29-03-2007, 00:33
Cela fera bientôt 2 semaines que j'aurai tout arrêté: masturbation, porno, et fin des fantasmes sur les filles attirantes que je croise chaque jour.
Mon esprit tremble sous les coups des pensées lascives qui m'obsèdent une bonne partie de la journée, mais l'édifice ne cède pas; il faut dire que les fondations sont solides et que le but de l'édification de ce monument n'est autre que tendre vers une vie meilleure, une vie passionante, une vie ayant un sens.
J'ai donc eu à subir les assauts répétés de pensées sexuelles aujourd'hui, des images très réalistes, avec les sensaions qui allaient avec bien entendu; j'avais même, à un moment donné, le regard dans le vide alors que j'étais absorbé par un travail à la bibliothèque à la fac'.
Mais je n'ai pas cédé, ou du moins pas physiquement, même si je prenais plaisir à entretenir un peu plus ces pensées.
Ca n'allait pas être aussi facile que prévu. On s'approche lentement du cap des 3 semaines, mais je tiens bon. J'étais surpris de l'intensité de cette pulsion qui m'a pris soudainement, mais je savais en mon fort intérieur que si j'y cédais, tout serait à recommencer.
Je passais en revu tout ce qui me restait: quelques séquences visionnées autrefois, des films que je me faisais avec des filles avec qui il s'était déjà passé quelque chose et avec lesquelles je faisais d'AUTRES choses; j'imaginais le contact de leur peau, de leurs seins, entièrement en elles, m'oubliant dans leurs courbes voluptueuses.
Je n'ai pas de fantasmes particulièrement raffinés ou originaux; juste un rapport sexuel normal en fait.
Mais je ne sais plus vraiment discerner la frontière entre besoin réel et dépendance. J'ai des envies, c'est clair et net, mais d'un autre côté,je préfère ne pas trop jouer avec le feu, car j'ai peu d'occasion de les satisfaire (coup de chance parfois...)
En fait, par le rythme que je compte m'imposer, je souhiate faire baisser le désir histoire de ne plus retomber dans la spirale: masturbation + porno.
C'est un sevrage total, qui me permettra de m'investir dans d'autres domaines susceptible de m'enrichir. Car ces derniers temps, je commence à rendre ma vie plus intéressante (je me suis notamment remis au sport)et plus active.
Je veux dorénavant me construire une identité forte, me forger une image positive. Je ne prétend pas tout faire d'un coup, mais petit à petit, je suis sûr et certain d'y parvenir.
La finalité étant d'avoir une vie affective équilibrée avec une personne que l'on estime, une personne interessante
et qui reconnaitra nos qualités.
Bref, je suis sur la voie du changement. Mais le combat n'est pas encore fini.
Mon esprit tremble sous les coups des pensées lascives qui m'obsèdent une bonne partie de la journée, mais l'édifice ne cède pas; il faut dire que les fondations sont solides et que le but de l'édification de ce monument n'est autre que tendre vers une vie meilleure, une vie passionante, une vie ayant un sens.
J'ai donc eu à subir les assauts répétés de pensées sexuelles aujourd'hui, des images très réalistes, avec les sensaions qui allaient avec bien entendu; j'avais même, à un moment donné, le regard dans le vide alors que j'étais absorbé par un travail à la bibliothèque à la fac'.
Mais je n'ai pas cédé, ou du moins pas physiquement, même si je prenais plaisir à entretenir un peu plus ces pensées.
Ca n'allait pas être aussi facile que prévu. On s'approche lentement du cap des 3 semaines, mais je tiens bon. J'étais surpris de l'intensité de cette pulsion qui m'a pris soudainement, mais je savais en mon fort intérieur que si j'y cédais, tout serait à recommencer.
Je passais en revu tout ce qui me restait: quelques séquences visionnées autrefois, des films que je me faisais avec des filles avec qui il s'était déjà passé quelque chose et avec lesquelles je faisais d'AUTRES choses; j'imaginais le contact de leur peau, de leurs seins, entièrement en elles, m'oubliant dans leurs courbes voluptueuses.
Je n'ai pas de fantasmes particulièrement raffinés ou originaux; juste un rapport sexuel normal en fait.
Mais je ne sais plus vraiment discerner la frontière entre besoin réel et dépendance. J'ai des envies, c'est clair et net, mais d'un autre côté,je préfère ne pas trop jouer avec le feu, car j'ai peu d'occasion de les satisfaire (coup de chance parfois...)
En fait, par le rythme que je compte m'imposer, je souhiate faire baisser le désir histoire de ne plus retomber dans la spirale: masturbation + porno.
C'est un sevrage total, qui me permettra de m'investir dans d'autres domaines susceptible de m'enrichir. Car ces derniers temps, je commence à rendre ma vie plus intéressante (je me suis notamment remis au sport)et plus active.
Je veux dorénavant me construire une identité forte, me forger une image positive. Je ne prétend pas tout faire d'un coup, mais petit à petit, je suis sûr et certain d'y parvenir.
La finalité étant d'avoir une vie affective équilibrée avec une personne que l'on estime, une personne interessante
et qui reconnaitra nos qualités.
Bref, je suis sur la voie du changement. Mais le combat n'est pas encore fini.