21-12-2006, 09:23
Bonjour,
j'exhume un post vieux de six mois pour dire qu'en six mois, la problématique avance... doucement.
Selon ma psy ma pornodépendance s'entretient par deux canaux différents. D'abord pour soigner sa dépendance affective et tout ce que cela présuppose (image de soi, confiance en soi, peur de décevoir, peur de l'abandon... -Voir à ce sujet l'excellent blog de The ANOTHER), ensuite pour soigner sa frustration.
La libido est un puissant moteur qui fait remonter les envies des entrailles de l'intérieur, et comme ma psy m'a appris à ne jamais refuser aux émotions le droit de s'exprimer... J'exprime mes envies... ;-)
Elles recoivent un accueil plus ou moins... plus ou moins, on va dire, et inévitablement quand c'est moins, la frustration pointe son nez, frustration, qui quand elle se répète à intervalle rapproché génère une envie d'aller se mater un p'tit porno de derrière les fagots.
Heureusement (ça fait onze mois que je trolle sur le forum, ce serait dommage que cela ne serve à rien :lol, je sais que dans ces moments de fragilité il faut m'éloigner des combinés téléphoniques (accro aux audiosalopes aussi sûrement qu'au cybersalopes) et surtout ne pas aller sur le net (d'où la relative rareté de mes messages ces derniers temps). La crise est passée. Reste que...
Il me semble clair que ma libido est plus forte que celle de mon épouse pour des raisons qui lui appartiennent (et que je comprend) et qui ne sont pas forcément liées à ma consommation de porno. Je me commence à me rendre compte que les choses ne reviendront pas facilement et rapidement à un état qui pourrait me satisfaire, et qu'il va falloir encore affronter des océans de frustration, alors que je pensais que mon sevrage m'apporterait le bonheur sexuel.
Je ne remets pas en cause mon sevrage, je le fais pour ma dignité un point c'est tout. (onze mois de trollage, ça marque ! :-x ).
Mais il est certain qu'à la différence de JW je n'arrrive pas à être intellectuellement indifférent à l'idée de faire l'amour ou pas... C'est le dernier réduit où les allemands résitent, mais faudra bien éliminer cette poche de résistance. Ou, pour être moins martial, c'est, je pense, le dernier fil qui me retient à la pornodépendance, mais je me sens pas capable pour l'instant d'aller le sectionner. :sceptic:
En attente de vos réflexions sur le sujet...
A bientôt, Nicolas.
j'exhume un post vieux de six mois pour dire qu'en six mois, la problématique avance... doucement.
Selon ma psy ma pornodépendance s'entretient par deux canaux différents. D'abord pour soigner sa dépendance affective et tout ce que cela présuppose (image de soi, confiance en soi, peur de décevoir, peur de l'abandon... -Voir à ce sujet l'excellent blog de The ANOTHER), ensuite pour soigner sa frustration.
La libido est un puissant moteur qui fait remonter les envies des entrailles de l'intérieur, et comme ma psy m'a appris à ne jamais refuser aux émotions le droit de s'exprimer... J'exprime mes envies... ;-)
Elles recoivent un accueil plus ou moins... plus ou moins, on va dire, et inévitablement quand c'est moins, la frustration pointe son nez, frustration, qui quand elle se répète à intervalle rapproché génère une envie d'aller se mater un p'tit porno de derrière les fagots.
Heureusement (ça fait onze mois que je trolle sur le forum, ce serait dommage que cela ne serve à rien :lol, je sais que dans ces moments de fragilité il faut m'éloigner des combinés téléphoniques (accro aux audiosalopes aussi sûrement qu'au cybersalopes) et surtout ne pas aller sur le net (d'où la relative rareté de mes messages ces derniers temps). La crise est passée. Reste que...
Il me semble clair que ma libido est plus forte que celle de mon épouse pour des raisons qui lui appartiennent (et que je comprend) et qui ne sont pas forcément liées à ma consommation de porno. Je me commence à me rendre compte que les choses ne reviendront pas facilement et rapidement à un état qui pourrait me satisfaire, et qu'il va falloir encore affronter des océans de frustration, alors que je pensais que mon sevrage m'apporterait le bonheur sexuel.
Je ne remets pas en cause mon sevrage, je le fais pour ma dignité un point c'est tout. (onze mois de trollage, ça marque ! :-x ).
Mais il est certain qu'à la différence de JW je n'arrrive pas à être intellectuellement indifférent à l'idée de faire l'amour ou pas... C'est le dernier réduit où les allemands résitent, mais faudra bien éliminer cette poche de résistance. Ou, pour être moins martial, c'est, je pense, le dernier fil qui me retient à la pornodépendance, mais je me sens pas capable pour l'instant d'aller le sectionner. :sceptic:
En attente de vos réflexions sur le sujet...
A bientôt, Nicolas.