Dépendance sexuelle

Version complète : Un article sur le lien entre tristesse et craving
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Je vous mets un lien vers un article très intéressant. Je pense qu'il peut aider à mieux comprendre les facteurs déclenchants
Voici le lien vers le site en ligne en anglais, seul le résumé est accessible. Si certains veulent l'article en entier, ne pas hésiter à me le demander en MP

Voici la traduction du titre et du résumé en français (faite de façon automatique et rapidement relu)

La tristesse, mais pas toutes les émotions négatives, augmente la consommation de substances addictives

L'épidémie de décès attribuables aux substances toxicomanogènes, y compris le tabac, met en évidence la nécessité de mieux comprendre les façons dont les émotions alimentent le désir et la consommation de substances. Dans un essai de théories alternatives sur les émotions et la prise de décision, nous avons constaté que la tristesse, en particulier, plutôt que l'humeur négative, en général, augmentait la consommation de substances créant une dépendance. Dans un échantillon longitudinal représentatif à l'échelle nationale, la tristesse - mais non les autres émotions négatives - a permis de prédire de façon fiable le tabagisme actuel et la rechute 20 ans plus tard. Lors d'expériences en laboratoire avec de vrais fumeurs, la tristesse a augmenté à la fois l'impatience pour les bouffées de cigarettes et le volume réel de bouffées prises. Les résultats fournissent non seulement des implications théoriques, mais aussi des implications politiques pour la conception de messages

Résumé

Les sentiments négatifs en général déclenchent-ils un comportement de dépendance, ou des émotions spécifiques jouent-elles un rôle plus important ? En mettant à l'essai ces autres comptes rendus sur les émotions et la prise de décisions, nous nous sommes inspirés du Cadre d'évaluation des tendances pour prédire que la tristesse, en particulier, plutôt que l'humeur négative, en général, 1) augmenterait le désir, l'impatience et la consommation réelle de substances créant une dépendance et 2) le ferait par des mécanismes sélectivement renforcés par la tristesse. L'étude 1 (n = 10 685), fondée sur une enquête longitudinale représentative à l'échelle nationale, a révélé que la tristesse, mais non les autres émotions négatives (c.-à-d. la peur, la colère, la honte), permettait de prédire de façon fiable le tabagisme actuel ainsi que les rechutes 20 ans plus tard. L'étude 2 (n = 425) a utilisé un modèle expérimental et a trouvé d'autres preuves de la spécificité des émotions : La tristesse, mais non le dégoût, augmente l'état de manque autodéclaré par rapport à un état neutre. Les études 3 et 4 (n = 918) ont introduit le comportement de choix comme variable de résultat, révélant que la tristesse augmentait de façon causale l'impatience pour les bouffées de cigarettes. De plus, l'étude 4 a révélé que l'effet de la tristesse sur l'impatience s'expliquait plus complètement par les évaluations concomitantes de l'autofocus, qui sont spécifiques à la tristesse, que par les évaluations concomitantes de la valence négative, qui sont générales à toutes les émotions négatives. Il est important de noter que l'étude 4 a également examiné la topographie du comportement réel des fumeurs, en constatant que la tristesse induite expérimentalement (par rapport à l'émotion neutre) augmentait de façon causale le volume et la durée des bouffées de cigarettes inhalées. Ensemble, les présentes études appuient un modèle plus nuancé concernant les effets de l'émotion sur le tabagisme, en particulier, ainsi que sur le comportement de dépendance, en général.
Salut Fabrice. Merci pour l'article. 
Ça fait un moment qu'on ne te voit plus trop. J'espère que ça va pour toi.  Si un jour tu as envie de nous donner des nouvelles. ..
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