Dépendance sexuelle

Version complète : Psy ou pas psy???
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Bonsoir à tous,

La question est clair!
A votre avis l'aide d'un psy est-elle indispensable pour réussir son sevrage?
J'ai envie de m'en sortir seul, dois-je voir un psy quand même? (presion de quelqu'un)
Avez-vous des témoignages OBJECTIFS sur l'aide (ou non) qu'a pu vous apporter un psy?
Ceux qui s'en sont sorti (ou qui arrive à "controler") peuvent-ils me donner leur avis?
Psy ou sexologue?

Merci d'avance.

Si vous voulez en savoir plus sur moi j'ai écrit dans la section "blogs".

CISCO
Le psy ça marche... Encore faut-il le faire sincèrement.
Je me pose un peu la même question...
Le psy, je suis certaine que ça marche, si on s'accroche vraiment. Je me vois évoluer tous les jours grâce à ça.
Mon copain semble opter pour l'option sexologue... Je ne suis pas certaine que ce soit suffisant...
Bonjour Cisco

J'ai lu ton blog, et je t'y ai laissé un message. Tu sembles très déterminé à vouloir en sortir. C'est très bien.
Après, pour le psy, je sais que pour moi ça marche. Mais, comme le dit Jim, c'est autant du côté du psy que de soi-même que dépendent les choses. Accepter de se laisser aider et faire en sorte de faire confiance est indispensable. Personnellement, je me sens trop fragile pour me battre tout seul et l'aide du psy, des AA pour l'alcool, de ce forum pour la dépendance sexuelle ne sont de loin pas de trop. À mon avis, le mieux, c'est d'essayer. ;-)

Bon courage à toi.
hello,
en tout cas si tu vas voir un psy sous la contrainte c'est assez mal barré sauf si tu tombe sur un psy genialissime.
Il faut beaucoup de confiance pour laisser quelqu'un fouiller les recoins de ta tete...
Tout à fait d'accord avec Galaad : chez un psy, on s'aide soi-même. Donc, si on n'a pas envie de le faire, ça ne marche pas. Mais comme tu sembles très déterminé, ça devrait le faire !
Je le rejoins aussi, sur le fait que l'on peut mettre plusieurs choses en place pour s'en sortir. Parce qu'un psy n'est qu'un être humain, il a ses limites.
En s'entourrant un maximum de gens qui nous sont bénéfique (forum, groupe,...) et en faisant des choses qui nous font du bien (sport, passion,...). On met plus de chance de son côté.
Enfin, je crois...
Prend bien soin de toi !!!
Bon bah finalement j'ai signé!
Je vais voir un psychiatre la semaine prochaine, en plus il est sexologue.
Je suis parti du principe que de toute façon ça ne pouvait m'apporter que du bien.
Donc on verra :-)
Super ! J'espère que le courant passera bien entre vous. Et que c'est quelqu'un de super compétent !!
Tiens nous au courant !
Bonjour,

Bravo Cisco,
et pour ceux qui hésitent à franchir la porte du psy, voici mon argument perso, en tant que femme de dépendant : ça permet d'obtenir un "temps mort", une trève des disputes à ce sujet.

Depuis que mon conjoint a pris son premier rendez-vous, je retrouve confiance en lui. Je sais bien que c'est triste, que la confiance devrait venir plus naturellement, mais justement : ça va revenir parce que je suis rassurée maintenant.

8-) Bon courage à tous...
en effet il n'y a rien de dangereux de voir un psy sur cette régularité dont parle underscore.
bien sure il faut savoir pourquoi on y va. cette motivation ne peut être que personnelle car dans le cabinet du thérapeute c'est avec soi même qu'on a rendez vous. personne d'autre.
si on peur en définitive c'est de soi et non du psy. c'est s'affronter, avoir le courage de lever certains voiles. c'est bien du courage, car il ne faut pas se leurer, une fois ce travail engagé on va forcement changer.
et le changement fait peur.
alors pourquoi vouloir changer? c'est là question à laquelle il faut savoir répondre sincèrement.
pour ma part c'est la souffrance spychologique que je ne supportais plus, j'étais dans un etaut qui reserrait chaque jour un peu plus ses machoires sur tout mon être. ensuite se fut ma prise de conscience que j'avais été destructuré notamment du coté de mes apprentissages de la sexualité. je ne voulais pas devenir un monstre.
a chacun de trouver sa raison pour déccrocher son teléphone et prendre un premier rendez vous. après il faut tenir sur la durée, là aussi ce n'est pas si simple. mais lorsqu'on a commencé ce boulot il faut savoir qu'on s'y engage pour plusieurs mois. sinon c'est du bidon.
j'ai eu recours au début aux medicaments, juste pour calmer la pression. c'est aidant pour s'ouvrir et sortir de sa coquille.avec le temps la solution chimique est devenue inutile. c'est la thérapie et ses enseignements qui m'aide à tenir aujourd'hui.
je connais mieux mes démons.
ps : pas de question d'argent aussi, on peut se faire faire des feuilles de soin etc....si on se reconnait bien comme malade il n'y rien de mal à ce que la solidarité collective prenne en charge nos soins.
allez bon courage et comprenez bien que le sevrage repose d'abord sur un travail sur soi. sinon on bidouille et bonjour l'embrouille.
déclick
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