17-05-2017, 10:24
« Bonjour je suis une femme de 37 ans avec une hyper-sexualité et je souffre d'un syndrome de dépendance sexuelle et affective. Suite à une prise de conscience de ce problème qui occupe mon esprit, mes pensées constamment. Je fais quelques recherches sur le net et répond à un questionnaire d’évaluation de l’addiction sexuelle en 20 questions et je répond positivement à 18 d'entre elles. (et il n'en fallait que 13 pour avoir une forte addiction donc je suppose être addicte).
Je suis célibataires depuis 2 ans et demi et j'ai des rapports multiples avec partenaires sexuels, rarement satisfaisants, grâce aux sites de rencontres (c'est une vrai drogue!). Ce qui en suit alors des périodes de doutes et d'angoisses et l'impression d'être le seul au monde. Cette solitude augmente l'envie de consommer de pornographie, de boulimie, de troubles du sommeil, de l’humeur et d'anxiété. Par fois même d’alcoolisme et de toxicomanie (consommation quotidienne de cannabis depuis l'adolescence) comme une envie d'oublier et de ne pas voir la réalité en face. Les effets négatifs sont nombreux comme être attirée par des formes de sexualité plus hard avec des inconnus et se mettre en danger, connaître ces limites mais l'adrénaline et l'envie d'expériences multiples sont présents. Ce qui provoque un mélange de honte, de peur du jugement, d’être coupable d'en être arrivé là et d’un manque de confiance en moi. Je culpabilise en me disant « ON NE COUCHE PAS AVEC TOUT LE MONDE » c'est pas comme ça que je vais trouver l'amour. J'ai lu : « L’un des plus puissants canaux de transmission est le sexe. Il y a l’échange de fluides ou de sécrétions et donc échange de semence. Chaque partenaire va transmettre à l’autre sa semence, une partie de lui-même sous forme liquide ou spirituel. Plusieurs ont échoué à cause des transferts d’énergie et d’esprits négatifs. » (genre le truc qui te fait stresser à fond). J'ai un problème à me positionner vis-à-vis du sexe opposé (l'image du père autoritaire, d'un frère possessif, de mes compagnons et d’être en confrontation constamment avec eux) et une succession d’échecs amoureux, de frustrations et d'avoir subi une exposition précoce à la pornographie. La masturbation est devenue un besoin, (depuis l'age de 9 ans) même en couple, j'entretenais en cachette une pratique régulière et j'ai l'impression de n'avoir jamais eu de vie sexuelle satisfaisante avec des difficultés à jouir et être comblée. Avec mes compagnons si il n'y avait pas d'actes sexuels je me demandait si ils éprouvaient toujours du désir et de l'amour pour moi. Toujours eu envie d’être rassurée. J'ai commencer à sortir avec les garçons à l'age de 12 ans (en mode touche pipi) et j'ai eu ma première relation à 14 ans sans être amoureuse et en couple évidemment, jusqu'à 17 ans j'ai accumuler les histoires. Jusqu'à tombé amoureuse et de vivre 7 ans de fusion maladive et excessive où j ai été trompée et en souffrance à plusieurs reprises. Chaque relation c'est donc résultée par un échec et une rupture voulu de ma part. Je n 'ai pas eu d'image de couple parfait dans ma famille, une grand mère frustré n'ayant jamais connu l'orgasme, des parents colériques en confrontation constamment, avec une mère souhaitant divorcer toute sa vie mais n'en faisant rien, mais avec des passages d'amants. (On a même servie mon frère et moi de monnaie d’échange lors d'une tentative de divorce de mes parents). J'ai effectivement des antécédents d’abus sexuel dans mon enfance (à l'age de 5 ans par un jeune homme de 18 ans qui se trouvait dans la maison où l'on me gardait). J'ai mis 35 ans à en parler à mes proches par honte et peur des conséquences. Mais suite à ma séparation, un bon pétage de câbles et dépression, j'ai réussie à écrire et envoyer des emails pour tout avouer et me sentir mieux en vidant mon sac. Je trouve que l'écriture est un très bon moyen de dire ce que l'on pense vraiment. Jusque là mon seul moyen d'expression et de communication est la peinture (je suis artiste) et cela m'aide beaucoup. Aujourd'hui comme un appel au secours, J'ASSUME mon état et refuse cette situation d’accumuler les plans culs et d'en souffrir plus longtemps ; Je souhaite avoir confiance en moi et cherche des solutions et décide de ma propre initiative de me SEVRER. Je réalise à quel point tout ce-ci me gâche la vie, me fait perdre temps et énergie, me coupe de la recherche d'un véritable partenaire amoureux (ce qui est mon souhaite très cher à d'avoir une famille surtout ayant la pression de l'age). J'ai donc décider de me maîtriser en changeant mon comportement (supprimer tous mes profils sur les sites de rencontres). Dimanche dernier je me suis dit : je consomme encore, en appelant en fin de soirée, l'un des mes plans cul réguliers, en me disant c'est la dernière fois que je couche avec lui, même si c est le seul avec qui j'éprouve du plaisir mais dénué de tout sentiments. La solution le sevrage et l'arrêt en bloc avec une date butoir dans 90 jours soit le 15 août 2017.
Je souhaite avoir des pensées non sexuelles, une activité sportive, d’être pleinement concentrée sur mon travail et avoir une stabilité émotionnelle et être en couple avec des relations sexuelles satisfaisantes. Ouf désolée pour le roman mais j'avais des choses à dire lol !
Je suis célibataires depuis 2 ans et demi et j'ai des rapports multiples avec partenaires sexuels, rarement satisfaisants, grâce aux sites de rencontres (c'est une vrai drogue!). Ce qui en suit alors des périodes de doutes et d'angoisses et l'impression d'être le seul au monde. Cette solitude augmente l'envie de consommer de pornographie, de boulimie, de troubles du sommeil, de l’humeur et d'anxiété. Par fois même d’alcoolisme et de toxicomanie (consommation quotidienne de cannabis depuis l'adolescence) comme une envie d'oublier et de ne pas voir la réalité en face. Les effets négatifs sont nombreux comme être attirée par des formes de sexualité plus hard avec des inconnus et se mettre en danger, connaître ces limites mais l'adrénaline et l'envie d'expériences multiples sont présents. Ce qui provoque un mélange de honte, de peur du jugement, d’être coupable d'en être arrivé là et d’un manque de confiance en moi. Je culpabilise en me disant « ON NE COUCHE PAS AVEC TOUT LE MONDE » c'est pas comme ça que je vais trouver l'amour. J'ai lu : « L’un des plus puissants canaux de transmission est le sexe. Il y a l’échange de fluides ou de sécrétions et donc échange de semence. Chaque partenaire va transmettre à l’autre sa semence, une partie de lui-même sous forme liquide ou spirituel. Plusieurs ont échoué à cause des transferts d’énergie et d’esprits négatifs. » (genre le truc qui te fait stresser à fond). J'ai un problème à me positionner vis-à-vis du sexe opposé (l'image du père autoritaire, d'un frère possessif, de mes compagnons et d’être en confrontation constamment avec eux) et une succession d’échecs amoureux, de frustrations et d'avoir subi une exposition précoce à la pornographie. La masturbation est devenue un besoin, (depuis l'age de 9 ans) même en couple, j'entretenais en cachette une pratique régulière et j'ai l'impression de n'avoir jamais eu de vie sexuelle satisfaisante avec des difficultés à jouir et être comblée. Avec mes compagnons si il n'y avait pas d'actes sexuels je me demandait si ils éprouvaient toujours du désir et de l'amour pour moi. Toujours eu envie d’être rassurée. J'ai commencer à sortir avec les garçons à l'age de 12 ans (en mode touche pipi) et j'ai eu ma première relation à 14 ans sans être amoureuse et en couple évidemment, jusqu'à 17 ans j'ai accumuler les histoires. Jusqu'à tombé amoureuse et de vivre 7 ans de fusion maladive et excessive où j ai été trompée et en souffrance à plusieurs reprises. Chaque relation c'est donc résultée par un échec et une rupture voulu de ma part. Je n 'ai pas eu d'image de couple parfait dans ma famille, une grand mère frustré n'ayant jamais connu l'orgasme, des parents colériques en confrontation constamment, avec une mère souhaitant divorcer toute sa vie mais n'en faisant rien, mais avec des passages d'amants. (On a même servie mon frère et moi de monnaie d’échange lors d'une tentative de divorce de mes parents). J'ai effectivement des antécédents d’abus sexuel dans mon enfance (à l'age de 5 ans par un jeune homme de 18 ans qui se trouvait dans la maison où l'on me gardait). J'ai mis 35 ans à en parler à mes proches par honte et peur des conséquences. Mais suite à ma séparation, un bon pétage de câbles et dépression, j'ai réussie à écrire et envoyer des emails pour tout avouer et me sentir mieux en vidant mon sac. Je trouve que l'écriture est un très bon moyen de dire ce que l'on pense vraiment. Jusque là mon seul moyen d'expression et de communication est la peinture (je suis artiste) et cela m'aide beaucoup. Aujourd'hui comme un appel au secours, J'ASSUME mon état et refuse cette situation d’accumuler les plans culs et d'en souffrir plus longtemps ; Je souhaite avoir confiance en moi et cherche des solutions et décide de ma propre initiative de me SEVRER. Je réalise à quel point tout ce-ci me gâche la vie, me fait perdre temps et énergie, me coupe de la recherche d'un véritable partenaire amoureux (ce qui est mon souhaite très cher à d'avoir une famille surtout ayant la pression de l'age). J'ai donc décider de me maîtriser en changeant mon comportement (supprimer tous mes profils sur les sites de rencontres). Dimanche dernier je me suis dit : je consomme encore, en appelant en fin de soirée, l'un des mes plans cul réguliers, en me disant c'est la dernière fois que je couche avec lui, même si c est le seul avec qui j'éprouve du plaisir mais dénué de tout sentiments. La solution le sevrage et l'arrêt en bloc avec une date butoir dans 90 jours soit le 15 août 2017.
Je souhaite avoir des pensées non sexuelles, une activité sportive, d’être pleinement concentrée sur mon travail et avoir une stabilité émotionnelle et être en couple avec des relations sexuelles satisfaisantes. Ouf désolée pour le roman mais j'avais des choses à dire lol !