salut à toi !! et si cela peu te rassurer :)et bien je me suis inscrit sur le forum d'orroz en je crois 2007... alors et depuis... et bien en sevrage depuis le 11 juillet 2009 !!voila !!!la passé est pardoné !??? le présent est la !! tout va bien !!!LE RIP fonctionne très bien pour moi !!!à plus et courage !!! reprends ton chemin !!!car à 80 balai tu veux lire un sondage :"combien de temps passes les français devant des films pornos! ??"résultat abérant:22 heures par semaines ...personnes n'y croiras et toi tu te diras quoi !???vaut mieux pour toi que tu t'imagines vieux à 80 balai , en pleine forme, une canne dans la main les yeux brillants entouré de ta famille, fier d'avoir vécu une vie remplit de rencontres, de joie !
Merci pour le support.Je me suis inscrit à un groupe d'hommes, mais je ne peux en joindre un pour l'instant. Il n'y a pas de groupe dans ma région, je dois attendre qu'un nouveau groupe se forme.J'ai contacté l'aide aux employés à mon travail, mais le type est en vacances et j'ai donc remis à plus tard.Je me suis dit qu'en faisant le premier de vraiment tout jeter à la poubelle, je faisais un pas en avant.La dame quittera la maison la semaine prochaine, moi je garde la maison tant qu'elle n'est pas vendue.Bon, je mets mes trippes à terre; Je pense que j'ai toujours vécu en marge de la réalité quotidienne de la vie. Je ne m'acceptais pas tel que j'étais, je voulais être autre chose. Je ne me suis jamais investi à fond dans quelque chose, que ce soit aux études, aux boulot ou dans mes relations. Je me gardais toujour un espace.Je n'ai jamais vécu pour moi-même, ce qui fait que je me retrouve dans la quarantaine sans savoir ce que j'aime, sans avoir de loisir, de passion (à part de la porno qu'on ne peut partager avec personne). J'ai toujour pensé que j'étais un solitaire... je me rend compte que je ne supporte pas la solitude!Je n'ai jamais aimer! Est-ce que cela se peut? C'est le constat que je viens de faire.Je suis tellement incertain de moi que je n'ose m'investir dans quoique soit. Mon nouvel emploi me servira de levier pour m'investir à fond dans quelque chose. Je recommence à zéro et c'est à ce moment que j'ai remarqué que j'étais à mon meilleur (devant l'inconnu). C'est drôle mais en même temps, cela me rend inconfortable.Je me suis acheté une moto au printemps. Cela m'aide à socialiser, on fait des randonnées de groupe.Bon et bien assez pour aujourd'hui. Merci d'être là. Juste le fait de savoir que quelqu'un écoute m'aide à parler! Même si cela peut sembler incohérent.Il est temps que la dualité en moi cesse. C'est vraiment comme cela que je me sens; visage publique, visage privé.
n'essaie pas de t'apprendre a faire la grimace!...<b../../../em>Quand je relis cette phrase, cela me fait penser que j'ai toujours voulu me débrouiller tout seul.... par le passé j'étai seul, pas de père et pas de mère, pas de soeur, pas de frère. Parents divorcés, habité avec père absent(mentalement), mère, soeur et frère absents.Je sais que j'ai besoin des autres, c'est pour cela que je suis ici. Je commence à me "servir" des autres.Tant pis pour vous! [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4dbc14f3f.gif"[/img]
tiens c'est très bon ce que tu découvres !!Car tu déteste la solitude.. alors tu t'enfermes dans le porno... ce qui te rends plus solitaire...comme tu dis qu'elle étrange dualité !!et formidable d'en prendre conscience !!bon allez sans faire le psy mais un peu tout de même...est ce lié à la peur de l'abandon ??d'ailleurs si d'autre peuvent répondre...La compulsion peut elle être lié à une peur de l'abandon ?
pour moi, la compulsion est liee a un mecanisme de fuite de la realite, comme pour une drogue ou l'alcoolisme. on peut fumer un joint ou boire 5 bieres pour faire la fete, sortir de ses gonds, faire un voyage, etre avec des amis a faire les cons, etc. mais on peut aussi y trouver un substitut a la realite et croire y trouver un refuge, une terre d'accueil plus douce parce qu'on y nie ses problemes personnels. c'est ainsi qu'on peut par exemple se sentir seul, et avoir envie de fuir cette sensation douloureuse de manque par la boisson. mais meme si on boit avec des gens, on ne se rend pas forcement compte, si on se laisse boire pour fuir la solitude et non fondamentalement et sincerement pour la convivialite de "deconner a pusieurs", qu'on est encore bien seul dans sa saoûlitude. mais comme on a envie d'y croire, on continue ce comportement en esperant enfin trouver a combler ses manques, et c'est la que la compulsion et la dependance pointent le bout de leur nez, c'est la que de buveur festif comme beaucoup peuvent demeurer, on devient alcoolique. ce n'est pas simplement a force de repetition du geste, c'est aussi a cause de cette mauvaise utillisation du comportement, basee sur une croyance erronee qu'il va avoir une influence positive sur la vie. pour la masturbation compulsive, c'est exactement pareil. c'est comme une metaphore de relation intime, mais sans realite puisqu'elle n'existe reellement qu'entre soi et soi-meme. on construit mentalement la relation avec la fille ou le garçon, sur papier glace ou sur ecran, ou en tchat, ou meme en rencontre reelle. on se dedouane en se faisant croire qu'on n'est pas dupe et qu'on sait bien la difference entre une relation amoureuse et une branlette, pourtant je crois que c'est bien cet amalgame-la qu'on stimule inconsciemment.d'ou cette dualite, ce qu'on perçoit comme une double personnalité frisant la schizophrenie qu'on se construit, etc. la peur de l'abandon, pourquoi pas, bien sur. si je cree une relation avec Madonna, je ne risque pas d'etre abandonne par elle, parce que je sais bien (ou je crois le savoir, mais je me mets le doigt dans l'engrenage et dans l'oeil) que cette relation n'est pas totale et qu'elle ne sert que d'ersatz metaphorique. pourtant, ma vraie peur de l'abandon que je profite de mon idolatrie pour mettre de cote, n'a pas ete adressee, traitee, elle n'a pas disparu ni meme evolue d'un poil. alors ce ne sera pas a cause de madonna ni a cause de ma peur de l'abandon que je tomberai dans la compulsion, ce sera a cause du fait que je me trompe de façon de l'envisager, a mettre la poussiere sous le tapis au lieu de passer l'aspirateur.
Gaelj je ne pense pas qu'on puisse des généralités sur la solitude, la peur de l'abandon etc...Même si une personne qui se mastrube sur du porno et qui veut le cacher à ses amis a peut être peur que le masque tombe. Peut être qu'il aura peur d'être abandonné par ses amis qui ne semblent pas du tout adhérer à ce genre de pratiques ou peur d'être abandonné par sa copine car cela ne doit pas être facil à vivre pour elle. Ensuite il doit y avoir un lien entre solitude et peur d'être abandonné mais je ne le connais pas je ne suis pas psy. Mais pour la masturbation je pense que c'est un mensonge à soi même donc je pense que ce serait une peur de se perdre pour en revenir au titre du post ^^ . La dernière fois que j'ai chuté c'était parce que pas mal de temps de sevrage s'était écoulé (2 semaines et 3 jours), je me sentais mieux, épanoui, plus déprimé etc...Et c'est là où ne sentant plus cette déprime qui d'habitude m'empêche de mater des images et de trouver une excitation à partir de celles-ci je me suis cru assez fort j'ai regardé des images, les ai maté et ai laissé la compulsion s'installer. Après un petit coup de fatigue, sentiment d'être seul et j'ai replongé. C'est trop idiot. Enfin bon maintenant j'essaie de continuer mon sevrage remarquant dans beaucoup de domaines l'effet de ma compulsion. Cela m'aide à arrêter àredevenir moi-même. Sinon il y a des gens qui souffrent effectivement d'une peur maladive d'être abandonné et j'avais lu un bouquin sur ce sujet" la blessure d'abandon" très intéressant. En fait je croies être un peu comme ça mais pour l'instant je n'ai pas encore fait bcp de séance chez le psy et je ne sais si c'est la réalité.
Il y a dans la compulsion, comme le dit Mondom, une fuite de la réalité. C'est en tout cas mon cas. Freud parlerait sans doute de la prédominance du principe de plaisir sur le principe de réalité.Fuir la réalité, car elle ne répond pas à mes attentes, parce qu'elle m'angoisse etc. Mais à un moment donné, la compulsion déforme la réalité, ce qui fait que je ne la vois plus que comme une source d'angoisse ou d'ennui. Alors, quand je compulse, je me perds, dans tous les sens du terme. Et Internet est bien utile pour donner ce sentiment de fuite infinie.C'est pour cela qu'il est important de s'astreindre à une discipline d'abstinence. Pour revenir sur terre, et revoir la réalité telle qu'elle est. Pas toujours agréable mais aussi avec des sources de joie qu'il faut savoir apprécier et saisir au jour le jour.
Intéressants vos messages messieurs.La solitude a la même signature vibratoire que l'abandon, l'essence est la même selon moi.En ce qui me concerne, je constate que j'ai toujours fui la réalité. Dans cette réalité il y avait la solitude, la sensibilité, les responsabilités, la croyance de ne pas être à la hauteur de ce qu'on exige de nous (ce que je croyais qu'on s'attendait de moi) sur le plan affectif ou professionnel.Si on étend le sujet un peu, je dis que je n'ai jamais été moi-même..... par peur de ne pas plaire, être accepté, d'être rejeter et être seul. Même si je pensais agir le contraire, je ne voyais pas que je me dupais moi-même.La porno et l'alcool venaient tout effacer ces craintes inconscientes. Je ne ressens pas de craintes quand je recherche LA nouvelle image ou vidéo qui fera monter l'adrénaline. Mes imperfections ou défauts n'ont plus d'importance quand je gobe ces images les unes après les autres.Je lis des livres dernièrement qui m'aide beaucoup à voir clair dans ma situation. Mais il y a une barrière invisible qui m'empêchait d'enclencher le processus de sevrage. J'en suis à mon premier jour et j'avoue avoir déjà eu la pensée d'aller récupérer des casettes aux poubelles. Des films "soft" que je regardais parfois avec mon ex. Je me disais que ça pourrait servir éventuellement. C'est fou comme on trouve des raisons pour justifier la compulsion! Cela ne ferait que paver le chemin vers une autre orgie virtuelle.J'ai tenté à quelques reprises d'arrêter, mais je me permettais toujours de ne pas m'en faire avec les trucs "soft" tels que les photos de de mode, la musique, cinéma, l'art sensuel de la photographie. Je me disais que ce n'était pas de la porno.... mais à tout coup je replongeais après quelques jours ou semaines.La porno n'est pas le problème, c'est plutôt ma compulsion à fuir la réalité avec des trucs qui m'occupent la tête. Aussitôt que la femme est séduisante, qu'elle soit habillée ou non, qu'elle soit une vedette de la porno ou de la pop, et bien cela faisait le travail.Bon assez pour aujourd'hui.Merci à vous.Les livres dont je parle sont: Trop gentil pour être heureux, Père manquant fils manqué et Le meilleur de soi. Je les recommande.
"La porno n'est pas le problème, c'est plutôt ma compulsion à fuir la réalité avec des trucs qui m'occupent la tête. "quand j'ai eu compris cela pour moi pour de bon, je n'étais plus très loin de l'entrée du tunnel, et il s'est dissipé avant même d'entrevoir la sortie, il n'y en a plus eu et j'ai été libéré.(pour moi, j'étais aidé, parce que "par chance" je fumais des joints, et d'arrêter cela m'a projeté dans la réalité dont je n'ai plus eu besoin d'avoir peur parce que en ouvrant les yeux j'ai vu qu'elle était encore plus belle que je l'avais toujours su et pourtant bien clamé... c'est à présent indubitablement clair qu'il ne s'agit pas d'arrêter un comportement compulsif puis un autre puis encore un autre pour tendre vers le "clean", mais bien de me réconcilier avec cette vie qui finalement était sous mes yeux depuis toujours, ce qui a pour conséquence de les faire disparaître tous parce qu'ils n'ont plus la moindre raison d'être et que je ne suis pas un imbécile au point de me forcer à les prolonger juste pour me faire chier, j'ai autre chose à faire, et de bien plus joli et intéressant en plus)(plus joli et interessant, par exemple mon cher koko, que d'aller plonger dans la benne a ordures pour y retrouver un film erotique qui jalonnait l'espace entre deux ecrans de pub il y a peu...)