Dépendance sexuelle

Version complète : Le Plébiscite de l'extrême..
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heu.... Finalement, je crois que je ne pourrais pas témoigner ici... [img=../../../uploads/smil3dbd4dcd7b9f4.gif" border="0]" width="25" height="24[/img]
Pourquoi pas ? Ou est le problème ? Exprime toi , n'hésites pas , plutôt que de ne rien faire , on est à ton écoute.
T'inquiètes, je vais l'assumer mon destin, ami...
je comprend pas, j'essaye d'insérer un texte saisi sur un traitement de texte, et la mise en forme n'est pas respectée. Que dois-je faire svp au niveau des paramètres pour que mon texte soit correctement inséré ?Est ce que ça a un rapport avec l'éditeur (html ou tiny), ou les options en bas de la zone de texte (activer les tags, etc) ?edit : il insère le code html, c'est bizarre...
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 Edit: Ah oui si tu copies un  texte qui a déjà des balises de mise en forme, je sais si ça va marcher.

Le Plébiscite de l'extrême. Moi je m'interroge sur le libre arbitre et la destinée...Est ce nous qui décidons vraiment de nos actes, ou bien ne sommes nous que le jouet du destin, avec des épreuves à la clé, subites malgré nous, histoire de voir comment on va se sortir du pétrin dans lequel nous sommes tous, mais aussi pour nous donner une chance, une opportunité d'évolution qui tendrait vers l'élévation / amélioration.Est ce à voir dans l'optique d'une "épreuve karmique", dans le sens où nous sommes tous à un degré d'évolution qui nous correspond, qu'il faut d'abord accepter, pour pouvoir la dépasser, et passer enfin à autre chose.Ceci expliquerait schématiquement les raisons de notre incarnation. S'élever, triompher des épreuves, avec ou sans panache, mais dans quel but final ?Vu ainsi, ça rejoindrait la phrase de Claude Traxx : "Nous créons ce dont nous n'avons plus besoin."Ou bien est ce que, selon certains enseignements spirituels, nous nous sommes incarnés par amour pour nous-mêmes, que nous devons explorer la création, expérimenter la matière et l'énergie, pour rester généraliste dans l'énonciation des raisons supposées, et ne pas se soucier du reste, ou bien les notions de bien et de mal ont quand même une importance qu'on ne peut négliger, malgré l'aspect ennuyeux de la morale ?Maintenant, si l'on admet ce qui précède, aurions nous là un moyen d'évaluer le degré d'évolution ou d'intelligence, ou de faculté de la personne en regardant simplement quels sont ses centres d'intérêts, son travail, et ce qu'il est capable de faire avec ?Par exemple, un ingénieur en électronique est il plus proche de Dieu qu'un cordonnier, ou bien est ce un raisonnement simpliste, qui se transcende, se dépasse par la simple prise de conscience qu'il n'y a pas de supérieur ou d'inférieur, que nous sommes tous différent, que nous devons faire chacun notre chemin ?"On a toujours besoin d'un plus petit que soi."Et donc, quid de ces notions de supériorité et d'infériorité ? Peuvent elles se justifier ? Bien que ces mots existent, et peuvent sans problème s'envisager sous un aspect mathématique (3 est supérieur à 1, etc), cette notion peut elle se superposer à l'être humain, sans que cela ne soit dangereux, risqué, ou erroné ?Le militaire, par exemple, dira d'emblée et sans discuter qu'il a admis et intégré la nécessité d'une hiérarchie. Pour lui, c'est clair et net dans sa tête, il ne fait aucun doute qu'il faut des chefs pour commander les troupes, que c'est l'une des nécessité indispensables pour avoir une chance d'avoir une armée qui pourra vaincre l'armée adverse lors d'une guerre.Mais quel discours guerrier et inhumain ! Qu'est ce qui justifie la guerre ? Ou même la nécessité d'avoir une armée prête à se mettre en branle ? Certains défenseurs censés (mais aussi raisonnable ?) justifient en distinguant l'attaque de la défense.Ne pas attaquer une nation est une preuve de son pacifisme, ou l'absence de raison de sentiment d'hostilité à son égard, mais au nom de la protection des peuples (les civils), une armée disponible doit être prête et efficiente en cas d'attaque adverse. C'est le débat qui se résume par : "Notre ministère ne s'appelle plus Ministère de l'armée, mais Ministère de la défense nationale."D'un autre côté, et même à l'opposé du discours précité, les "rebelles" ou intellectuels à tendance anarchistes qui critiquent la société prétendent ou affirment que cette notion est illusoire et fallacieuse, dans le sens où elle sépare les gens, créée une barrière, qui nuit à la libre communication, à l'égalité, et donc la fraternité.D'un autre, la grande majorité des individus réfléchis estiment et admettent qu'une notion de hiérarchie est, sinon justifiable, explicable, avec des arguments à la clé.L'exemple du créateur d'entreprise en est parmi d'autre. Ce dernier n'est ni un militaire, ni un anarchiste. Il a eut tout simplement son idée, avait un rêve, une envie, ou un sentiment d'avoir trouvé quelque chose qui pourrait apporter quelque chose de bénéfique ou de constructif pour améliorer les conditions de vie de ses semblables, et leur faciliter l'existence en mettant à profit ses découvertes ou ses services.Ainsi la vie en entreprise serait elle un juste milieu entre l'exemple du militaire et de l'anarchiste ? Un artiste doit il être capable d'accepter de penser à des choses non orthodoxes pour dépasser les limites actuelles de sa société, mais en le faisant avec une discipline digne du militaire pour parfaire la qualité de son oeuvre ?Il est bien connu et évident que c'est au travers de l'Art que le "peuple" trouve sa catharsis, son divertissement, où il a conscience que les règles et les lois ne sont dépassés que et uniquement que dans le strict cadre de la fiction, et donc n'est que virtuel.Cependant, l'artiste a quand même, si ce n'est un pouvoir, au moins une responsabilité, si celui-ci aspire à être intègre, et digne de ses congénères actifs.C'est tout le débat de l'incitation, ou de la tentation du consommateur de l'oeuvre d'art. Ainsi que les publics visés, dont certains contenus doivent faire preuve d'un avertissement avant consommation.Age minimum de visualisation d'un film, ou d'un roman, s'assurer que le lecteur doit avoir conscience et faire la distinction entre le bien et le mal, le moral et l'immoral, et dans les oeuvres les plus "extrêmes" ou choquantes savoir distinguer et ne pas mélanger le contenu de l'oeuvre avec la réalité. L'un des exemples connus est la dérive hélas parfois constaté dans les jeux de rôles, où les participants, qui se déconnectent trop de la réalité, et s'imprègnent trop (de façon excessive pour leur équilibre mental) dans le temps et l'esprit du contenu de certains jeux peut finir par leur nuire.J'ai bien conscience que je sous-entend des choses assez extrêmes, mais que voulez-vous, je suis un défricheur de l'extrême... :)Magna Veritas, ou In Nomine satanis, incitent le participant à imiter ou reproduire des scènes d'invocations d'entités immatérielles, et que ces entités soient réelles ou non, elles peuvent avoir une incidence psychologique négative.C'est la raison pour laquelle j'ai considéré que certaines lectures n'étant pas accessibles à n'importe qui sans risque, j'ai décidé dans mon roman de rester relativement "soft", et de ne pas tomber dans un gore à la Stephen King, ou Lovecraft, car déjà çe ne correspond pas à mes gouts, dans le sens où je trouve ça malsain, et un peu trop extrême...A moins de n'estimer que justement le courage ou le talent de l'artiste de renom soit d'être capable de percer et de penser les extrêmes pour donner le grand frisson au lecteur ? Quitte à écrire les pires choses les plus immorales ou considérées comme les plus atroces du monde (c'est des exemples, je vous rassure je ne focalise pas sur ça à longueur de journée).Au passage un psychanalyste s'interrogerait surement sur les raisons qui peuvent inciter ou motiver un artiste à vouloir sublimer ce genre de choses de manière acceptable. Que peut il vouloir défouler de manière acceptable, et surtout pourquoi ?Si c'est clair dans sa tête, à savoir un pur intérêt intellectuel de dépasser les limites actuelles pour faire de la nouveauté, ou pour choquer le consommateur, avec l'intention de vendre ou faire parler de lui (provocation ?), et donc qu'il (l'artiste) n'a rien à avoir personnellement dans les transgressions qu'il voudrait transcrire, alors l'oeuvre d'art sensible peut être elle concrétisée, au risque de semer le trouble dans l'image qu'il donne de lui, comme type d'artiste ?Cela ferait référence aux catégories et genres littéraires par exemple (science fiction, fantastique, biographie, horreur, thriller, etc). Je crois que la réponse se trouve dans la recherche de savoir tout simplement quel type de public on vise... Or, je ne sais pas quel type de public vise Stephen King quand il écrit Misery, ou Shining, car si ses films ont fait scandale en leur temps, ils sont aujourd'hui considérés comme des "classiques", et finalement le public s'est habitué à cette violence plus ou moins ambiante et récurrente dans les oeuvres de fiction.Suffit il de faire appel ou d'objecter que la fiction n'est pas pire que le réel ? Que cette réalité est tout aussi cruelle et horrible que les fictions écrites ou couchées sur divers supports ?A partir du moment où il est admis qu'il s'agit d'une fiction, peut on alors tout écrire ? Voilà une bonne question, et dont on pourrait s'interroger vis à vis de la législation en vigueur.D'ailleurs ce genre de questions / débat a déjà été débattue, à plusieurs reprises, dont par exemple des écrivains qui ont été condamnés (si je me trompe pas) pour avoir fait des apologies plus ou moins indirecte de la pédophilie. Je ne sais pas s'il ont été condamnés, mais en tout cas ils ont jouit par la suite d'une très mauvaise image d'eux auprès de l'opinion.Pourtant, Serge Gainsbourg, a lui aussi été soupçonné de "pensée impures", ou douteuses, avec "Un zeste de citron", où il fait allusion à l'inceste. Et bien qu'il ne s'agissait que de pensées (après tout on est libre de penser ce qu'on veut), il a confirmé une fois de plus en son temps sa personnalité "limite" et provocatrice.Il jouait donc avec les limites de la bienséance, des moeurs et de la morale. En disant donc : "Je connais me limites, c'est pourquoi je vais au delà."Et enfin que dire de Daniel Con Bendhit, qui avoue dans un de ses livres avoir un jour montré son "zizi" à un enfant, dans le but de "satisfaire sa curiosité, et pour lui donner un aperçu de la vie." ? Pourtant ce politicien de renom, bien qu'ayant vu sa réputation descendre en flèche pendant quelques temps, continue toujours d'officer au Parlement européen pour poursuivre et oeuvrer à la construction de l'Union Européenne.Qu'à pensé l'opinion de ce genre de choses ? Si pour moi il ne fait aucun doute que la pédophilie ou l'inceste est à proscrire sans aucun doute dans la réalité, qu'en est il des répercussions si je voulais en parler dans un écrit ?Moi même jusqu'où je peux aller dans mes écrits sans que cela ne pose problème ? La simple raison de l'argument de la fiction suffit elle ? Des esprits tordus ou se prétendant garant de la morale ne vont ils pas se demander pourquoi je serais "tenté" ou intéressé d'écrire sur des sujets aussi graves et extrêmes ?Il faudrait analyser les arguments en faveur et en défaveur pour se faire une idée, à moins que cela n'est déjà été fait par d'autres intellectuels.1/ risque d'incitation et de passage à l'acte de la part d'un lecteur qui ne serait pas capable de faire la part des choses, ou fragile psychologiquement, ou perturbé d'une quelconque manière ?2/ Simple motivation de faire du choquant ou du sensationnel, mais dans quel but ? Vendre du produit et faire du chiffre ? Au risque d'avoir une réputation douteuse ? Pour revenir et conclure sur les notions de destinée ou de libre arbitre, est ce nous qui conditionnons et construisons entièrement nos vies, en libre arbitre et liberté totale, et qu'il serait plus censé d'envisager l'aléatoire comme des sources extérieures qui peuvent potentiellement nous rejaillir dessus, dont nous ne serions pas responsables, en se disant que malgré toutes les précautions qu'on prenne, nous ne sommes pas à l'abri d'une atteinte extérieure, qu'elle fusse intentionnelle ou non intentionnelle...Exemple concret : j'ai beau conduire ma voiture en respectant au maximum le code de la route, et en étant vigilant, je ne suis pas pour autant à l'abri d'un accident de voiture qui pourrait être provoqué par un autre conducteur...Maintenant, quant à savoir s'il faut voir, considérer l'éventuel accident comme une décision supérieure, qui nous dépasse, et qui serait conditionné par notre passé, ne n'ai plus de doute à ce sujet là.Je me demande si cela n'aurait pas un rapport avec le karma et le darhma... Fatalisme extrême, ou lucidité exacerbée, je ne sais...En gros, tu fais ta connerie, dans un moment d'égarement, ou de faiblesse, et après les Dieux rient sous cape en attendant de voir comment tu vas te sortir des problèmes dans lesquels tu t'es toi même enfoncé...Ou alors, tu es "clean", intègre, tu n'as rien de réel à te reprocher, le plus important étant de n'avoir fait de mal à personne, et tu peux donc oublier ton passé, pour te mettre ou te remettre au travail...... Et ainsi assumer à nouveau ton destin, même si celui-ci est mystérieusement caché et révélé qu'au moment où tu le concretise...http://fr.wikipedia.org/wiki/Destinhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Fatalisme"Trouvant la cause principale de leurs actes à l'intérieur d'eux-mêmes, ils peuvent légitimement en être tenus pour responsables : ils ne sauraient imputer au destin ce dont ils sont le principe.""La liberté au sein du fatum [modifier]Le stoïcisme maintient ainsi la liberté de l'homme en tant qu'être rationnel. Si je ne puis rien modifier aux événements qui m'affectent, je suis cependant le maître de la manière dont je les accueille et dont j'y réagis. Le dieu m'a laissé la jouissance de l'essentiel : le bon usage de ma raison. Le cylindre ne se déplace pas comme le cône, et le fou ne réagit pas comme le sage : il ne tient qu'à moi et à ma pratique de la philosophie de perfectionner ma raison pour porter des jugements sains sur le monde qui m'entoure. Mais si Chrysippe s'efforça de concilier le fatum stoicum avec l'action et la moralité, sa réponse ne fut guère entendue par les adversaires du stoïcisme, qui, jusqu'à la fin de l'Antiquité ne cessèrent de ressasser les mêmes objections à l'encontre de cette école."L'autre jour, j'ai retrouvé, en faisant le ménage dans mon portefeuille, un mini article de journal que j'avais découpé il y a déjà pas mal de temps, qui qui dit, en substance : "Télé réalité, mensonges et dérapages.""Il n'y a aucun doute, les exécutions publiques seront au programme de la télé de demain. Avec Internet, n'importe qui peut diffuser des émissions. Des gens regarderont des scènes de pédophilie ou de sports sanguinolents. Tel sera notre avenir en matière de divertissement."Stuart Fischoff.Or, si moi j'ai commis et avoue avoir cédé à cette tentation, et donc m'étant placé comme une sorte de pionnier expérimentateur en la matière (et je ne suis pas le seul), ce que j'en déduis au final est que je pense qu'il vaut mieux stopper, endiguer ce genre de "phénomènes" de société, car sinon on court tout droit à la catastrophe, en voulant banaliser absolument tout... Y compris le pire...Il m'a fallu un mois pour m'en remettre, et je garderais gravé à vie les souvenirs de ces images horribles, et parfois insoutenables. Et d'ailleurs à ce jour mon deuil n'est pas encore achevé...D'ailleurs ça prouve au passage que je ne suis pas un psychopathe non plus, car j'ai éprouvé de la culpabilité et du remord, j'ai même été bouffée par celle-ci pendant longtemps.Je ne suis pas un sarkozyste, ou un moraliste, ou je ne sais quoi dans ce genre, ca n'est qu'une question de bon sens, qui peut se comprendre par l'analyse psychanalytique.La loi dit que si la visualisation de scènes pornographiques n'est répréhensible que si elle est un fait habituel, autrement dit si elle ne devient pas une démarche répétitive coutumière, la personne n'est pas ou n'est plus hors la loi. Si on ne le fait qu'une seule fois, on n'est donc pas un hors la loi. Tandis qu'une personne qui renouvelle ce genre d'expérience peut vouloir dire qu'il s'y complait, et que donc il éprouve une certaine attirance pour ce genre de scènes, et donc, qu'il n'est pas sain ni moral.Je précise que j'ai écrit ce texte dans un but évidemment cathartique. J'aimerais tellement parler d'autre chose, de plus plaisant et moins "lourd", mais il fallait peut être, surement, que je passe par là pour me sentir mieux et dégagé de ce sentiment de culpabilité, que je ne supportais plus. Maintenant, si on me demandait de participer à des recherches sur ce genre de choses, pour venir en aide à des personnes impliquées par ce genre de problème, il va de soi que la réponse est non. D'une part je ne suis ni psychiatre, ni psychothérapeute, ni pychanalyste, je suis juste un artiste en herbe, qui exerce sa plume en dillettante.Dieu, je te maudits de m'avoir obligé à faire ça...Fin du plébiscite.Annexe : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pornographie_enfantineLe principal texte de répression de la pornographie infantile est l'article 227-23 du [url=http://null/wiki/Code_p%C3%A9nal_(France)" title="Code pénal (France)]code pénal[/url]"Le fait de consulter habituellement un service de communication au public en ligne mettant à disposition une telle image ou représentation ou de détenir une telle image ou représentation […] est puni de deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.[…]"
OH !  c'est vraiment développé à fond , il faut suivre ! Un plébiscite assez complexe pour moi . en tout cas  bravo pour l'effort  et désolé de ne pas y répondre correctement.
Ben dis donc, t'en mets un temps à la cracher, ta valda...tu te rends bien compte qu'à ce stade, maudire dieu c'est un peu mesquin ? surtout si c'est pour te défiler devant la responsabilité d'avoir maté du pédoporno, si j'ai bien compris. expérience que tu aurais pu t'épargner devant cette mise en garde de nietzsche : Si tu plonges ton regard dans l'âbime, l'âbime te regarde aussi "m'enfin des fois on peut pas faire l'économie des expériences perso...ça t'a soulagé d'écrire ça ? parce que c'est peut-être là l'essentiel, pour ceux qui parviennent à te suivre.  
Oui, j'ai un peu peur que le pédoporno aie pour conséquence la production de textes difficiles à suivre...Bienvenu à toi, en tout cas, et_ouais.Bon, sur l'éternelle question du libre-arbitre et du destin, y a la classique "Essai sur le libre arbitre" de Schopenhauer. Très facile à suivre ;-) Par contre, il plaide pour la thèse comme quoi l'homme n'est pas libre.En fait, j'ai énormément réfléchi à cette question, et je crois qu'une clé est : quand on dit "Je suis libre, . qui est "Je" ? Voir même : Quoi est "Je" ? Ca peut paraitre con comme ça, mais du bouddhisme à la sociologie (voir le dernier bouquin de JC Kaufman), ça ne l'est pas tant que ça.Quoiqu'il en soit : Dieu ou pas Dieu, liberté ou destin, y a que toi, qui peut te tirer du merdier dans lequel nous barbottons.  Penses aussi à te faire aider. L'égo seul n'est pas assez armé pour te tirer de là (il fait un peu partie du problème, en fait).Tchuss ! 
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