26-11-2017, 13:59
Bonjour
A 31 ans, je me rends compte que la lutte contre mon addiction sexuelle et ma dépendance affective est plus rude que j'imaginais. Je suis en psychanalyse depuis plusieurs années et j'ai pris conscience de ce "problème" d'addiction il y a quelques mois, après une rupture compliquée faisant suite à une relation plutôt courte mais qui a mis en lumière mon problème avec mon désir d'avoir toujours mieux, comme le promettent la pornographie et les sites de rencontres.
Il ne m'est pas difficile de me passer de pornographie. En revanche, je suis accro aux sites de rencontres pour me rassurer sur mon sex appeal. La course à toujours plus de messages et l'impression que toutes les options sont ouvertes.
Aujourd'hui, je me suis lancé dans plein d'activités pour rehausser mon estime de moi-même par d'autres moyens que la sexualité compulsive. Sport, activité artistique, sorties culturelles... Je me rends bien compte qu'après quelques jours sans masturbation, je me sens mieux, plus ouvert aux autres, plus disponible aussi. Et puis, je replonge car je me dis qu'il n'y a rien de mal à se masturber et que ça ne peut pas m'empêcher de me sentir bien... Et le cercle vicieux reprend.
Le problème, c'est que je suis célibataire et que les sites de rencontre constituent un moyen non négligeable de parvenir à rencontrer quelqu'un... Hors, ces sites sont fortement sexualisés et risquent à tout moment de me faire "replonger". Je suis donc tiraillé entre l'envie d'en finir avec les comportements répétitifs de consultation de chats de rencontres et de masturbation, et l'envie de "vraies" rencontres, qui peuvent aussi passer par ces mêmes sites.
Alors, j'essaie de faire des rencontres par d'autres biais. Je sais que je plais mais j'ai des difficultés à entrer dans un rapport de séduction avec les autres. Ce qui me bloque pour passer de relations de "potes" à des relations plus profondes.
Bref, voilà, de manière un peu décousue mes angoisses. J'ai compris beaucoup de choses avec la psychanalyse mais cette angoisse de finir seul demeure et c'est celle-là qui me fait replonger régulièrement dans la masturbation compulsive et les excès.
A 31 ans, je me rends compte que la lutte contre mon addiction sexuelle et ma dépendance affective est plus rude que j'imaginais. Je suis en psychanalyse depuis plusieurs années et j'ai pris conscience de ce "problème" d'addiction il y a quelques mois, après une rupture compliquée faisant suite à une relation plutôt courte mais qui a mis en lumière mon problème avec mon désir d'avoir toujours mieux, comme le promettent la pornographie et les sites de rencontres.
Il ne m'est pas difficile de me passer de pornographie. En revanche, je suis accro aux sites de rencontres pour me rassurer sur mon sex appeal. La course à toujours plus de messages et l'impression que toutes les options sont ouvertes.
Aujourd'hui, je me suis lancé dans plein d'activités pour rehausser mon estime de moi-même par d'autres moyens que la sexualité compulsive. Sport, activité artistique, sorties culturelles... Je me rends bien compte qu'après quelques jours sans masturbation, je me sens mieux, plus ouvert aux autres, plus disponible aussi. Et puis, je replonge car je me dis qu'il n'y a rien de mal à se masturber et que ça ne peut pas m'empêcher de me sentir bien... Et le cercle vicieux reprend.
Le problème, c'est que je suis célibataire et que les sites de rencontre constituent un moyen non négligeable de parvenir à rencontrer quelqu'un... Hors, ces sites sont fortement sexualisés et risquent à tout moment de me faire "replonger". Je suis donc tiraillé entre l'envie d'en finir avec les comportements répétitifs de consultation de chats de rencontres et de masturbation, et l'envie de "vraies" rencontres, qui peuvent aussi passer par ces mêmes sites.
Alors, j'essaie de faire des rencontres par d'autres biais. Je sais que je plais mais j'ai des difficultés à entrer dans un rapport de séduction avec les autres. Ce qui me bloque pour passer de relations de "potes" à des relations plus profondes.
Bref, voilà, de manière un peu décousue mes angoisses. J'ai compris beaucoup de choses avec la psychanalyse mais cette angoisse de finir seul demeure et c'est celle-là qui me fait replonger régulièrement dans la masturbation compulsive et les excès.