27-03-2006, 15:56
Bonjour,
Je le savais, le forum d'Orroz s'en était déjà fait l'écho, le passage entre le deuxième et le troisième mois est très délicat. Actuellement, j'en chie, y'a pas d'autres mots.
Il y a juste une semaine, j'étais confiant et serein et j'en venais même à me dire pornodéquoi ? C'est quoi ça ? Méthode affinée, ajustée, le moindre trouble, la moindre envie était chassée aussi sec, c'est presque trop facile.
Excès de confiance.
J'ai passé un week-end épouvantable. Les images ont repris de leur force et de leur poids, les seins et les corps de femmes dénudés défilent comme les régiments sous l'Arc de Triomphe et je regarde presque fasciné ce défilé dans ma tête. Je n'arrive plus à les chasser mes pensées, alors qu'il y a pas si longtemps que cela tout se serait envolé au premier coup de trompe...
Je ne me connecte plus de chez moi, c'est trop risqué, car la bombe risque de me péter à la gueule à tout instant.
Derrière cela s'est en fait (je ne le sais que trop bien) un stress. Comme je le disais dans le post de Weaselle, je commence à prendre conscience des dégâts de la cyberpornographie :mur:.
Pour être précis, je suis dans un processus d'abstinence complête depuis le 14 janvier. Ma libido a été en berne pendant ces presque deux mois et demie. Mais depuis quelques jours, à la faveur de la remontrées des températures et du retour du printemps, mes envies sont revenues...
Malheureusement, je suis incapable de les communiquer à mon épouse et lorsque j'arrive enfin à les forumler c'est au mauvais moment, c'est trop maladroit (méthode "gros sabot") et en général je me fais envoyer les roses. Un câlin, si, mais pas plus. Mais ce n'est pas d'un câlin que je veux :evil: . Je veux plus, je veux ma dose :mur:, et son refus ne faisant qu'amplifier ma frustration, je sens le précipice de plus en plus près de mes pieds...
Comment tout reprendre à zéro ? J'ai l'impression d'être devant un champ dévasté par des Huns. :sceptic:
Vivement la fin de ces vingt-quatre heures et que la vague passe. Mais là c'est dur.
Moralité faut jamais être trop sûr de soi.
Merci d'avoir été au bout de ce post et à bientôt, Nicolas.
Je le savais, le forum d'Orroz s'en était déjà fait l'écho, le passage entre le deuxième et le troisième mois est très délicat. Actuellement, j'en chie, y'a pas d'autres mots.
Il y a juste une semaine, j'étais confiant et serein et j'en venais même à me dire pornodéquoi ? C'est quoi ça ? Méthode affinée, ajustée, le moindre trouble, la moindre envie était chassée aussi sec, c'est presque trop facile.
Excès de confiance.
J'ai passé un week-end épouvantable. Les images ont repris de leur force et de leur poids, les seins et les corps de femmes dénudés défilent comme les régiments sous l'Arc de Triomphe et je regarde presque fasciné ce défilé dans ma tête. Je n'arrive plus à les chasser mes pensées, alors qu'il y a pas si longtemps que cela tout se serait envolé au premier coup de trompe...
Je ne me connecte plus de chez moi, c'est trop risqué, car la bombe risque de me péter à la gueule à tout instant.
Derrière cela s'est en fait (je ne le sais que trop bien) un stress. Comme je le disais dans le post de Weaselle, je commence à prendre conscience des dégâts de la cyberpornographie :mur:.
Pour être précis, je suis dans un processus d'abstinence complête depuis le 14 janvier. Ma libido a été en berne pendant ces presque deux mois et demie. Mais depuis quelques jours, à la faveur de la remontrées des températures et du retour du printemps, mes envies sont revenues...
Malheureusement, je suis incapable de les communiquer à mon épouse et lorsque j'arrive enfin à les forumler c'est au mauvais moment, c'est trop maladroit (méthode "gros sabot") et en général je me fais envoyer les roses. Un câlin, si, mais pas plus. Mais ce n'est pas d'un câlin que je veux :evil: . Je veux plus, je veux ma dose :mur:, et son refus ne faisant qu'amplifier ma frustration, je sens le précipice de plus en plus près de mes pieds...
Comment tout reprendre à zéro ? J'ai l'impression d'être devant un champ dévasté par des Huns. :sceptic:
Vivement la fin de ces vingt-quatre heures et que la vague passe. Mais là c'est dur.
Moralité faut jamais être trop sûr de soi.
Merci d'avoir été au bout de ce post et à bientôt, Nicolas.