15-05-2016, 10:33
Bonjour à ceux qui lisent,
Addict à divers trucs, très tôt... J'ai coutume de me dire une addiction chasse l'autre; le sexe reste le plus marquant car il offre une "récompense" que le porno ne m'apporte plus vraiment, et que d'autres addictions ne valent pas (cigarette trop light) ou ne peuvent pas compenser assez fort car trop visibles (alcool) ou dangereuses (drogue). J'ai laissé de côté les addictions intellectuelles (activités diverses de la lecture aux jeux video), moralement plus acceptables, encore plus tôt...Dommage, mais ça me fait moins envie.
Mais doit-on compenser une addiction dangereuse, vers une addiction plus profitable par certains aspects dès lors qu'on imagine pas pouvoir "régler" un problème de fond dont l(addiction est un symptôme?
J'ai lu un peu sur le sujet, notamment sur le forum: je suis bien ici à ma place sur un forum de dépendance sexuelle et donc de problème profond, non maîtrisé, pénalisant; celui que je n'ai jamais évacué et qui me fait le plus de mal.
Le nombre de jours d'abstinence face aux autres et soi-même: un piège qui rend la thérapie et la maladie au centre de sa vie plutôt que de la tenir à distance ?
Je n'ai jamais tenu les objectifs que je me suis fixé, et au contraire, à "tenir bon", j'ai l'impression que les rechutes sont encore plus brutales...
En parler ? C'est difficile d'avouer à quel point on est autodestructeur; on a pas envie de nettoyer les écuries d'augias de sa propre vie...Est-ce vraiment un passage obligé que de revenir là-dessus pour espérer progresser et dépasser ces vides qui on déstructuré nos vies ?
Une voie unique pour la résilience en somme ?
Tout conseil pour m'aider sur le forum, dans ma vie est bienvenu.
Si je reste ici, je verrai si je me sens capable d'aider vous autres considérant que "Avant d’enlever la paille de l’œil de ton voisin, retire la poutre qui est dans le tien"
bien à vous
Addict à divers trucs, très tôt... J'ai coutume de me dire une addiction chasse l'autre; le sexe reste le plus marquant car il offre une "récompense" que le porno ne m'apporte plus vraiment, et que d'autres addictions ne valent pas (cigarette trop light) ou ne peuvent pas compenser assez fort car trop visibles (alcool) ou dangereuses (drogue). J'ai laissé de côté les addictions intellectuelles (activités diverses de la lecture aux jeux video), moralement plus acceptables, encore plus tôt...Dommage, mais ça me fait moins envie.
Mais doit-on compenser une addiction dangereuse, vers une addiction plus profitable par certains aspects dès lors qu'on imagine pas pouvoir "régler" un problème de fond dont l(addiction est un symptôme?
J'ai lu un peu sur le sujet, notamment sur le forum: je suis bien ici à ma place sur un forum de dépendance sexuelle et donc de problème profond, non maîtrisé, pénalisant; celui que je n'ai jamais évacué et qui me fait le plus de mal.
Le nombre de jours d'abstinence face aux autres et soi-même: un piège qui rend la thérapie et la maladie au centre de sa vie plutôt que de la tenir à distance ?
Je n'ai jamais tenu les objectifs que je me suis fixé, et au contraire, à "tenir bon", j'ai l'impression que les rechutes sont encore plus brutales...
En parler ? C'est difficile d'avouer à quel point on est autodestructeur; on a pas envie de nettoyer les écuries d'augias de sa propre vie...Est-ce vraiment un passage obligé que de revenir là-dessus pour espérer progresser et dépasser ces vides qui on déstructuré nos vies ?
Une voie unique pour la résilience en somme ?
Tout conseil pour m'aider sur le forum, dans ma vie est bienvenu.
Si je reste ici, je verrai si je me sens capable d'aider vous autres considérant que "Avant d’enlever la paille de l’œil de ton voisin, retire la poutre qui est dans le tien"
bien à vous