26-03-2007, 23:52
Salut à tous. Je souhaite vous tenir au courant de mes progrès, sur la voie de mon rétablissement personnel.
Cela fait maintenant 10 jour que je ne me masturbe plus, 10 jours que je parviens à éviter tout ce qui pourrait me stimuler sexuellement, 10 jours au cours desquels j'ai réfléchi à ce que je pourrai faire d'intéressant pour rendre ma vie interessante, malgré mes contraintes économiques, et malgré le maigre temps dont je dispose en raison de mes études et de mon job à coté.
Globalement, je me sens beaucoup mieux; vraiment, cela fait longtemps que je n'avais pas gardé une aussi belle forme de façon prolongée.
J'ai les idées plus claires, même si parfois, une femme avec une tenue un peu trop suggestive ne va pas sans me rappeller mes anciens penchants, trop directs, trop libidineux, trop immatures.
Mais j'essaye de le gérer du mieux que je peux. Je pratique un peu de relaxation, je prends soin de moi, je lie connaissance avec d'autres personnes à la fac'.
Bref, je commence à prendre conscience d'une chose: je me dois d'être aussi exigeant envers moi-même que je le suis envers les autres.
J'ai pris conscience également que la relation que j'entretenais avec ma mère était trop infantilisante. Il faut dire qu'en tant que fils unique élevé uniquement par ma mère, je ne fut pas vraiment disposé à être une personne offensive, un guerrier pourrait-on dire.
Je dois m'endurcir, savoir me battre et pour cela, rien de mieux qu'un sport de combat, ce que je ne manquerai pas de pratiquer dans les plus brefs délais, ainsi que du sport en quantité pour canaliser ce trop plein d'énergie.
La dépendance sexuelle n'est que la partie émergée d'un iceberg qui recèle des failles plus profondes dans la personnalité. Elle a sa raison d'être autant que les maux insoupconnés qui la poussent à s'exprimer au grand jour de manière irépressible.
Si je ne me motive pas moi-même, personne ne le fera à ma place. Je peux incriminer le destin de m'avoir fait naître dans une famille monoparentale, avec une totale absence de référence paternelles, mais je ne peux que me jeter la pierre si moi-même, je ne fais rien pour remédier à cela.
L'inaction sape le moral; le bonheur se trouve dans l'action, dans l'instant présent.
Je fais désormais de mon mieux avec ce que j'ai; sans regrets, et sans réticences car ça n'est qu'un aller-simple pour une vie plus palpitante et accomplie.
Le temps file tellement vite que demain, il est possible que l'on se retourne en considérant notre vie passée avec amertume, ou bien avec le sentiment d'en avoir fait quelque chose qui nous a rendu meilleur, qui a rendu le monde meilleur.
Le choix, c'est nous qui le faisons. Personne d'autre, pas la pornographie, ou la dépendance sexuelle; que NOUS.
Cela fait maintenant 10 jour que je ne me masturbe plus, 10 jours que je parviens à éviter tout ce qui pourrait me stimuler sexuellement, 10 jours au cours desquels j'ai réfléchi à ce que je pourrai faire d'intéressant pour rendre ma vie interessante, malgré mes contraintes économiques, et malgré le maigre temps dont je dispose en raison de mes études et de mon job à coté.
Globalement, je me sens beaucoup mieux; vraiment, cela fait longtemps que je n'avais pas gardé une aussi belle forme de façon prolongée.
J'ai les idées plus claires, même si parfois, une femme avec une tenue un peu trop suggestive ne va pas sans me rappeller mes anciens penchants, trop directs, trop libidineux, trop immatures.
Mais j'essaye de le gérer du mieux que je peux. Je pratique un peu de relaxation, je prends soin de moi, je lie connaissance avec d'autres personnes à la fac'.
Bref, je commence à prendre conscience d'une chose: je me dois d'être aussi exigeant envers moi-même que je le suis envers les autres.
J'ai pris conscience également que la relation que j'entretenais avec ma mère était trop infantilisante. Il faut dire qu'en tant que fils unique élevé uniquement par ma mère, je ne fut pas vraiment disposé à être une personne offensive, un guerrier pourrait-on dire.
Je dois m'endurcir, savoir me battre et pour cela, rien de mieux qu'un sport de combat, ce que je ne manquerai pas de pratiquer dans les plus brefs délais, ainsi que du sport en quantité pour canaliser ce trop plein d'énergie.
La dépendance sexuelle n'est que la partie émergée d'un iceberg qui recèle des failles plus profondes dans la personnalité. Elle a sa raison d'être autant que les maux insoupconnés qui la poussent à s'exprimer au grand jour de manière irépressible.
Si je ne me motive pas moi-même, personne ne le fera à ma place. Je peux incriminer le destin de m'avoir fait naître dans une famille monoparentale, avec une totale absence de référence paternelles, mais je ne peux que me jeter la pierre si moi-même, je ne fais rien pour remédier à cela.
L'inaction sape le moral; le bonheur se trouve dans l'action, dans l'instant présent.
Je fais désormais de mon mieux avec ce que j'ai; sans regrets, et sans réticences car ça n'est qu'un aller-simple pour une vie plus palpitante et accomplie.
Le temps file tellement vite que demain, il est possible que l'on se retourne en considérant notre vie passée avec amertume, ou bien avec le sentiment d'en avoir fait quelque chose qui nous a rendu meilleur, qui a rendu le monde meilleur.
Le choix, c'est nous qui le faisons. Personne d'autre, pas la pornographie, ou la dépendance sexuelle; que NOUS.