Dépendance sexuelle

Version complète : alcool et pornodependance
Vous consultez actuellement la version basse qualité d'un document. Voir la version complète avec le bon formatage.
Pages : 1 2 3 4 5
Oui Laure,

La RÉSILIENCE! C'est exactement ça! Se questionner sur nos comportements, cesser de s'apitoyer sur son sort et rebondir pour sortir du cercle vicieux de nos comportements destructeurs!

J'ai trouvé un article qui parle de la résilience et j'ai demandé à Pikmin de le mettre dans les nouvelles. J'espère qu'il aura le temps de le faire!

À suivre!

Ne perd pas espoir! labardo! :love2:
"en ce qui me concerne ma fragilité tient en grande partie qu'un jour j'ai vue devant mes yeux un copain se faire ecraser et mourir, il a couru a ma place pour aller chercher mon ballon. j'avais 9 ans. c'est depuis ce moment que je suis depressif."
déclick, tu nous craches là un sacré morceau à résilier pour entrer dans la résilience. Je sais bien qu'on est dans un topic alcool, mais j'espère que ta psy n'a pas laissé passer ce "ma" place et "mon" ballon. On peut en causer en mp si tu veux.
Tu peux aussi mater la première saison de Desperate Housewives, il y a un moment très fugace dans un des premiers épisodes où Bree VanDe Kamp explique l'étiologie de sa compulsion de propreté (elle deviendra plus tard alcoolo, tiens, ça fait du lien) par le fait qu'un soir de noel, elle a vu sa mère se faire écraser sur la route devant chez elle et qu'elle s'est mise à frotter les taches de sang avec une éponge jusqu'à ce qu'elle ne sache plus où elle habite.
non john je te rassure tout de suite c'est grace à ma therapie que j'ai pu ressortir cette triste histoire et comprendre qu'elle était l'origine de mon etat. surtout que c'est à neuf ans que je suis tombé pour la première fois sur des images pornographique. il y aun lien je pense .
mais c'est dingue à qu'elle point je banalisais cette histoire et je l'avais vraiment enfoui quelque part.

labardo, toi qui aime comprendre permet moi de te dire que tu n'as pas encore tout compris dans la depression. ce n'est pas qu'un vague à l'ame une humeur sombre. c'est une vraie souffrance qui pousse certain jusqu'au suicide. dans le cas de depression grave la théorie du coup de pied au cul ou du bouge toi, ne marche pas et a plutôt tendance à accabler encore plus le depressif.
la depression ce n'est pas qu'un coup de fatique c'est un etat où l'idée de soi est profondément anéanti.

maintenant je sais que ça part d'une gentille intention, mais voilà ça fait des dégars. le depressif fait ce qu'il peut pas ce qu'il veut. c'est un truc difficile à comprendre lorsqu'on est pas dans la marasme des humeurs nauséeuses.
declick
Je participe décidément très très peu......... :-)

J'suis vraiment content de voir que tu avances Déclick.
Sincèrement.
La thérapie que tu as entrepris semble déjà porter ses fruits.
De beaux fruits visiblement.
Tu as parfaitement raison de souligner à quel point il peut être difficile d'être dépressif.
Ma p'tite femme est dépressive.
Cela fait près de deux ans que ça dure.
Ce n'est qu'un topic mais j'aimerais poster ici un message que j'avais laissé sur Atoute.
Un forum pas mal ma foi.
J'y participe jamais ou presque mais je sais qu'il est un bon soutien pour ma colombe.
C'est comme ça que je l'appelle.
Donc voilà le message que j'avais posté.

Message d'espoir aux bipolaires (Ou Maniaco Dépressifs ou dépressifs tout court)

En apparté ce message s'adressait à une personne qui ne supportait plus sa belle soeur je crois et qui allait même jusqu'à la juger toxique.

Je suis le Lou de la Colombe.........
J'aimerais vous raconter un bout de mon histoire en espérant que vous prendrez le temps de le lire.

J'ai rencontré ma colombe un beau matin de mai.
C'était le 11 mai 2004 pour être précis.
Un jour, j'ai écrit.
Une colombe est arrivée dans ma vie et depuis dans mon coeur, elle s'est nichée.
Donc, je la rencontre et là, vas savoir pourquoi, nous commençons une discussion que nous continuons à poursuivre encore aujourd'hui.
La conversation d'une vie.
Rapidement, elle me raconte son histoire.
Si la vie n'a pas fait beaucoup de cadeaux à beaucoup des personnes que tu croises sur ce forum, elle ne lui en avait fait aucun.
Si deux en fait.
Deux cadeaux en forme d'étoile.
Je ne souhaite à personne de vivre le dixième de ce que ma colombe à vécu.
Et je dis cela sincèrement.
La vie peut être parfois si cruelle qu'il faut chaque jour se battre pour survivre.
C'est tellement fatiguant qu'il faut un sacré courage pour ne jamais lâcher prise.

Et plus elle me parle donc, plus je l'aime.
Déjà.
En 20 jours, je quitte mon ex-femme avec laquelle et ceci est une autre histoire, nous avions toujours vécus côte à côte et jamais ensemble.
Parfois, on s'amuse à dire que je suis aigle et elle colombe.
Nous sommes donc un 11 mai et là, et sans comprendre pourquoi, nous nous envolons.
Littérallement.
Et pendant trois mois, nous, les écorchés, vivons ce qui nous avait été donné de plus précieux.
Trois mois fabuleux.
Ensuite et pour des circonstances que je n'évoquerais pas, la colombe interrompt son vol et comme la plus douce des larmes sur un visage, dégringole.
Depuis ce n'est que dépression.
La dépression d'une vie.
Au tout début, je ne comprends pas.
Je ne comprends pas pourquoi son visage jusqu'à ce jour étincelant s'assombrit si souvent.
Les rires, un à un, s'évanouissent.
Les jours se suivent et se ressemblent.
L'envie l'abandonne.
Alors qu'elle était lumière, elle devient ombre.
Et moi, je lui écris.
Je lui écris ces mots d'amour qu'elle chérit tant.
Et moi, je souris.
Je m'agite.
Je ne comrpends pas.
Je me dis pourquoi.
Elle était si heureuse avec moi.
Pourquoi ne l'est-elle plus.
Je me crois responsable.
Et plus je le crois et plus j'en pleure.
Et de son côté, elle prend peur.
Ce qu'elle craignait le plus se reproduit.
Je crois qu'elle ne veut pas y croire.
Elle se dit déjà qu'elle ne supportera pas de me faire souffrir.
Fait-on souffrir ceux qu'on aime le plus?
Et moi, je me bats.
Alors que la nuit sur elle s'abat, je remue ciel et terre.
Jour après jour, je l'extirpe de l'enfer.
Ca m'épuise.
Et plus je m'épuise et plus je pleure.
Je finis même par lui en vouloir.
Pourquoi ne fait-elle pas plus d'effort?
Je lui demande de se battre.
Je lui dit que notre amour en vaut la peine.
Et plus je parle, plus elle s'enfonce.
Plus je parle, plus elle s'en veut.
Tu sais ce sentiment est affreux.
Je la targue d'être égoïste.
Je lui dit mais penses à nous.
Et si tu ne le fais pas pour moi, fais le pour eux.
Alors qu'elle n'était que vie, là je l'entends et elle me dis........
Mais à quoi bon.
Et puis demain sera un autre jour.
Et pourquoi il faut.
Ces mots me font mal.
Ils me font tellement mal.
Ils sont comme des flèches plantées dans mon coeur.
De là aurait pu naître la rancoeur.
Et plus le temps passe plus elle se vide.
Elle finit même par se taire.
Moi, je m'époumonne.
Mes lettres se succèdent.
Je lui crie mon amour.
Jour après jour.
Et quand bien même je vacille, jamais je ne cesse d'y croire.
Je suis et c'est elle qui me le dis, tous ces espoirs.
La nuit s'est drapé de ses habits funestes.
Et plus rien ne sort.
Malgré toute ma gentillesse et tous mes efforts répétés, elle finit même par s'en prendre à moi.
Elle crie sa souffrance.
Et à force de crier, elle se tait.
Elle se tait et elle pleure.
Nous nous regardons, nous nous aimons.
Et pourtant.
C'est devenu insupportable.
Insoutenable.

Au jour d'aujourd'hui et parce qu'elle est courageuse, ma colombe, elle se soigne.
Nous avons vécus en enfer.
Nous en sortons petit à petit.
Tu sais ce que je retiens de notre histoire.
C'est que je suis fier.
Je suis fier de l'aimer comme je l'aime.
Je retiens aussi que cette putain de maladie est bien plus forte qu'elle.
C'est un cancer.
Une maladie si terrible que nous qui n'en souffrons pas ne pouvons même pas imaginer.
Une maladie qui nous oblige à observer, à être attentif, patients et surtout à se méfier des jugements hâtifs.
Je retiens aussi que c'est moi qui étais égoïste.
Oui, j'étais égoïste parce que sous couvert de tout faire pour l'aimer, je rapportais tout à moi.
Je prenais tout pour moi.
Je la tenais responsable d'être malade.
C'est dingue, non?
C'est vrai que c'est extrêment difficile pour les conjoints et les proches de dépressifs.
Mais on n'a pas le droit de dire qu'ils sont toxiques.
Le tabac est toxique.
L'alcool est toxique mais pas eux.
Si tu savais comme ils souffrent d'imaginer qu'ils font souffrir les autres.
Tu imagines s'il m'était arrivé de dire à celle que je chéris tant qu'elle était toxique.
Je n'ose imaginer.

Pour supporter et c'est ce que je fais, il faut lâcher prise.
Essayer tout du moins.
Prendre du recul.
S'occuper de soi quand l'autre n'est pas là.
N'est plus là.
Et il faut aimer.
Y croire sans cesse.
L'empathie, c'est cela.
L'empathie c'est pouvoir comprendre les autres malgré les chimères.
C'est les croire et les aimer.
On n'aime pas les gens seulement quand tout va bien.
On les aime aussi quand ils souffrent.
Je vous souhaite bien du courage
Et puis et comme toujours, je souris...........

Voilà, c'est joli, non........... :-)
Bon aujourd'hui, ça va beaucoup mieux.
Elle sourit de plus en plus.
Elle reprend goût quoi !!

Je pense à toi Déclick.
Continues de te battre et d'essayer de comprendre comme tu le fais et crois moi, ça va aller......... ;-)
Salut Déclick!

Permets-moi de te dire que la dépression, oui, j'en connais quand même assez sur le sujet. La vraie souffrance qui pousse un être humain à être obsédé par le suicide, je l'ai vécu! J'avais des "FLASH INCONTRÖLABLES" dans la tête à tout moment: si j'étais en haut d'un long escalier, tout à coup je me voyais tomber en bas, face première! si j'étais à faire le souper et que je tenais un couteau dans ma main, un autre "FLASH" et je me rentrais le couteau dans le coeur! si j'étais à conduire mon auto, je me voyais tournant le volant d'un coup sec pour tomber en bas du pont! Et ça continuait, toujours et toujours!

Tu vois, c'est un peu plus qu'un vague à l'âme ou une humeur sombre!

Et le "coup de pied au cul" et le "bouge-toi", OUI, ça marche! Mais il ne faut pas t'attendre à ce que ce soit quelqu'un qui te le donne ou te le dise. C'est oit-même qui te foutera ce coup de pied au cul quand tu cessaras de t'apitoyer sur toi! C'est dur à entendre mais c'est le meilleur moyen! Et oui, l'être humein fait ce qu'il peut jusqu'au jour où il découvre qu'il peut faire un peu plus pour devenir celui qu'il "veut" devenir!

Je sais que quand on est dans cet état dépressif, on se croit seul au monde, que personne ne peut comprendre notre détresse. Il arrive souvent que ce soit "sécurisant" de se garder dans cet état, car ainsi on peut mettre sur ce compte tous nos travers ou toutes nos dépendances!

Déclick, je ne minimise en rien tout ce que tu as vécu ou tout ce que tu vis. Mais je peux te dire que quand tu en auras vraiment assez, tu te le donneras ce "coup de pied au cul"! Et ce jour là, tu enlèveras ton chapeau, ta perruque et ta moustache!

Saches que je ne veux pas te faire de mal, je veux seulement te faire réfléchir et réagir. À toi de faire le reste!

Je pense à toi! labardo! :love2:
Bon, çà fait 3 heures que je pêche sur le sujet mais.
J'en arrive à conclure : Y a pas de différences entre son frère et lUI.Sauf que peut être lui, a été Plus gâté que son frère.
Plus caractériel, plus exigeant.
Les souvenirs qu'ils me lâchent ses parents :
quand il était petit, il vous regardait dans les yeux, et malgré les interdictions, il faisait quand même ce qui lui était interdit.çà vaut pas ce qui se passe dans leur vie d'adulte.
Pourquoi le grand est équilibré?Et pourquoi lui, veut tout, tout de suite, n'a pas d'&quilibre, n'est pas foutu de se prendre en charge, alors que L'ainé est parti vivre sa vie de bonne heure, a reussi, est heureux('le seul fait qui les rapproche, est qu'ils ont l'un et l'autre des femmes plus âgées.)
je le dis car je n'en fais pas un complexe.Rien à faire de tout çà.
Mais c'est tellement grandiose la différence, c'este tellement injuste et injustifié, que je dois me poser des questions.
A la limite ils ont 8 ans d'écart, et fiancièrement,leurs parents ont été plus "laxistes" avec le mien.Ils avaient moins les moyens auparavant.
Par contre comble de tout, et là, Déclick, je te ('pas remercie) mais suis heureuse pour toit que tu largues du lest quant à tes"malheurs" graves dans ta vie.il a été victime d'un accident qui a couté la vie à une tierce personne aussi.
Mais il était grand, et les dégâts étaient déjà là, bien avant.
Il n'a pas été jugé responsable de cet accident, mais il a vu mourir la personne, et il est certain('selon les moments ou il se confie à moi) qu'il a connu cette personne.
Il n'a pas fait le deuil ce cette personne.Il n'étaitpas en faute.
Je lui dis qu'il faut qu'il aille au moins rencontrer un membre de sa famille, pour s'excuser d'avoir "pris " la vie de cette personne, même s'il n'est pas en tords.
Il ne se sentira "libéré" que si, pour moi, il fait cette démarche.C'est tout kon, mais tellement peu de choses, par rapport à avoir pris la vie d'autrui.
Déclick, je te rejoins surement par rapport à lui, du fait de se "sentir"responsable, à un moment de sa vie.
Je ne sais pas vraiment quoi penser, sauf, que je vis avec lui, qui est "multidépendant" qui ne fait que gérer, ce qu'il va fumer, ce qu'il va boire, ce qu'il va pouvoir évacuer sur le net(me diasnt que s('il fait çà , c'(est pour trouver de l'affection!) là j'y crois pas, je connais bien le blem.
Il se crée une vie qui n'est pas la sienne.
Il ne dit pas qu'il se couche à 10 h du mat(et oui, c'est revenu, merci le shit)
il ne dit pas qu'il ne communique pas(et encore merci le shit)
il ne dit pas qu'il ne fair Rien, mais rien , de ses journées(bon pour lui de ses nuits) rien de "constructible, rien de concret.
Je suis partie ce matin à 7 h 10, suis rentrée à 18h30, rien n'a été fait, pas même le lit.Alors, bon, je ne lui demande pas la lune, je peux penser qu'il est en depress latente, mais MOI, je me uis tappée, plus de 15 h par jour souvent, prenant des trucs pour dormir car trop enervée pour actionner une nuit de 5 heures.
Il ne cherche pas à m'aider, me soutenir, mais juste, il ne pense qu'à ses loisirs.
Je ne reprendrai pas la discussion sur la dépression, qui est une maladie, grave parfois, et qui doit être soignée aussi sérieusement que n'importe quelle autre maladie comportant un risque vital...
Ton conjoint, Free, est peut-être très dépressif, auquel cas c'est à se demander ce que vous attendez pour aller aux urgences.
Si ce n'est pas le cas, Free, qu'est-ce que tu attends pour t'éloigner de lui afin de lui permettre, peut-être, de se prendre en charge ?
Tu vas me trouver brutale, Free... Lis les derniers posts de ces mecs qui, eux, se sont remué le popotin. Fais quelque chose, Free, je ne sais pas quoi, mais bouge !

...A moins d'être toi-même sur une pente dépressive, alors, bouger, ce ne serait pas évident... Et là, une bonne consultation psy te ferait le plus grand bien. Je pense que tu perds ton temps à vouloir tout comprendre du pourquoi du comment des raisons et des causes qui font qu'il en est arrivé là, ton conjoint. Tu n'est pas psy ? Moi non plus. Faut arrêter de jouer les infirmières (tiens, ça me rappelle quelque chose) et laisser faire les pros !
oui je souhaite aussi ne pas poursuivre trop longtemp sur le sujet de la depression qui est effectivement une maladie grave qui touche beaucoup de monde.
il y a d'autre façon plus adaptée qu'un forum pour approndir le sujet, je pense aux livres, aux emmisions tv ou radio, à des conference en université de psycho, voir de la doc spécialisée sur le net.
je rejoins completement labardo qui veut pousser les gens qui traversent un coup de blues, à se changer d'air.
et souvent c'est à propos que de dire à quelqu'un va voir un bon film, vas faire du sport, vas voir les potes, vas au musée,...
c'est une relation d'aide fondée sur le dynamisme qu'on veut tranmettre. c'est important.
mais parfois derrière une baisse de régime, un etat bof, se cache un etat depressif grave. du coup en voulant aider on accable un peu plus l'autre qu'on voulait aider initialement. parce que le depressif se dit: " si c'est si simple de sortir de chez soi pourquoi j'y arrive pas?" et très vite il trouve une réponse du genre : "parce que je suis une merde, je suis bon à rien" etc....

tristesse communicative?
maintenant il y a beaucoup de post qui sont emprunts de ces etats d'ame, de detresse, de tristesse, de mélancolie, à la longue on peut se sentir ettouffer par tant de malheur réuni. on peut même finir par penser qu'on se comtamine. penser qu'on etait heureux et qu'a cause des autres sinistres on fini par déprimer. à vous d evoir moi je pense que c'est normale qu'un forum d'entraide destinée aux pornoaddict soit pas hyper joyeux. souvent j'ai eu recours au forum pour balancer m'on mal etre et heureusement qu'il etait là (le forum pas le mal être). si je suis triste parfois ici, ce n'est pas le cas dans ma vraie vie.
on peut aussi s'autoriser à blaguer de temps à autres, ça aere le forum. l'humour on y revient toujours. on peut aussi, si un climat un trop sombre nous oppresse, s'autoriser à s'éloigner un peu du forum.


déclick
Je redonne un coup dans la trsitesse, et j'essaie de comprendre losqu'il retombe lui.C'est çà qu'il faut que j'arrive à escalader.J'ai trouvé le post de Déclick tellement pertinent que j'y ai pensé et repensé pendant plusieurs jours.
Au moins on aura bien développé ton sujet Déclick!
Combien de fois me suis je demandé ou je pouvais aller comprendre toutes ses dépendances, souvent un forum traite d'une seule, et pour son cas, je ne me sens pas trop à ma place, me faudrait 5 forums en même temps!
en fait il est une enveloppe de dépendances, c'est tout, car si j'essaye de bien comprendre, tout est lié.
Bonne journée , merci de votre aide(Jozefa, j'arrive à remonter quand même de plus en plus, mais il est vrai que des fois...Pffff, çà craque quelque peu lol)
je me plante surement,
désolé roul, mais j'ai pas tout compris mais comme toujours je pense qu'une nouvelle fois tu vois juste. c'est quoi cette histoire d'ampathie,

et oui free, la communuaté des addicts existe bien. après nous avons nos sous groupes, certains les enchainent l'un après l'autre.
d'autres prennent leur carte dans plusieurs en même temps.

c'est comme ça tout depend du degré de besoin de produit dependoactif.

en ce qui me concerne l'alcool j'en ai marre vraiment ça me fait comme avec la cloppe il y trois ans. je fais un rejet physique. il faut que ça cesse.

déclick
Pages : 1 2 3 4 5
URLs de référence