Dépendance sexuelle

Version complète : Suis-je dépendant ? Si non, suis-je a risque ?
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Bonjour, a tous et toutes ! je suis heureux d'avoir trouvé un endroit ou parler Smile 

j'ai 18 ans, et je représente tout les symptomes d'une dépendance affective.

Avant, je regardait fréquemment du P. 
C'était relaxant et je n'était pas au courant des risques.
Puis, un jour, j'ai appris.
Cela m'a térrifié.
Depuis, j'avait arrété. 

Mais en ce moment ca ne va pas, et avant-hier, une sorte de pulsion, telle une cigarette ou un verre de vin, m'y a fait retourné. je me m'était rappelé d'une ancienne vidéo qui m'avait beaucoup excité.

Mais la mayonnaise n'a pas prit ; même si la vision d'un être dénudé du sexe opposé ne me laisse pas indiférrent.
Je ne peut pas m'empécher de penser aux risques, mais aussi a la fille de la vidéo ; tout cela n'est que mise en scène, cette pauvre fille n'aime pas ce qu'elle fait, elle le fait par néssécité, sa ''carrière'' l'empechera de connaitre l'amour et d'avoir des enfants...

J'imagine que le jours ou elle réalisera ca, elle méttra fin a ses jours.
Autant d'élement cumulés démontent la vidéo et la rendent sans intéret, je dirait même dégoutante, 
profondément contre-nature.
je ne bande même plus, et me masturber devant quand même me rend mal a l'aise.
Je ne vais pas me masturber jusqu'a la semaine prochaine, et voir comment la situation évolue.

Une phrase sur un site traitant de la dépendance m'avait marqué ''Tout plaisir non partagé mène a la dépendance''.

Jusqu'ici, je me suis toujours masturbé sur des fantasmes que je monte de toute pièces, èce malsain cela aussi ?

Suis-je un sujet a risque ? Huh

Merci de m'avoir lu.



Hello!
 
Bonjour et bienvenu sur ce forum !

Je t'envoie mon message un peu standardisé de bienvenue, pardonne-moi...
Je manque un peu de temps à l'instant, mais je souhaitais t'envoyer une réponse rapidement!

Déjà félicitation pour ton courage de t’exprimer ici !
Ce forum se base sur l’entraide. Lis, écris, réponds aux autres postes, aides et demandes de l'aide !
 
Regarde aussi le "WIKI" (sur la barre en haut à droite) et fouilles un peu dedans!
C’est une sorte de bibliothèque avec des articles et postes, parfois écrits par les membres, classés par thèmes:
Voici le lien pour savoir comment s'en servir:
http://www.dependance-sexuelle.com/wiki-article-10.html
 
Le fait d'une dépendance sexuelle est difficile à déterminer de m'extérieur...
En fait, c'est à partir du moment où chacun détermine individuellement si le sex, le porno ou la masturbation prend le dessus sur notre volonté et crée de la souffrance en nous.
Dans le "WIKI" tu as le sujet suivant qui te permet d'évaluer un peu mieux ton cas:
http://www.dependance-sexuelle.com/wiki-article-57.html

Ici personne ne te juge ! Sens-toi alors parfaitement libre de t’exprimer par tes postes ou en discutant avec les uns et les autres, sur leurs carnets, en message privé ou par tchat direct (en bas à droite dans "voir qui est en ligne" si tu as défini une personne comme contact, ou dans « le salon ») !

Néanmoins, prends connaissance de la charte du forum, car les postes ici sont accessibles à tous, sans besoin de se connecter. Les mineurs aussi peuvent venir lire ici.
 
Au plaisir de te relire!
Tu n'es plus seul! A très vite, jeune homme!
 
Jan
Réponse rapide ou pas, merci de m'avoir répondu Smile
Merci pour tes liens ^^ 
Oui je comprend, dans l'attente d'autres réponses, je vais aller lire tout ca.
Salut Paul,

Soit le bienvenu sur le forum. Le forum est là pour discuter et c'est vrai que c'est super de ne plus être seul avec ses questions.

Il y a des 'définitions' concernant la dépendance ainsi que des questionnaires auxquels tu peux répondre pour voir ton 'niveau' de dépendance. Jan t'a mis un lien, je te conseille d'analyser ta situation sans te voiler la face. 
Voici un lien vers le test d'orroz
http://enquete.dependance-sexuelle.com/i...7&lang=fr#

Est ce juste un lapsus de clavier, mais ta première phrase est 
Citation :j'ai 18 ans, et je représente tout les symptomes d'une dépendance affective.



Tu parles de dépendance affective alors qu'ensuite tu parles uniquement de pornographie.  Te sens-tu aussi dépendants affectifs ?
Si ce n'est pas trop personnel (tout en restant le plus anonyme), peux-tu nous dire la situation qui t'a mené à cette pulsion ?
Depuis combien de temps avais-tu arrêté de regarder du porno ? Cet arrêt avait-il été difficile ?


Voici quelques petites questions, juste pour mieux te connaitre. Pas nécessaire d'y répondre, si tu ne le souhaites pas. Elles peuvent aussi simplement t'aider dans ta réflexion.


A bientôt
Fabrice
Merci pour les liens et les instructions Smile 

Par dépendance affective j'entend que je dépend du regard des autres, que si je ne suis pas aimé je ne peut pas m'aimer de moi même.
Je ne m'aime pas, je ne pense pas que je mérite d'être aimé..je doute de moi tout le temps, et il suffit que quelqu'un me dise quelque chose de méchant pour que je rase les murs pendant des mois.....quand une fille me rejette, ca me détruit...j'ai l'impréssion que ma vie ne trouvera de sens que lorsque je rencontrerait enfin quelqu'un...

Ce qui m'a mené a cette ''Pulsion de mort''  ; 

Je n'ai jamais réussi a avoir une relation avec une fille qui me plaisait.
Ma plus longue relation était de 3 semaines, avec une fille que je trouvait laide, mais qui était quelqu'un de bien.
Je métait dit que j'apprendrait a la désirer avec le temps. je n'y suis pas arrivé.
Je suis vierge.
Toutes les filles avec lesquelles j'ai été jusqu'a présent ne me plaisaient pas, dumoins physiquement.
J'était avec elles parcequ'elles étaient gentilles, et j'était profondément en manque de tendresse, de calins, de compliments. (donc d'affection ?)
Je complèxe sur ma tête, sur mon corps, sur mon incapacité a aller vers les gens...

je pense souvent que je vais mourir seul, que j'appartient a une petite minorité de gens parfaitement indésirables dont personne ne veut..

Je me débrouille pour me vider la tête comme je peut, afin d'éviter de penser a tout ca.
Parceque quand ca revient sur le tapis, je suis mal.

je pleure, je sanglote, je me sent vite, inutile, comme un poids mort pour tout ceux que j'aime. écrire tout ca me fait monter les larmes. 
Je regarde des séries, des films, je sort, tout est bon pour oublier. pour m'oublier.
Cette fois, c'est tombé sur ça. mais je connait les conséquences et ca me térrifie. 

Alors je vient ici..


Edit 15H26 : J'ai installé sur mon Galaxy un Controle parental, et je me suis débrouillé pour ignorer le mot de passe de désactivation. 
(J'ai mis le dernier contenu du presse papier (Une URL) , et j'ai effacé ce dernier)
Salut Paul,

Merci de partager avec nous. Il n'est jamais évident de parler de soi, de ses douleurs. C'est difficile.

nous sommes nombreux ici à avoir une estime de soi en dessous du niveau zéro, un manque de confiance en nous, à nous sentir moins que rien, à nous considérer sans intérêt... Je pourrais continuer longuement. Ce n'est pas une fatalité. Tu peux changer, tu es jeune (et même si tu l'étais moins, c'est possible aussi, ouf pour moi...). Je comprends ce que tu ressens, être toujours à rechercher dans les autres l'amour que l'on n'a pas, à ne pas s'assumer pour être sûr d'être aimé des autres, quit à ne plus être soi-même...

Ce que je peux lire de toi est que tu n'as pas encore vraiment plonger dans le porno, mais que tu n'es pas bien. As-tu pensé à aller consulter un psychiatre pour parler de toi, essayer de comprendre pourquoi tu ne t'aimes pas, pourquoi tu n'as pas confiance en toi. C'est parfois difficile car il faut remonter à des souffrances enfouies au fond de soi, mais le travail vaut le cout. Cela fait maintenant 4 ans que je suis en psychanalyse. C'est long, mais je me suis découvert.

Pour moi (et d'autres ici), la méditation de pleine conscience est une aide précieuse. Avec la pratique, j'apprends de mieux en mieux à maîtriser toutes ces émotions négatives qui régulièrement me submergent. Cette envie, comme tu le dis, de raser les murs, de ne plus exister... Ce fut pour moi une découverte, je ne cesse aujourd'hui de m'observer, d'observer la naissance de ces émotions et ainsi de les contrer le plutôt possible avant qu'elles ne deviennent envahissantes.  Je viens aussi de prendre conscience que lutter contre les émotions négatives étaient un élément, mais plus important était aussi de m'entrainer à travailler les émotions positives, apprendre à voir les moments de joie, de plaisir (un oiseau le matin, jouer avec mes enfants...)... Rien que des petits détails souvent, mais comme je vis mieux en focalisant sur ces moments heureux plutôt que sur la peur ou la tristesse. 
J'ai aussi appris à être bienveillant vis-à-vis de moi-même, appris qu'il fallait prendre soin de mon corps, presque me câliner. Le corps est notre maison, pour être heureux, il faut être dans une belle maison. Cela demande du temps et de la pratique, mais dans mon cas, cela a changé ma vie.

C'est mon expérience. Tu ne peux rester seul avec les idées noires que tu as en tête. Viens ici sur le forum discuter comme tu le fais (écrire / parler est très libérateur), mais je ne peux que t'encourager à aller en discuter avec des professionnels (nous ne sommes pas des psy). 

C'est très bien que tu aies installé un contrôle, cela peut éviter de chuter lors des pulsions trop fortes !

Bon courage et au plaisir de te lire,

Fabrice

PS: ta vie trouvera un sens lorsque tu TE seras rencontré (et non quand tu rencontreras quelqu'un)... à méditer...
Merci pour ta réponse ! ca m'éclaire vachement Smile et m'aide beaucoup.
Hello Paul !
 
Merci de tes précisions !
Et oups... ma réponse est un peu longue sorry...
 
Je n’aurais pas dit au début que, ce dont tu parles, représente une « dépendance affective »… J’aurais bêtement dit que la « dépendance affective » est la focalisation sur une personne et le besoin quasi maladif de son affection etc. J’ai alors cherché sur le net et effectivement, grâce à toi, je me rends compte que ce que tu décris tombe (déjà) sous la « dépendance affective » ! Dans ton cas j’aurais parlé d’un problème d’estime de soi, un besoin de reconnaissance… pour te rassurer, mais je comprends finalement que c’est lié !
Merci !
C’est super intéressant de comprendre ça !
 
Manque de confiance en soi, dépendance affective, puis dépendance sexuelle peuvent donc « se donner la main » ! Je vois en fait que ça a été le cas pour moi, tu me fais comprendre des trucs… !
A ton âge j’avais aussi fortement besoin de la reconnaissance des autres… tu as donc très bien fait de venir t’interroger sur un risque de tomber dans la dépendance sexuelle… !
Tu réagis jeune !
Je te tire mon chapeau !!!
BRAVO !
 
Comme je le disais dans mon premier poste, la dépendance sexuelle est une maladie qui se « greffe » parfois sur une autre maladie plus profonde. C’est un peu comme « le plâtre pourri » sur un mur ou « un champignon sur l’écorce d’un arbre »,… on doit se préparer à un « travail de réparation en profondeur ». Chez certains ce trouble plus profond peut être un TDA (« Trouble du Déficit de l'Attention »), chez d’autres, comme moi, c’est une « latence dépressive » (due justement à un besoin affectif exacerbé et un manque de confiance en moi), d’autres présentent parfois des pathologies encore plus profondes… C’est pour cette raison que Fabrice a raison de parler d’un travail avec un psychiatre ! Le psychiatre est un médecin, et la thérapie avec lui sera en plus remboursée par la sécu (contrairement à un psychologue). Si je me souviens bien, il te faudra par contre une ordonnance pour ça de la part de ton médecin traitant… (Les amis, vous confirmez ???)
Chez moi ça remonte à il y a 5 ans et c’était en tous cas comme ça.
 
Il y a donc quelque chose au fond de nous qui prépare le terrain sur lequel des dépendances peuvent théoriquement s’installer, le travail avec un psy permet de comprendre où et quand ça a commencé. C’est comme défaire un nœud. Tu as la chance d’être très jeune! Profites de cette chance !
 
Je reviens sur ton sevrage : Tu as posé une période très longue,… c’est un choix. Saches qu’au début les choses sont souvent plus compliquées, il faut s’y préparer.
 
Pour le moment il n’est pas confirmé que tu sois sex dépendant… tu parles de cette photo qui te trouble… Habituellement les dépendants commencent par analyser à quel moment ils ont tendance à visionner du porno. Souvent ça leur prend des heures, ils ne le contrôlent plus, les pulsions sont très présentes, même au quotidien, comme ce que tu décris un peu… Mais ça leur bouffe la vie, ils en souffrent, car ils ne contrôlent plus ces pulsions !
Toute dépendance se définie à partir de cette perte de contrôle et ce degré de souffrance… Chez beaucoup de membres ici cela se produit le weekend et/ou en soirée, quand ils sont seuls… En cas de sevrage il est donc recommandé de prévoir des activités à la place, voir des amis, faire du sport, lire un livre, regarder un film… pour ne pas tomber dans un vide.
Mais être face à ce vide est aussi très salutaire, car soudain on se rend enfin compte du problème qu’on a à ne pas savoir quoi faire de soi…
 
Personnellement je pratique aussi la « méditation de la pleine conscience », et la combinaison psy, forum et méditation m’ont finalement permis de décrocher de ma dépendance. Moi je suis gay sex dépendant depuis des années… donc pas trop accro au porno ou à la masturbation… De ne plus avoir envie de sex et même de ne quasi plus y penser est une sorte de miracle pour moi… ! Mais, comme tu vois, on peut s’en sortir !
 
La « méditation de la pleine conscience » permet surtout de trouver du calme, de maîtriser ses pulsions, mais aussi (et je dirais « surtout » !) de se réconcilier avec soi-même, donc de trouver plus de confiance en soi, de « lâcher prise » (je traduirais par « se foutre un peu la paix à soi-même » !), et de moins avoir le besoin de la reconnaissance des autres !
Dans ton cas ça peut donc être très utile !
Il y a des sites sur le net pour ça. Si ça t’intéresse, cherche sur le net « méditation guidée pleine conscience », mais commence par des choses très simples comme le « scann corporel » ou le « travail sur le souffle ». Ne te jettes pas trop tôt dans des méditations trop thématiques, il faut d’abord prendre conscience de son corps et de son souffle pour pouvoir aller plus loin ! Tu peux trouver aussi des organismes ou associations qui proposent cela près de chez toi. Tu peux le demander à ton médecin traitant, il en connait peut-être…
 
Ecrire et lire ici aide donc aussi ! Tu trouves ici aussi beaucoup des gens proches de ton âge… Ça peut peut-être t’aider de discuter avec eux, lis leurs messages réponds y… Tu auras certainement aussi très vite des retours sur ta propre page. En double-cliquant sur le nom du profil, celui-ci s’ouvre et tu peux lire l’âge du membre, si celui l'a donné. Souvent les membres le mentionnent aussi dans leurs tous premiers messages de présentation…
 
Dernier point : Vigilance avec les programmes de restriction du net! Ils peuvent aussi bloquer l’accès à d’autres sites dont tu peux avoir besoin ! J’ai utilisé « K9 » et au début je ne pouvais même plus aller sur ce forum… Mieux vaut avant tout se renseigner comment pouvoir le modifier et le désinstaller, il faut alors les paramétrer pour ne pas avoir de mauvaises surprises après, parce que quoi dire, si on a besoin d’aide pour débloquer son ordi… ?! Essaie ensuite de donner le mot de passe à un ami ou du moins de le cacher à un endroit où tu n’accèdes pas si facilement. Mais il est important de le garder, tu peux toujours avoir besoin de supprimer ton programme de restriction pour d’autres raisons… !
 
Voilou… !!!
Mon propos a été un peu long aujourd’hui, mais là, j’ai un peu le temps, comme tu vois ! Je te trouve en tous cas super courageux, parce que tu te poses toutes ces questions et tu viens te confier ici, à ton âge ! C’est très touchant, tu me sembles être un gars super et tu mérites de sortir de tes difficultés, comme tous ces gens sincères ici !
Nous, ici sur ce forum, ne sommes pas médecins, nous ne pouvons que partager nos expériences, mais nous serons là, le mieux que nous pourrons pour t’accompagner dans ton parcours !
 
Bon courage !
Tu vas y arriver !
Tu n’es plus seul !
 
Jan
Bonjour Paul,

J'admire ta saine réaction face à la p. Je reconnais l'empathie pour "la fille de la vidéo" : tu reconnais en elle une personne humaine, qui a droit à son intégrité physique et morale, qui a droit au bonheur, à la liberté, etc.

A l'époque de ma première exposition à la p., j'avais eu une réaction malsaine, et j'avais consommé. J'ai honte, aujourd'hui.

Tu analyses très bien tes émotions : c'est un bon chemin. Tu perçois tes vulnérabilités, tu es conscient des difficultés. Tu as une attitude courageuse. Tu prends les commandes de ta vie.

Tu prends la décision au bon moment : une dépendance, détectée tôt, sera vaincue facilement.

J'aurais du, à 18 ans, suivre ton exemple ...

Bon courage !
Bonjour Paul, 

Je complète ma réponse d'hier en décrivant mon parcours. C'est seulement un témoignage personnel, pas une règle universelle. Voici quelques dates et événements dans mon parcours.

1991-1993 : Première exposition au porn (films). Consommation hebdomadaire, puis arrêt pendant quelques mois.
1993-1997 : Déménagement, pas d'accès à la télévision. Pas d'exposition à la p.
Par contre, beaucoup de masturbations (m.), suite à mes échecs amoureux.
1998-1999 : Je suis rarement seul (vie en collectivité) : je me tiens mieux. Pas d'exposition à la p.
1999-2003 : Autonomie (appartement). Problèmes avec m., car je suis seul et ma vie affective est vide. Pas d'exposition à la p.
2003-2006 : Ordinateur à la maison. Je consomme des images p. pour oublier mes échecs et ma frustration.
2007-2009 : Période d'accalmie. Premier arrêt long de la m. (3 mois). Pas d'exposition à la p.
2010-2016 : ADSL à la maison. Nouveaux échecs affectifs. Consommation parfois massive de vidéos p.
Des périodes d'arrêt de p. et m. (quelques mois), mais des rechutes graves.
21 mai 2016 : Nouvel arrêt de p. et m. : je mets toutes les chances de mon côté.

Dans mon cas, le poison de la p. est resté en sommeil pendant 10 ans. C'est dire la force de cette saloperie.
En revanche, le poison de la m. m'a accompagné pendant toutes ces années.
J'ai toujours su que la dépendance à la m. était un obstacle à une vie affective réussie : pourtant, je n'ai rien pu faire.

J'espère que ce témoignage pourra aider quelqu'un.
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