Dépendance sexuelle

Version complète : Fabrice, réveille toi, MERDE !
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Fabrice,

Les mots manquent face à ta situation et ta détresse. Mais il me semble que tu as la force de te relever et d'avancer à nouveau ; tu es un pilier de ce forum et tu as été un phare dans la nuit pour beaucoup d'entre nous, tu as dépensé beaucoup d'énergie pour les autres, j'espère que nous pourrons nous aussi te donner un peu de l'énergie dont tu as besoin.
Tu dis devoir apprendre à t'aimer ; nous ne sommes pas tes proches et peut-être ce que je vais dire peut sembler à côté de la plaque, mais le Fabrice que nous connaissons sur le forum, qui donne sans compter aux autres et qui a épaulé tant de dépendant⋅e⋅s dans leurs luttes et leurs progression, c'est une personne qu'il est difficile de ne pas apprécier et aimer. Tu as tes problèmes d'addiction, mais au-delà de ces soucis qui te minent actuellement, tu es une belle personne, et tu mériterais de te percevoir comme beaucoup d'entre nous te voyons ici.

Bon courage, tiens bon, et tu sais que le forum sera toujours là quand tu auras besoin de briser ta solitude et partager.
Bonjour Fabrice,

Tu as le droit de t'aimer. Tu as donné sur le forum tant de belles choses : tu as des raisons d'aimer la belle personne que tu es. Ces belles choses données ne passeront jamais. Elles existent définitivement.

Bon courage, je suis de tout cœur avec toi !
21 jours sans rechute, et ce n’est plus vraiment la question. Je sais qu’aujourd’hui la sexualité pour le sexe me mène vers un état nocif pour moi. Le sexe n’est pas une activité anodine comme simple aller courir avec un ami ! Dont acte. Jan a raison, il faut s’éloigner le plus de ce qui peut nous amener à chuter ou à se laisser tenter. Je n’ai pas pris les précautions nécessaires de ce coté. 

Comme je le disais dans une réponse à un post, je me concentre actuellement sur moi, sur ma vie, sur ce qui fait que je suis heureux ou sur ce qui me rend malheureux, m’apporte de la douleur. Cela repose sur une écoute de mon corps, de mes émotions, de mes réactions dans différentes situations. 

Pourquoi je me retrouve anxieux lorsque je suis seul avec ma compagne, que je n’ose pas lui parler, que le silence s’installe et que je le ressens de plus en plus pesant par exemple. Qu’est ce que je peux faire face à cette situation ? Est-ce que je dois l’accepter, donc en accepter les conséquences et que ces conséquences ne soient plus nocives pour moi (un vrai lâcher-prise)… ou bien je ne peux pas l’accepter car je le rumine trop et j’accumule de l’énergie négative, de mauvaises émotions, du ressentiment. Alors qu’est ce que je peux changer en moi, dans mon environnement pour que cette situation évolue ? En parler avec ma compagne, lui expliquer où je vois les blocages…Changer, tester, se donner du temps… Et in fine, peut-être voir que je ne pourrais pas changer et donc que la solution s’imposera à moi, elle sera de partir. Voilà c’est un petit exemple de la façon dont j’aborde actuellement les choses.

Par rapport à cela, j’ai besoin de sérénité, de confiance. J’ai besoin d’un cadre bien fixe et le sevrage fait partie de ce cadre, même si je ne ressens aucune pulsion pour l’instant. Il y a aussi un engagement vis-à-vis de ma compagne, un engagement de fidélité, qui me semble bien plus important. 

Je me focalise (dans la limite du possible) sur ce qui m’apporte du bonheur, de la joie, de profiter de cette joie… comme par exemple de passer plus de temps avec mes enfants, et surtout d’être présent dans ces moments avec eux… d’aller voir de bons films, de faire de belles balades en vélo ou à pied, de cuisiner de bons petits plats, de les partager en famille ou avec des amis. Je m’aperçois en fait que l’objectif n’est plus vraiment une fin en soi, mais ce qui est important ce sont les étapes pour y arriver, être dans l’action, dans le présent pour avancer vers ces objectifs.

Je continue ma thérapie et tout cela entre en résonance avec ce que je viens d’écrire. Je plonge actuellement dans mes angoisses, dans ce qu’il y a à la source de ces angoisses, de ce petit garçon en moi qui a peur de la vie, alors que la vie n’est pas si terrible que cela lorsque l’on commence à se centrer sur l’instant présent. Dans mes séances avec mon psy, dans mes méditations, je reprends contact avec cet enfant, nous nous parlons, nous nous aidons, nous apprenons à mieux nous connaître. En écrivant, je sens sa présence qui me réconforte, sa chaleur. 

Pour le forum, je passe régulièrement lire les messages, répondre ici et là en fonction de ce que je ressens ou de ce que je pense pouvoir apporter. Je n’ai pas envie de poster trop régulièrement sur mon post car à la fin (vers l’été), il y avait comme un besoin de m’exposer pour avoir l’aval du forum, pour qu’on me dise que c’était bien, que 260 jours (wouah)… Là, ce n’est pas ce que je veux. Je veux juste témoigner de mon cheminement. En en relisant, je m’aperçois que je ne parle pas de sevrage et peu de sexe. C’est secondaire actuellement. Ce n’est pas la question.

Je pense à vous, et à ma façon j’essaie de contribuer à la vie de ce forum.

Fabrice
Mon ami Fabrice !
 
Beaucoup de choses à dire, mais beaucoup ont déjà été dites… ce ne doit plus être un mystère pour qui que ce soit que nous sommes surtout en contact maintenant en dehors du forum.
 
Ton histoire est comme pleines d’histoires une « histoire du grand huit ». En t’affrontant et en maîtrisant dans un premier temps (durant 260 jours quand-même) ta dépendance sexuelle, tu as surtout rencontré d’autres strates de dysfonctionnement, notamment ta tendance également à la dépendance affective. Puis surtout ton manque de confiance en toi et ton anxiété. Des « chantiers » sur lesquels tu travailles aussi maintenant !
 
Actuellement tu as retrouvé une sérénité et on peut constater que tu te concentres sur l’essentiel que représentent avant tout tes enfants. Je crois que tu es maintenant aussi arrivé au bon moment pour entamer des échanges nécessaires avec ta compagne pour observer plus clairement où en est votre couple. Il fallait que ce soit en dehors de « toute éruption » que créaient tes dépendances. Car ce n’est qu’en étant débarrassé de tout ce qui fait dépendance que tu peux regarder ton couple et surtout aussi noter clairement ou sont les responsabilités de chacun de vous deux, pour vous rencontrer à nouveau ou alors pour prendre les décisions qui s’imposent. Mais avant, la dépendance masquait tout et les réponses en faveur d’une séparation étaient alors trop facilement trouvées : Oui, il fallait se séparer, car tu es sex dépendant. Et oui, il fallait se séparer, car tu es sexuellement attiré par des hommes et que tu pensais devoir vivre aussi une relation affective homosexuelle pour comprendre où tu en es…
 
Maintenant votre rapport est débarrassé de cela ! Ceux qui nous lisent ici peuvent se rendre compte par ton exemple tout ce qui peut se cacher derrière cette « simple sex-dépendance ». Tu es indispensable au forum ! Et en ce qui concerne notre amitié, … ce n’est plus sur le forum que cela se discute …
 
Je suis profondément heureux et reconnaissant que nos routes se soient croisées….
 
Jan
Bonjour Fabrice,

Merci pour ce beau message ! 

(29-09-2016 18:16)Fabrice a écrit : [ -> ]…Changer, tester, se donner du temps…


C'est une parole qui me touche directement. En moi, la dépendance a atteint l'estime de soi, la confiance, la perception de mon environnement et des événements. Quand je ressens quelques chose, la dépendance interfère et perturbe ma perception. Alors, je ne dois plus faire confiance à ma perception du monde. Je dois changer, tester, et observer les résultats objectifs, mais si mon être dépendant me dit que cela ne fonctionnera pas. Quand je change, quand je teste, je suis parfois surpris du résultat. Ma ré-éducation commence par l'action ...

(29-09-2016 18:16)Fabrice a écrit : [ -> ]dans mes méditations, je reprends contact avec cet enfant, nous nous parlons, nous nous aidons, nous apprenons à mieux nous connaître. En écrivant, je sens sa présence qui me réconforte, sa chaleur.

Comme j'aimerais reprendre le dialogue avec mon enfant intérieur ... je ne suis pas aussi avancé que toi, mais tu me montres le chemin ... Il ma faut renouer le dialogue, patiemment.

Je te souhaite une bonne journée !
Merci encore !
merci pour le réveil, je ne m'étais pas vraiment endormi. Juste moins le besoin de m'exposer ici.
Concernant le thème de ce forum, plus de pulsion, calme plat ! Par contre des vagues d'angoisse, je me demande même si les pulsions ne se sont pas transformées en angoisse.
Le sevrage s'impose à moi, car le sexe n'est plus l'alpha et l'oméga de ma vie. Ma vie se sont les personnes que je croise et avec qui j'ai envie de partager un bout (plus ou moins long) du chemin. Je marche avec elles, et je ne me pose plus vraiment la question de l'avant et de l'après. Malgré les angoisses (et la perte de contrôle pendant ces angoisses), je suis serein et je découvre même la confiance, confiance dans mes choix et dans ma personne. 
La méditation est centrale pour moi, la méditation formelle (entre 30 minutes à une heure par jour), mais plus encore tous les petits moments de quelques secondes de méditation informelle dans la journée. Ce sont ces petits moments où je me recentre sur le présent, où j'écoute mon corps, où je prends conscience de mes pensées, de mes sentiments. Ces moments sont aujourd'hui essentiels. Je ressens en moi cette conscience, cette énergie, cette force. Difficile à décrire, comme une chaleur, comme une lumière, comme de l'énergie vitale. La vie !
Je parlais à Tiago de regarder la vie en souriant. En fait ce sourire est une ouverture, un accueil du monde. En souriant, je suis réceptif, à l'écoute du monde et de moi-même. Et même si les choses ne sont pas simples, je marche et prends goût à ce que je fais. Mon travail se passe mieux (et pourtant rien n'a changé... et même la pression est pire du fait de l'absence de collègues), je partage du temps avec mes enfants. Avec ma compagne, l'échange est difficile, et pourtant j'ai envie d'essayer, de ne pas choisir la solution de facilité, de fuite (la quitter). Je me donne du temps, le temps ce n'est pas la faiblesse de l'indécision, c'est le temps que les choix s'imposent à moi, que je sois prêt. Qu'est ce que quelques mois dans la vie d'un homme... rien... Je me fais à l'idée de vivre seul si je devais la quitter, de même que je vois les compromis que je suis prêt à accepter.
Je fais le tri dans ce qui est bon pour moi et ce qui est mauvais (ou malsain). Le sexe pour le sexe en faisait partie. Le fait de ne pas dire ce que je pensais aussi. Je travaille aussi ce point de la communication (parole et écoute) à travers la découverte de la communication non violente (CNV). Pour ceux que cela intéresse, je ne peux que vous conseiller la lecture de 'Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs)" de Marshall Rosenberg.
Ce matin, je suis bien et souriant. Merci d'avoir pris le temps de me lire. Merci à vous tous pour votre présence, votre écoute. 
Fabrice
Hello Fabrice !
 
Je voulais juste relever ici sur le forum la belle démarche dans laquelle tu es revenu ! Tu as retrouvé la sérénité et je dirais même la force des paroles (et donc des pensées) que j’ai trouvé quand je t’ai rencontré ici il y a un an ! Je te félicite pour ça ! C’est d’ailleurs le seul chemin pour avancer, la sérénité ! Tu sais donc fonctionner comme ça et tu as su chasser les « diables » qui t’en ont empêché !
 
Tu dis « je me demande même si les pulsions ne se sont pas transformées en angoisse. » Je crois ton observation est très juste, mais comme pour plein de choses et dans l’idée de te faire avancer dans ton travail sur toi-même j’ai envie de dire que le contraire est vrai aussi : les angoisses (de bien avant) se sont probablement transformées en pulsions et t’ont amené dans la dépendance ! Poursuis donc ton travail sur toi tel que tu le mènes déjà !
 
Le regard sur ta vie est donc aussi plus posé et les décisions que tu prends sont les bonnes, autant sur le plan personnel que sur le plan professionnel ! On voit donc qu’il ne faut jamais se laisser guider dans la vie par rien d’autre que la sérénité et la clairvoyance ! Peurs, doutes et angoisses transforment la perception de nos vies et il faut être vigilant envers eux et apprendre à s’en méfier, puis à les contourner !
 
Tu en donnes un très bel exemple généreux !
Merci mon ami !
 
Jan
Post Fabrice

Beaucoup de choses se sont passées depuis mon dernier post. Les faits:
  • J’ai vacillé en milieu de semaine, j’avais une décision importante à prendre et je n’y arrivais pas. J’ai regardé brièvement du porno. J’ai vraiment failli finir dans un sauna gay. C’était mercredi / jeudi. Les pulsions, que je pensais, loin sont revenues très forte. Le porno fut bref (faille dans K9, attention à twitter). Je ne remets pas mon compteur à zéro. 
  • Le plus importante est que j’ai décidé de quitter ma compagne. Enfin, nous avons décidé d’une période de transition où nous allons louer un deuxième appart. Les enfants resterons dans notre maison actuelle et en alternance (sur une rythme d’une semaine), l’un sera avec les enfants et l’autre à l’appartement. Nous verrons, nous nous donnons quelques mois pour réévaluer cette décision.
  • Depuis, je me sens mieux, presque libéré. Je n’ai pas vraiment envie de décrire ici ce qui m’a mené à quitter ma compagne (17 ans de vie commune…). Mais après des mois d’hésitation, cette décision s’est imposée à moi. Je sais que c’est un nouveau pas pour moi, un pas important. Je me sens dans mon axe, ne pas prendre cette décision me poussait vers des rivages que je ne voulais pas revoir.

Et maintenant, et bien maintenant, j’ai juste envie prendre soin de moi, prendre le temps de me retrouver, de me retrouver avec mes enfants, de me retrouver face à moi, de voir vraiment comment je peux vivre seul (ce qui ne m’est jamais arrivé…). Ce sera une période test, je n’ai pas envie de penser à une nouvelle relation et clairement il n’y aura pas de sexe hors d’une relation. Donc cela signifie pour moi une abstinence sexuelle, ce sera aussi nouveau pour moi. La décision fut difficile à prendre, mais aujourd’hui, même si je me sens un peu perdu, je suis confiant. J’ai l’impression d’avoir pris ma première réelle décision dans ma vie.

Concernant la dépendance, j’ai senti le souffle de la bête. Mais au fond de moi, il y avait une petite voix, une sensation qui me disait que je ne trouverais rien de bon dans la dépendance. J’ai regardé le porno plus par réflexe, aucun plaisir. J’ai pensé à avoir des relations avec des hommes, je ne voyais vraiment pas ce que cela m’apporterait. J’en avais envie (ma dépendance) et puis j’avais conscience que cela ne répondait pas à mon besoin. Ce n’est plus dans les autres, dans des rapports compulsifs que je vais trouver la solution à mes problèmes. C’est en moi-même. Et si je pousse le raisonnement plus loin, il y a surement beaucoup de choses qui ne vont pas avec ma compagne, qui sont de mon unique ressort. Je ne sais pas où je vais, mais je suis confiant (je ressens une force positive, motrice en moi). Je veux simplement être moi, et regarder ce moi en face, le regarder s’exprimer avec sincérité, lucidité et surtout bienveillance (je vais essayer de ne plus me juger).

J’ai mis un petit surfeur zen comme image, j’aime bien cette image et elle correspondait un peu à ce que j’ai vécu la semaine dernière. Des vagues, de grosses vagues, et puis le calme. Comme dit le texte 'You can't stop the wave, but you can learn to surf'.  Donc apprenons à surfer pour traverser les mauvais moments !

Merci à tous, vos commentaires, vos discussions en privé, en MP me font grandir. Un grand merci à deux amis qui sont chers à mon coeur (ils se reconnaîtront, même si je ne suis pas sûr que l’une lise ces lignes…).

Fabrice
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Fabrice !
 
Quoi dire à ce poste ?
Quoi dire à ces décisions que tu as prises ?
Beaucoup de choses ont déjà été dites…
 
Je rejoins avant tout Fr-Ed :

Le plus important me semble que tu aies pris une décision !
Est-ce la bonne ? Personne ne le sait…
D’ailleurs je ne comprends pas les certitudes…
Je ne comprends que les méandres, car je crois qu’ils nous ramènent à ce que nous sommes :
Des hommes.
Qui doutent.
Mais avec ces doutes les choses restent vivantes.
Nous devons l’accepter.
La certitude semble nous faire miroiter qu’il n’y a plus de souffrance derrière, je n’en suis pas si sûr…
 
Ce qui me semble essentiel dans l’immense pas que tu viens de franchir c’est que le but de ce pas - qui vient après tant de pas déjà faits et qui en précèdera autant d’autres, décisifs aussi – le but c’est TOI !
Ce qui en ressort de ton parcours et de tes témoignages, c’est que nous nous perdons sur la route de notre dépendance, mais la raison du départ, comme la ligne d’arrivée, c’est toujours NOUS !
 
Si nous sommes dans notre axe – et bien entendu qu‘on ne saura que juste avant la fin de notre vie, là où tout fera sens, à quel moment nous l’avons vraiment été– nous sommes en osmose avec nous-mêmes, comme avec tout ce qui nous entoure, et réellement prêts à apporter quelque chose aux autres.
 
Tu es en train de prendre définitivement cette route !
Un homme doute.
Un homme a peur.
Ne sois pas effrayé par ta peur !
Tout le monde est effrayé de partir vers ce qu’il ne connait pas !
Il n’y a que les prétentieux qui croient que la peur n’existe pas.
Ils ignorent l’homme en eux.
 
Tu n’es pas de ceux-là !
Tu es un homme, un homme généreux et sincère !
Donc sois ouvert, curieux et confiant de ce qui arrive !
De celui que tu es !
Trace ta route !
Les évidences s’imposeront toujours !
Tout fera sens, si on est dans son axe !
 
Accepte enfin que tu n’es jamais rassuré de ce que tu feras, parce que tu es un homme.
Sincère surtout.
Tes doutes, c’est ta sincérité.
Ton souci est peut-être que tu n’as jamais appris (en dehors de ce qui a été ta dépendance) à mentir !
Accepte d’être quelque part la victime de celui que tu es : Anxieux et doutant, mais juste parce que tu ne joues jamais à quoi que ce soit !
 
Le Fabrice qu’on a rencontré ici, il est comme ça !
Crois-moi !
 
Apprécie donc ce Fabrice, comme nous l’apprécions !
Fais confiance à ce Fabrice, comme nous lui faisons confiance !
Avec ses qualités et ses défauts ! (Comme tout le monde !)
Est-ce que nous lui serions fidèles ici depuis plus d’un an, si ce n’était pas le cas ?!
Tu peux lui être fidèle !
 
Aime (enfin) ce Fabrice, comme nous l’aimons !
Il vaut la peine …
 
J
Bonjour Fabrice,

Je suis très ému à la lecture de ton message.
Je ne sais pas quoi dire.
Dans cette situation complexe, j'admire ton discernement, ta prise de décision, ta vision lucide de la situation.
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