Dépendance sexuelle

Version complète : Fin de dépendance, fin de souffrance? JAN GAY dép depuis 25 ans
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Merci de ce témoignage. Tous mes veux de courage et de force t'accompagne. 

Ce n'est pas rien ce que tu vis avec ta maman. Les questions de la vie et de la mort nous ramène aux questions du sexe et du plaisir.
Coucou Jan,
tu sais que tu as tout mon soutien. Je profite d'un passage rapide ici pour te le dire ici.
Je crois que l'alcool est une consommation que tu dois bannir, du moins que tu dois limiter au strict minimum !
Je pense aussi qu'il faut apprendre à vivre avec cette dépendance qui est en nous. Je suis maintenant convaincu qu'on ne la chasse pas. Nous devons nous accepter tel que nous sommes et apprendre à vivre avec. Je pense qu'il ne faut pas vouloir chasser les idées de pulsion, il faut les accepter, et je pense qu'avec le temps nous développons la capacité à ne plus être submergé, et surement nous transformerons ces pulsions en énergie positive. L'alcool fait surement que tu te laisses submergé, cela débloque, désinhibe surement certains mécanismes.
Bon courage à toi mon ami.
Fab
Bonjour Jan,

Tu as tout mon soutien !
Il me semble que l'alcool est à éviter. Dans mon cas, j'essaie de limiter au maximum l'alcool, car je sais qu'il me fragilise et me rend déprimé pendant plusieurs jours.

Tu t'es relevé, c'est l'essentiel pour aujourd'hui. Merci pour ton témoignage.

Courage, tu mènes le bon combat !
Tu as fait un beau chemin jusqu'ici : les bienfaits sont là.
Courage Jan !

On le sait tous, y a des hauts et des bas, il faut vite se re saisir.. je suis exactement dans la même situation, pas de PMO mais remplacement par l'alcool.. j'arrive à supprimer certains soirs mais l'envie est très présente..

Citation : A chaque fois que j’en consomme les barrières de tout s’abaissent, mais aussi les jours après ! J’ai l’impression que le corps s’affaiblit et l’influence de l’alcool agit sur mes hormones (du plaisir) et /ou neurotransmetteurs au-delà du moment même où je consomme l’alcool. M

C'est exactement ce que je vis, je me sens complètement impuissant depuis des mois.. et mon mental s'est complètement conditionné, lorsque qu'on me parle de sexe j'angoisse à l'idée de savoir que le résultat ne sera pas au rendez vous, plus encore, j'ai plus de plaisir, envie de rien juste d'être seul et consommer... mon message n'apporte rien d'utile, juste pour confirmer tes dires..

courage Jan !
Merci à tous de vos réponses!

Je repasse à mon carnet de sevrage.
Les circonstances l'imposent.

Ce sevrage a duré 111 jours.

Jan
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