30-12-2023, 05:40
Je découvre le porno a l'âge de 5 ans en lisant des magazines X de mon père cachés sous le lit conjugal. Je commence mes premières expériences sexuelles avec ma cousine à l'âge de 10 ans comme jouer à papa et maman. Ensuite on s'est fait des échanges de fellation avec un camarade de ma classe de CM2 dans les toilettes de l'école.
C'est là que ma consommation de porno s'amplifie, j'essaye de me laver de cette expérience dont j'ai très honte car je ne veux pas être homosexuel.
Je rentre au lycée technique dans un secteur où il n'y a pas beaucoup de filles et je n'arrêtais pas des pensées sexuelles avec la puberté en me disant "si je ne b*ise pas, je deviendrais homo". J'approchais des filles de façon compulsive (je suis extraverti mais je n'arrivais pas a exprimer mes sentiments de façon correcte) et on m'a collé le ticket "harceleur, mec relou", ce qui m'a fallu une mauvaise réputation dans mon lycée où je m'y fais renvoyer 3 fois (faits de harcèlement, agressions de gars et de filles par jalousie et homophobie). Je me suis senti très mal dans ma peau juste à cause du fait que je n'avais pas de petite amie a ce moment-là et que j'ai toujours été du mauvais oeil par le sexe opposé. Je pensais aussi qu'appliquer des idées féministes pouvait m'aider à comprendre les femmes mais il n'en est rien.Bien que je sois extraverti et enthousiaste avec les gens que je rencontre, j'ai eu beaucoup de mal à décoder le langage des autres et à être bien vu des autres. Mes amis ne me font pas rentrer dans d'autres groupes d'amis où je peux rencontrer des filles par peur de se prendre la honte à cause d'un mec bizzare. J'obtiens mon bac et je sombre durant les vacances d'été à mater du porno, du contenu redpill ou d'extrême droite. Mon addiction au porno se renforce à ce moment là. Je rentre à l'université, j'y vais la boule au ventre, je rate mes études. Depuis j'ai du mal a me relever la tête et atteindre l'objectif à cause de l'énergie colossale perdue dûe aux vidéos pour adulte. J'ai perdu ma scolarité, mes parents ne me font plus confiance et j'ai parfois des idées suicidaires, je prends plus de plaisir devant l'écran qu'en réel (rares fois) et ma frustration envers l'hypocrisie de beaucoup de filles atteint ses limites
A force de courir derrière les jupons sans résultat, j'ai failli finir sous antidépresseurs.
Merci pour la lecture, vos reponses et je vous souhaite tout bonheur et réussite pour 2024.
C'est là que ma consommation de porno s'amplifie, j'essaye de me laver de cette expérience dont j'ai très honte car je ne veux pas être homosexuel.
Je rentre au lycée technique dans un secteur où il n'y a pas beaucoup de filles et je n'arrêtais pas des pensées sexuelles avec la puberté en me disant "si je ne b*ise pas, je deviendrais homo". J'approchais des filles de façon compulsive (je suis extraverti mais je n'arrivais pas a exprimer mes sentiments de façon correcte) et on m'a collé le ticket "harceleur, mec relou", ce qui m'a fallu une mauvaise réputation dans mon lycée où je m'y fais renvoyer 3 fois (faits de harcèlement, agressions de gars et de filles par jalousie et homophobie). Je me suis senti très mal dans ma peau juste à cause du fait que je n'avais pas de petite amie a ce moment-là et que j'ai toujours été du mauvais oeil par le sexe opposé. Je pensais aussi qu'appliquer des idées féministes pouvait m'aider à comprendre les femmes mais il n'en est rien.Bien que je sois extraverti et enthousiaste avec les gens que je rencontre, j'ai eu beaucoup de mal à décoder le langage des autres et à être bien vu des autres. Mes amis ne me font pas rentrer dans d'autres groupes d'amis où je peux rencontrer des filles par peur de se prendre la honte à cause d'un mec bizzare. J'obtiens mon bac et je sombre durant les vacances d'été à mater du porno, du contenu redpill ou d'extrême droite. Mon addiction au porno se renforce à ce moment là. Je rentre à l'université, j'y vais la boule au ventre, je rate mes études. Depuis j'ai du mal a me relever la tête et atteindre l'objectif à cause de l'énergie colossale perdue dûe aux vidéos pour adulte. J'ai perdu ma scolarité, mes parents ne me font plus confiance et j'ai parfois des idées suicidaires, je prends plus de plaisir devant l'écran qu'en réel (rares fois) et ma frustration envers l'hypocrisie de beaucoup de filles atteint ses limites
A force de courir derrière les jupons sans résultat, j'ai failli finir sous antidépresseurs.
Merci pour la lecture, vos reponses et je vous souhaite tout bonheur et réussite pour 2024.