi et je voulais d’abord poster dans ton message, mais je m’adresse aussi à toutes et tous ici, donc j’ai créé un poste qui sera peut être lus par plus de gens.
Je pense que le problème central de beaucoup de dépendant est le manque de confiance en soi en tant qu’homme adulte.
Parfois une mère oppressante, un père absent ou effacé, peuvent être les facteurs qui déclenchent cette perte de confiance. Pour beaucoup d'hommes, la femme en devient une sorte de divinité intouchable, effrayante, qui possède la force qu'ils n'ont pas eux même.
Le problème c'est que ce genre d'homme est attiré par des femmes qui elles même sont peut habiles à être femme, et son plutôt dominantes et castratrices, sans s'en rendre compte.
Une femme qui à fondamentalement peur des hommes, ira vers un homme qui ne se sent pas fondamentalement homme.
Avoir peur du féminin, c'est aussi aimer changer la femme en femme objet, celle qui est pornographique et filmographique.
Faire de la femme un objet, c'est très rassurant, c'est comme un gigantesque "nichon-mère".
Les machos amateur de « viande humaine » sont souvent les moins sur d’eux même, car il se protège du féminin en convertissant la femme en objet. Parfois ces hommes se réfugient dans le sport et l’activité virile à outrance, pour masqué cet enfant si fragile, presque féminin, en eux. Parfois encore la dépendance passera par le fait de voir des prostituées ou de draguer sur internet, ou au téléphone (pour se sentir fort, croire qu’on à le contrôle… Mais c’est en fait le signe qu’ont est pas capable d’être mature, de conquérir réellement dans des conditions normales).
Les femmes peu sure d'elles vont souvent accepter de respecter ces canons de beautés médiatiques et de comportement porno, car elles imaginent que c'est ça être réellement femme.
En fait elles font la même erreur que leur homme-enfant, et leur féminité est un objet avant d’être une identité profonde.
Ces femmes sont aussi castratrice et dominante, car justement peu sure de leur féminité, elles ne sont pas prête à accepter la force éventuel que peut avoir un homme (d’où l’attirance inconsciente vers les hommes dépendants).
Le fameux "si tu ne bandes pas dur, c'est fini entre nous", dénote justement une tentative de couper les moyens de l'homme pour se protéger de lui (qui justement sera souvent un homme peu sur de lui qui perdra ses moyens). Ces femmes finissent par devenir très agressive à l’égard de leur compagnon, car sa sexualité est tellement « crue, porno » (alors qu’en fait elle est enfantine).
Et la boucle est bouclée.
C'est idéal, ça permet de créer une relation mère dominante - homme enfant (qui va préférer la masturbation infantilisante, plutôt que le sacrilège de se croire capable de pénétrer correctement la femme).
Ce que je veux dire par ce petit exposé, c’est qu’il faut se souvenir que le couple est la rencontre de deux inconscients complémentaires (notion chère à mon cœur).
Pourquoi être attirée par un homme enfant ? L’inconscient sait ou il met les pieds dés le premier regard… Selon moi il n’existe jamais un seul malade dans un couple.
Ma démarche peu sembler bien prétentieuse, et surtout agressive, car j’invite à ne pas trop victimiser les co-dépendantes. Il faut admettre que les couples sont des complémentarités.
Je ne nie pas que la codépendante à parfois (comme vous toutes) une prise de conscience mature qui lui fait comprendre que ça ne fonctionne pas comme ça, mais il ne faut pas croire être tombée totalement involontairement sur un malade, alors que votre maturité, vos gouts et attirances sont « parfaitement épanouies ».
Je ne dis pas qu'il s'agisse nécessairement de votre cas, mais je me risquerais à dire qu'il existe des chances, et que ce genre de chose se rapporte très souvent aux couples dépendant-codépendantes.
- La solution pour un homme dépendant comme moi ?
C’est mieux accepter son statut d’homme adulte, pour pouvoir se tourner vers l’autre.
Il faut que ce type d’homme devienne plus actif, plus combatif, et qu’il se confronte aux problèmes et aux gens au quotidien. Il doit conquérir une indépendance physique, matérielle, affective, intellectuelle.
Resté planqué derrière son ordi, cacher ses petites branlettes dans l’isolement, tout en suppliant madame de ne pas le quitter, c’est ne pas être homme.
C’est la peur d’affronté la vie, la mère (terre-mère), qui conduit à la compulsion et l’impuissance dans des conditions réelles. D’ailleurs souvent les chômeurs impuissants retrouvent leur véritable virilité en trouvant un emploi, ou au décès de leur mère (ce n’est pas un hasard, la mère à volé leur « pénis », et continue au travers de ces images porno).
Pour réussir ce tour de force de redevenir un homme adulte, il faut déjà pouvoir admettre son manque de confiance en soi, sa dépendance, ses doutes, et son état d’enfant soumis et terrifié.
J’ai commencé cette démarche que je trouve incroyablement juste (merci à l’ouvrage de Jacques Ferber. Donc oui c’est possible de s’en sortir, mais il faut être prêt à cette démarche.
En ce qui concerne les codépendantes, je les invites à se demander pourquoi elles peuvent s’accrocher autant à ce type d’homme dépendant, et leur relation à leur propre identité en tant que femme, ainsi qu’a ce que représente l’homme pour elles.
Dans le cas ou votre homme à juste assez de maturité et de courage pour commencer une démarche de guérison, et que vous êtes amoureuses, soyez patientes et ne ménagé pas vos efforts, oui.
Mais au cas ou il n’est pas prêt, et pendant trop de temps, alors n’est il pas temps de vous soigner vous-même, en évitant de sacrifier votre auto estime ?
L’étincelle qui pousse un homme vers l’auto guérison ne proviendra que de son propre être intérieur, et si sa compagne de toujours est encore la après un certain nombre d’années, et qu’il ne guérit pas, c’est peut être bien le signe que cette compagne intensifie le problème (en étant elle-même castratrice, dépendante de sa dépendance, pas assez mature pour se tourner vers un homme accompli). Les névroses de l’un alimentent celles de l’autre, et c’est le cercle vicieux.
Je parle aussi de ma propre expérience, car ça fait des années que j’ai repéré ce problème et que petit à petit j’essaye d’en sortir (et je commence à bien me débrouiller). Je ne suis donc pas la pour condamner qui que ce soit, et je ne prétends pas que mon exemple est l’exemple de base, la référence, mais je suis sur qu’avec ce texte je vais pouvoir aider quelques personnes ici.
Mon parcours en psychanalyse, et des ouvrages comme celui de Jacques Ferber (l’amant tantrique), m’ont aidé à comprendre ce genre de chose, que je ne constate pas que chez moi, mais partout autour de moi, chez des couples qui parfois ne prennent jamais conscience d’être touchés.
Si j’éveil un malaise ou de la colère, c’est peut être que j’ai fait mouche en touchant la corde sensible.
Moi-même j’ai souffert d’affronté ces constats, mais quand je vois ou sont tombées mes ex-codépendantes (qu’elles le sachent ou non), je constate avec tristesse qu’elles sont retombées dans les mêmes erreurs de relation avec d’autres hommes.
Désolé pour la longueur de ce message, je ne cache pas qu’il m’aide AUSSI à poser mes idées, revoir mes résolutions, et je souhaite de tous cœur qu’il soit utile à quelqu’un, ou le pousse simplement à lire sur le sujet, à se remettre en question. Je pense que pour une codépendante, c’est une grosse erreur de zapper completement le travail sur elle-même, ou d’imaginer qu’elle doit devenir une « star du porno » pour retrouver celui qu’elle aime.
Bien à vous tous.
Je pense que le problème central de beaucoup de dépendant est le manque de confiance en soi en tant qu’homme adulte.
Parfois une mère oppressante, un père absent ou effacé, peuvent être les facteurs qui déclenchent cette perte de confiance. Pour beaucoup d'hommes, la femme en devient une sorte de divinité intouchable, effrayante, qui possède la force qu'ils n'ont pas eux même.
Le problème c'est que ce genre d'homme est attiré par des femmes qui elles même sont peut habiles à être femme, et son plutôt dominantes et castratrices, sans s'en rendre compte.
Une femme qui à fondamentalement peur des hommes, ira vers un homme qui ne se sent pas fondamentalement homme.
Avoir peur du féminin, c'est aussi aimer changer la femme en femme objet, celle qui est pornographique et filmographique.
Faire de la femme un objet, c'est très rassurant, c'est comme un gigantesque "nichon-mère".
Les machos amateur de « viande humaine » sont souvent les moins sur d’eux même, car il se protège du féminin en convertissant la femme en objet. Parfois ces hommes se réfugient dans le sport et l’activité virile à outrance, pour masqué cet enfant si fragile, presque féminin, en eux. Parfois encore la dépendance passera par le fait de voir des prostituées ou de draguer sur internet, ou au téléphone (pour se sentir fort, croire qu’on à le contrôle… Mais c’est en fait le signe qu’ont est pas capable d’être mature, de conquérir réellement dans des conditions normales).
Les femmes peu sure d'elles vont souvent accepter de respecter ces canons de beautés médiatiques et de comportement porno, car elles imaginent que c'est ça être réellement femme.
En fait elles font la même erreur que leur homme-enfant, et leur féminité est un objet avant d’être une identité profonde.
Ces femmes sont aussi castratrice et dominante, car justement peu sure de leur féminité, elles ne sont pas prête à accepter la force éventuel que peut avoir un homme (d’où l’attirance inconsciente vers les hommes dépendants).
Le fameux "si tu ne bandes pas dur, c'est fini entre nous", dénote justement une tentative de couper les moyens de l'homme pour se protéger de lui (qui justement sera souvent un homme peu sur de lui qui perdra ses moyens). Ces femmes finissent par devenir très agressive à l’égard de leur compagnon, car sa sexualité est tellement « crue, porno » (alors qu’en fait elle est enfantine).
Et la boucle est bouclée.
C'est idéal, ça permet de créer une relation mère dominante - homme enfant (qui va préférer la masturbation infantilisante, plutôt que le sacrilège de se croire capable de pénétrer correctement la femme).
Ce que je veux dire par ce petit exposé, c’est qu’il faut se souvenir que le couple est la rencontre de deux inconscients complémentaires (notion chère à mon cœur).
Pourquoi être attirée par un homme enfant ? L’inconscient sait ou il met les pieds dés le premier regard… Selon moi il n’existe jamais un seul malade dans un couple.
Ma démarche peu sembler bien prétentieuse, et surtout agressive, car j’invite à ne pas trop victimiser les co-dépendantes. Il faut admettre que les couples sont des complémentarités.
Je ne nie pas que la codépendante à parfois (comme vous toutes) une prise de conscience mature qui lui fait comprendre que ça ne fonctionne pas comme ça, mais il ne faut pas croire être tombée totalement involontairement sur un malade, alors que votre maturité, vos gouts et attirances sont « parfaitement épanouies ».
Je ne dis pas qu'il s'agisse nécessairement de votre cas, mais je me risquerais à dire qu'il existe des chances, et que ce genre de chose se rapporte très souvent aux couples dépendant-codépendantes.
- La solution pour un homme dépendant comme moi ?
C’est mieux accepter son statut d’homme adulte, pour pouvoir se tourner vers l’autre.
Il faut que ce type d’homme devienne plus actif, plus combatif, et qu’il se confronte aux problèmes et aux gens au quotidien. Il doit conquérir une indépendance physique, matérielle, affective, intellectuelle.
Resté planqué derrière son ordi, cacher ses petites branlettes dans l’isolement, tout en suppliant madame de ne pas le quitter, c’est ne pas être homme.
C’est la peur d’affronté la vie, la mère (terre-mère), qui conduit à la compulsion et l’impuissance dans des conditions réelles. D’ailleurs souvent les chômeurs impuissants retrouvent leur véritable virilité en trouvant un emploi, ou au décès de leur mère (ce n’est pas un hasard, la mère à volé leur « pénis », et continue au travers de ces images porno).
Pour réussir ce tour de force de redevenir un homme adulte, il faut déjà pouvoir admettre son manque de confiance en soi, sa dépendance, ses doutes, et son état d’enfant soumis et terrifié.
J’ai commencé cette démarche que je trouve incroyablement juste (merci à l’ouvrage de Jacques Ferber. Donc oui c’est possible de s’en sortir, mais il faut être prêt à cette démarche.
En ce qui concerne les codépendantes, je les invites à se demander pourquoi elles peuvent s’accrocher autant à ce type d’homme dépendant, et leur relation à leur propre identité en tant que femme, ainsi qu’a ce que représente l’homme pour elles.
Dans le cas ou votre homme à juste assez de maturité et de courage pour commencer une démarche de guérison, et que vous êtes amoureuses, soyez patientes et ne ménagé pas vos efforts, oui.
Mais au cas ou il n’est pas prêt, et pendant trop de temps, alors n’est il pas temps de vous soigner vous-même, en évitant de sacrifier votre auto estime ?
L’étincelle qui pousse un homme vers l’auto guérison ne proviendra que de son propre être intérieur, et si sa compagne de toujours est encore la après un certain nombre d’années, et qu’il ne guérit pas, c’est peut être bien le signe que cette compagne intensifie le problème (en étant elle-même castratrice, dépendante de sa dépendance, pas assez mature pour se tourner vers un homme accompli). Les névroses de l’un alimentent celles de l’autre, et c’est le cercle vicieux.
Je parle aussi de ma propre expérience, car ça fait des années que j’ai repéré ce problème et que petit à petit j’essaye d’en sortir (et je commence à bien me débrouiller). Je ne suis donc pas la pour condamner qui que ce soit, et je ne prétends pas que mon exemple est l’exemple de base, la référence, mais je suis sur qu’avec ce texte je vais pouvoir aider quelques personnes ici.
Mon parcours en psychanalyse, et des ouvrages comme celui de Jacques Ferber (l’amant tantrique), m’ont aidé à comprendre ce genre de chose, que je ne constate pas que chez moi, mais partout autour de moi, chez des couples qui parfois ne prennent jamais conscience d’être touchés.
Si j’éveil un malaise ou de la colère, c’est peut être que j’ai fait mouche en touchant la corde sensible.
Moi-même j’ai souffert d’affronté ces constats, mais quand je vois ou sont tombées mes ex-codépendantes (qu’elles le sachent ou non), je constate avec tristesse qu’elles sont retombées dans les mêmes erreurs de relation avec d’autres hommes.
Désolé pour la longueur de ce message, je ne cache pas qu’il m’aide AUSSI à poser mes idées, revoir mes résolutions, et je souhaite de tous cœur qu’il soit utile à quelqu’un, ou le pousse simplement à lire sur le sujet, à se remettre en question. Je pense que pour une codépendante, c’est une grosse erreur de zapper completement le travail sur elle-même, ou d’imaginer qu’elle doit devenir une « star du porno » pour retrouver celui qu’elle aime.
Bien à vous tous.