Dépendance sexuelle

j'ai déjà essayé, mais j'étais restée axée sur ses autres dépendances, donc je n'ai pas proposé encore de voir un spécialiste pour celle ci.Je lui ai demandé" sympatiquement parlant "de venir ici, ou sur un autre forum qu'il puisse parler avec d'autres dépendants, moi, je ne peux plus faire grand chose, à partir du moment ou déjà je lui ai expliqué que ce qu'il faisait n'était pas être pervers etc...que çà " se soignait" donc voilà ou ou en est.Je pense qu'il faut que j'attende qu'on puisse réellement en parler ouvertement, car pour moi, ayant connu une forme de sexualité " normalisée" on va dire çà, bah, je ne vais et d'une . pas le forcer, c'est aps le but, et pas lui demander un sevrage si ce n'est que lui n'est pas prêt.Déjà faudrait qu'il comprenne le pourquoi de la chose.Mais ce que je sais c'est qu'on ne peut pas rester dans cette impasse.
Alors çà chemine, pour çà que je pose des questions, à savoir que ce que tu me dis, en allant voir un spécialiste, serait la bienvenue, et le début à quelques changements.
Sinon, il a ralenti grave ses complusions, il a déjà jeté presque tous les cd, il doit le faire pour les photos, je n'ai pas redemandé ou il en est, c'est de lui que c'est venu d'ailleurs je ne lui avais rien demandé de tel.
il reste le fait que la simple vue d'un cliché dans un film normal, va le pousser à la chose, je le connais bien, la vue d'une autre dans la rue, une paire de chaussures etc....enfin tout ce dont lui se sert de flash du plaisir à assouvir.
Merci de ton aide :-?

A toutes et tous, merci de vos avis, constats, remarques, leçons de [d]scoubidou[/d] vie,

Je relativise, notamment à l'aide de vos remarques. Mais aussi parce que j'ai pu rediscuter avec la jeune femme avec qui j'ai connu ces déboires, et qu'elle aussi m'a permis d'envisager les choses sous un angle très différent. Elle m'a confirmé ce que tu pressentais, Jozefa, que j'avais envisagé la situation sous un angle unique, et qu'il y en avait d'autres, le sien notamment étant totalement différent et beaucoup plus indulgent et serein.

Je te confirme en outre, Jozefa, que la patience n'est pas chez moi une vertu, et j'ai bien conscience que j'ai tout à gagner à la cultiver.

Alors oui, je dois réapprendre et je suis (évidemment ;-))disposé à.

Je suis bien convaincu, John, que je suis bien mieux ici et maintenant, même avec les errements et hésitations qui accompagnent au début ce nouveau positionnement, que là d'où je m'extirpe doucement.

Il faut que j'accepte la part d'inconnu que ce chemin implique, et oui, je dois bien admettre, avec soulagement, que les contrariétés qui m'ont amenées à ouvrir ce sujet sont sans commune mesure avec la douleur de se savoir esclave d'une saloperie.

Allez, vous m'avez remis du baume au coeur, je vous en remercie ;-).


Bon courage à toutes et tous.