13-07-2006, 09:34
Bonjour...
Ben oui, mon avatar a changé, adieu mes trois barettes...
Je commence à me dire comme Yann ou Kiwi/Atlantis qu'il ne sert peut-être pas grand'chose à compter. En tous cas, mes barettes était peut-être très prétentieuses alors que le maître mot est bien "à chaque jour suffit sa peine".
Je me suis re-viandé, mais à la différence du viandage de mars, je ne pars pas fâché et je n'ai pas envie de laisser tomber. Car deux mois et demi puis trois mois, c'est pas rien et j'ai beaucoup appris sur moi-même.
J'ai craqué car je vois pour la permière fois un psy ce soir et je crois que toutes mes craintes m'ont sauté à la figure. Le porno c'est dans un premier temps le baume qui permet d'être apaisé puis de recoller les morceaux de sa personnalité, mais le baume n'est pas cicatrisant, je le sais depuis janvier dernier. Plus rien ne sera comme avant...
Je me suis peut-être aussi trop perdu dans mes réflexions...
John Warsen dans son blog parlait de la bonne distance à prendre face à l'internet, ni trop près pour ne pas chuter sans arrêt, ni trop loin pour ne plus se sentir soutenu par ceux qui partagent la même souffrance face au porno. Et cette distance est variable en fonction du temps : c'est un peu comme quand on a des lunettes à double foyer : voir loin pour anticiper la transformation de l'esprit, voir de près pour se détacher au jour le jour : c'est ce que j'appelle mettre les mains dans le cambouis. Se rappeller les fondammentaux (pas de tentation inutile, si elle arrive, la regarder passer. Se meubler l'esprit avec des pensées positives, faire du sport pour évacuer le trop plein d'energie).
Je n'ai pas assez mis les mains dans le cambouis ces derniers jours, je me suis trop occupé de ma vision de loin, en oubliant ma vision de près.
Avantage de ce viandage : toute la souffrance est revenue, je sais donc pourquoi je vais chez le psy ce soir.
3è époque donc : 13 juillet 2006 -
A bientôt, Nicolas.
Ben oui, mon avatar a changé, adieu mes trois barettes...
Je commence à me dire comme Yann ou Kiwi/Atlantis qu'il ne sert peut-être pas grand'chose à compter. En tous cas, mes barettes était peut-être très prétentieuses alors que le maître mot est bien "à chaque jour suffit sa peine".
Je me suis re-viandé, mais à la différence du viandage de mars, je ne pars pas fâché et je n'ai pas envie de laisser tomber. Car deux mois et demi puis trois mois, c'est pas rien et j'ai beaucoup appris sur moi-même.
J'ai craqué car je vois pour la permière fois un psy ce soir et je crois que toutes mes craintes m'ont sauté à la figure. Le porno c'est dans un premier temps le baume qui permet d'être apaisé puis de recoller les morceaux de sa personnalité, mais le baume n'est pas cicatrisant, je le sais depuis janvier dernier. Plus rien ne sera comme avant...
Je me suis peut-être aussi trop perdu dans mes réflexions...
John Warsen dans son blog parlait de la bonne distance à prendre face à l'internet, ni trop près pour ne pas chuter sans arrêt, ni trop loin pour ne plus se sentir soutenu par ceux qui partagent la même souffrance face au porno. Et cette distance est variable en fonction du temps : c'est un peu comme quand on a des lunettes à double foyer : voir loin pour anticiper la transformation de l'esprit, voir de près pour se détacher au jour le jour : c'est ce que j'appelle mettre les mains dans le cambouis. Se rappeller les fondammentaux (pas de tentation inutile, si elle arrive, la regarder passer. Se meubler l'esprit avec des pensées positives, faire du sport pour évacuer le trop plein d'energie).
Je n'ai pas assez mis les mains dans le cambouis ces derniers jours, je me suis trop occupé de ma vision de loin, en oubliant ma vision de près.
Avantage de ce viandage : toute la souffrance est revenue, je sais donc pourquoi je vais chez le psy ce soir.
3è époque donc : 13 juillet 2006 -
A bientôt, Nicolas.