Dépendance sexuelle

Version complète : Le cheminement de Marie-Crêpe
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17/09/16 : ok !
18/09/16 : ok !
19/09/16 : ok ! J'ai même presque réussi à ne pas avoir de fantasmes/images en tête.
Bonjour Marie-Crêpe,

Je suis très heureux de te lire !

Je comprends que le week-end s'est bien passé. Chez moi, les week-ends étaient (sont ?) des périodes à risque maximal ...

Bon courage !
Ohayo (japonais) Mr_Jazsper !
Ainsi tu t'intéresses au lituanien ? ^o^ (il n'est pas beau ce smiley plein de bonheur ? ^o^)

Bah en fait, maintenant ma rupture m'enferme. Mais je me force à regarder une série à la place du porno. Du coup je fantasme sur certains mecs de la séries mais au moins je ne me bourre pas d'autres images. J'en créé avec les mecs de la série. Je m'imagine mon propre porno. On pourrait dire que c'est un peu tricher. Mais non, c'est une stratégie pour me détourner du porno. Et puis je supprimerai ça un peu plus tard !

Tu peux toujours essayer, ça pourrait aussi te permettre de savoir où tu en es. Mais bon, après si tu ne le sens pas vraiment... ^.^ (oh quelle aide précieuse)

Être avec une autre personne, c'est ce que je me dis avoir besoin lorsque j'essaye d'émerger au milieu d'une journée pornographique. Mais Quand ça se calme et que je commence à réfléchir ('serait pas trop tôt) je me rend compte que ce n'est qu'une excuse. Une excuse pour... stagner, je ne sais pas trop, mais une excuse. Ce n'est pas ce dont j'ai besoin et comme tu dis, il faut d'abord briser cette coquille. De toute façon, je ne pense pas pouvoir vraiment m'engager dans une relation pour l'instant (quand bien même je ne sortirais pas de rupture) : je trouve ça vraiment trop difficile à gérer... Surtout que l'autre à de envies, difficile de résister, alors que telle que tu es à ce moment-là, il ne faudrait pas parce que ça va tout faire revenir... Ou alors, des images bien trop imprimées.

Écrire un journal... tu voudrais dire, comme un dialogue avec moi-même ?

Pour l'instant je ne sais pas si j'ai envie de rouvrir le sujet avec mon psy. En fait je n'arrive pas vraiment à en parler, je me fais encore beaucoup trop honte, et le dire à haute voix, c'est entendre ce que je dis de moi. Là j'écris, je réfléchis, je couche des émotions (enfin pour les émotions, plutôt sur papier ^.^), mais je ne m'entends pas dire : "Certes j'arrive à tenir un ou deux mois sans pornographie, mais j'aurais toujours des images fortes. Après il faudra forcément que j'aille voir etc" ou "En ce moment comme je n'ai plus de quoi satisfaire mes envies sexuelles j'ai du mal à passer 4 jours sans à moins de ne pas être chez moi". En plus, j'ai l'impression qu'il me dirait que ce n'est pas vraiment dramatique, que je ne suis pas dépendante. Peut-être. Mais il n'empêche qu'il faut absolument qu'au bout d'un certain temps je m'abreuve de ses images, que j'enregistre bien ces images, ou ces mots d'ailleurs, que ça me marque bien et que je me mette bien à la place de l'autre parce qu'il me faut du sexe. Il n'empêche qu'il faut absolument que je passe des heures dessus, oubliant de manger, de dormir. Il n'empêche que quand je me suis bien soulagée mais que je me rends compte qu'il m'en faudrait encore en plus, je me déteste bien, j'ai bien honte, je sens bien tout le mal que je me fais. Et je sens que putain j'ai besoin de sexe.
Maintenant je vais m'entraîner à dire ça à haute voix !

Tiago : en fait je me suis enfermée dans autre chose ce week-end. Ce n'est pas forcément la meilleure solution mais au moins je n'ai même pas taper un mot susceptible de m'amener là où il ne faut pas !
Bonjour Marie-Crêpe,

Très intéressant, ce que tu écris ...

(20-09-2016 00:58)Marie-Crêpe a écrit : [ -> ]mais au moins je ne me bourre pas d'autres images.

Le rôle des images. Il m'arrive d'avoir des flashs : des images qui reviennent en mémoire. Je les chasse le plus vite possible.
Des images pornos peuvent rester très longtemps dans ma mémoire. Cela vient du processus d'apprentissage : focalisation intense, excitation, images vues le soir ... Tout pour avoir une mémorisation à longue durée.
Aujourd'hui, je contrôle rigoureusement ce que je regarde, pour ne pas mettre trop de cochonneries dans ma mémoire ...

(20-09-2016 00:58)Marie-Crêpe a écrit : [ -> ]Être avec une autre personne, c'est ce que je me dis avoir besoin lorsque j'essaye d'émerger au milieu d'une journée pornographique. Mais Quand ça se calme et que je commence à réfléchir ('serait pas trop tôt) je me rend compte que ce n'est qu'une excuse.

Cela fait écho en moi. Quand je suis bien, je n'ai pas besoin d'être aimé. Quand je suis bien, je ne cherche pas la reconnaissance des autres, je ne cherche pas à plaire. Je suis moi. Quand je suis mal, je cherche à plaire, je joue un rôle ... et je ne plais pas.

Bonne journée !
Bonjour Marie-Crêpe,

J'espère que le week-end se passe ... Et félicitations car tu as atteint ton objectif de 8 jours !

(24-09-2016 15:21)Mr_Jazsper a écrit : [ -> ]Nous sommes le problème et la seule solution à ce problème c'est nous ! On est la clé de notre propre cadenas qui nous enferme en nous.

Je suis vraiment d'accord ! Voilà un domaine où j'ai toute liberté : la sortie de mon addiction. Quel paradoxe enthousiasmant ...


Courage, on va y arriver !
Bien. Il est temps de revenir.
Je ne serai toujours pas très présente, j'essaye de passer le moins de temps possible sur l'ordinateur.

J'avais plus ou moins mis tout ça de côté, sans vraiment abandonner. Cela allait. Jusqu'aux vacances (où mon esprit ranimait à fonds tant de fausses images accumulées perdant ainsi des heures, puisque je n'avais pas accès à de la pornographie). Je reviens suite à deux journées complétement ratées, deux journées où j'avais parfaitement accès à ça.

Il est temps de prendre de petites décisions, je ne veux pas commencer l'année comme ça.
Donc, en l'honneur de cette nouvelle année qui commence, aucune session de pornographie, aucune pensées animées par des phantasmes et des images faussés, aucune masturbation (malsaine ou sublime) ne seront tolérés, et ce durant une semaine.
Quand j'y réfléchis, je me dis que c'est assez énorme, vu ce qu'il se passe en moi en ce moment même, mais je l'ai déjà fait ; j'y arriverai !
Si je réussi, ou plutôt, comme je vais réussir, après cette semaine, un soir, je me mettrai dans de bonnes conditions, et je pourrai tenter une petite masturbation sublime. Ce sera un temps pour m'aimer, pour me donner de l'amour. Ce n'est pas grave si je n'y parviens pas vraiment, tant que je ne transforme pas ça en masturbation "malsaine", inintéressante.

Quand mes partiels seront passés et que je disposerai donc de plus de temps, j'irai faire un tour sur le forum (et pas uniquement dans mon sujet).

Aller. Et ainsi je réappendrai à m'aimer vraiment (parce qu'il y a tout de même des parties de moi que j'aime, j'ai juste beaucoup de mal avec ce qui concerne le sexe). "Juste". Comme si le sexe n'était qu'un petit truc pas trop important... Je me fais sourire tient.

Bisous !
Bonjour Marie!

Un coucou rapide et juste te dire que je suis heureux de lire que tu ne perds pas le contact avec le forum. Tu restes consciente sur ta situation! C'est positif!

Bonne année et plein de belles choses pour toi!

Jan
Bonjour !

Merci Jan ! Je te souhaite une bonne année à toi aussi ! Wink

8 Janvier 2017 :
Tous les jours, j'écris sur le bloc-note personnel si je me suis bien passée de porno, de fantasmes (qu'ils soient bon ou pas) et de masturbation. Pour cela, j'ai donc commencé à me surveiller. J'ai ainsi réalisé que le matin, à mon réveil, mon premier mouvement est de me préparer à une masturbation purement mécanique. Je devais donc le faire presque systématiquement... Selon les périodes bien sûr, surtout quand je vais moins bien (comme là où je suis stressée). Et c'est vrai que c'est quelque chose que j'ai enregistré depuis toute petite, mais cela n'avait pas alors une dimension sexuelle comme pour un adulte. Donc depuis que j'ai découvert la sexualité cela s'est imprimé. Mais c'est maintenant que je réalise.
Mais je sais que je ne le faisais pas tout le temps avant.
Chaque fois que je suis dans une position qui peut me tirer du plaisir, j'en profite, sans même y penser (pas facile de parler de ces choses-là tout en essayant de rester évasive...). En soi, je ne pense pas que cela soit un problème... Là où ça en devient un, c'est quand c'est systématique, à n'importe quel moment, et surtout quand cela réactive les fantasmes, les envies, qui ensuite vont réactiver - puisque je ne sais pas les gérer - le Besoin quasi-irrépressible et que je ne sais pas évacuer, ce qui va à sont tour réactiver les images accumulées, les faux fantasmes etc. Une nouvelle chose que je vais devoir contrôler.
Enfin non, pas contrôler. D'abord observer. Si j'essaye de contrôler, je vais m'empêcher et donc me frustrer, ce qui ne sera pas mieux. Il faudrait plutôt que j'essaye de réfléchir à cela, que je me questionne... Enfin, je verrai bien en observant.

Pour l'instant, cela se passe bien, à part quelques débuts de fantasmes. Je suis contente : pour l'instant, durant ma période de révision de partiel, il n'y a eu que deux après-midi de porno/masturbation/fantasmes. C'est beaucoup mieux que les deux sessions précédentes ! Et je vais continuer ainsi !

11 janvier 2017 : Eh bien bravo Marie-Crêpe ! J'étais contente, cela faisait sept jours ! Mais il fallait que je me replonge complétement dans des révisions, je m'empêche d'aller traîner sur internet... Enfin, je traîne sur internet, je vais sur des sites en aucun intérêt, puis j'arrête, je m'en empêche tranquillement. Sauf qu'il y du travail à faire, il y a du stress qui vient se glisser, bref, le prétexte classique pour que mes besoins reviennent à la charge. Là, je commence à observer comme j'essaye de le faire depuis quelques jours. Je commence à réfléchir, j'ai l'impression d'avoir pris de la distance par rapport à ça. Je prends conscience du fait que j'ai le choix entre mes révisions, qui sont importante pour mon avenir, mais aussi pour l'image que j'aurais de moi si je fais les choses comme je le dois et "satisfaire ce besoin". J'ai même en arrière pensée le fait que ça ne me satisfera pas, qu'il vaut mieux me concentrer sur autre chose et m'accorder du temps pour moi ce soir (pas me masturber hein ^^ Je pensais plutôt à écrire pour moi, quelque part, ce que je ressens, ce qu'il me semble que je voudrai réellement...). Apparament, c'était trop en arrière pensée, car j'ai pris la deuxième option...
MAIS. Là où je peux me féliciter, c'est que ça n'a pas duré trop longtemps et surtout, surtout, je ne me suis pas dirigé vers la pornographie ! Qui était tout de même la première pensée qui m'était venue !

Je pense que demain soir, je ferai un tour sur d'autre parties du forum. Peut-être oserai-je répondre à un sujet ? J'en ai souvent l'envie, mais je ne le fais presque jamais.
C'est très idiot, mais j'ai toujours l'impression d'être trop inférieur, trop petite pour cela. ^.^
Je sais que ce n'est pas forcément vrai, mais cela reste en moi !


13 janvier 2017 :
Et encore une rechute ^^'
Mon envie était trop forte. Envie... non, ça ne tient pas de la simple envie, c'était un besoin.
Je reprends à zéro bien sûr, mais je modifie mon objectif. Ce sera sur une période de quatre jours, que je renouvellerai. Cela me procurera probablement plus de satisfation : le fait de ne pas avoir succombé avant est plus motivant je trouve. Je ne m'exprime pas très bien... Tant pis, je n'ai pas trop le temps de m'attarder, avec ces bêtises !
Je reprends donc un sevrage concernant la pornographie et une partie de la masturbation. Je ne vais pas détailler, c'est de l'ordre technique, mais disons que l'une est plus mécanique, et l'autre me mets plus en relation avec moi-même et à mon écoute (c'est peut-être pour cela que j'ai tant de mal avec).
Lorsque l'envie surgira, j'essayerai de l'éviter et de me concentrer sur autre chose, ou de la "reporter" (dans le temps). Pour que je puisse travailler. Si je n'y arrive pas, alors je m'octroyerai le droit de me masturber, d'une façon plus positive, ou en tout cas en m'occupant plus de mon bien-être, sans laisser de place bien évidemment au images/phantasmes accumulés. Mais si cela ne me satisfait pas, si ça me reprend le lendemain, alors je ne pourrai pas agir de la même manière. Peut-être aller courir, m'épuiser ?
J'ai repéré qu'il s'agissait d'une fuite. Mais j'avais un peu mis de côté le fait qu'il s'agit aussi de fortes envies, de frustrations qui sont là depuis... depuis mes 15 ans, c'est certain, mais il me semble que c'était déjà là avant !
Je me demande d'où viennent ces envies, je me demande pourquoi est-ce que je me suis toujours sentie si frustrée (toujours, c't'une façon de parler ^o^).
Tout ça pour dire, qu'en parallèle, il faut que je réfléchisse à comme je pourrais gérer ses envies, ses désirs qui se transforment rapidement en besoin. Chose à laquelle je ne pourrai me consacrer réellement qu'après mes partiels.
Dans ces moments de besoins, je me dis toujours qu'il me faut quelqu'un pour me "combler" (combler entre guillement car il s'agit de mes phantasmes faussés par la pornographie et les besoins frustrés qui donc demande une "compensation" plus forte, je ne saurais donc être satisfaite par ces réalisations). Il ne s'agit même plus d'avoir une relation, non, juste quelqu'un. Et je sais bien que ce n'est pas ce dont j'ai besoin, d'ailleurs, même une relation je ne pourrais l'accueillir en ce moment.
Il faut que d'abord je réapprenne a me faire du bien par moi, pour moi et avec moi.
Mais est-ce qu'il faut que j'apprenne au préalable à gérer mes désirs, ou est-ce qu'au contraire je ne pourrais apprendre à les gérer qu'en réappenant ce plaisir ? Un sujet supplémentaire de réflexion s'impose à moi...
J'ai besoin d'écrire. J'ai besoin que ce soit autre part que dans mon journal personnel. Je ne crois pas que je m'apprête à parler de dépendance, mais j'ai besoin d'écrire, rapidement. Je sens qu'en commençant ici, je ne pourrai pour une fois pas renoncer à l'écrire. Ou du moins je l'espère. Et j'espère que l'écrire autre part et autrement m'aidera. Je n'ai pas envie d'enlaidir encore mon journal avec ça, je suis lassée de redire les mêmes choses à mes proches qui de toute façon n'y peuvent rien et je n'ai pas envie de retourner chez mon psy.
Je n'ai pas beaucoup de temps, je vais faire vite. Il va falloir que je revienne pour développer.
J'ai un peu l'impression de polluer le forum en racontant des choses qui n'ont pas forcément à voir, et j'en suis désolée. Mais là, ça me semble être un endroit.

Chambre désordonnée, saleté. Feuilles vierges, brouillons, cours, livres, cahiers, GPS, maquillage, vêtements, pots de yaourts vides, chocolat presque terminé, emballages de plaquettes de chocolat, mouchoirs, prospectus, sachets d'infusion, disque, pince à épiler, gomme, poubelles... Je la déteste comme ça, et ça fait deux semaines que je veux la ranger.

Un effort de me lever. Je dois me convaincre. Pour me faire à manger, pour manger, pour me laver, pour pisser. Je travaille toujours dans mon lit, ça ne doit pas aider.
Parfois, pour retarder le moment où je me lèverai pour aller aux toilettes, je me masturbe. La bonne vieille masturbation mécanique. Et cela ne m'apporte plus rien, vraiment plus rien. Sauf le fait de sentir que je contracte des muscles... de sentir la fatigue venir et être moins là. -> mais être moins là me "blesse" (flemme de chercher le bon mot)
Je fais ça aussi pour ne pas tout de suite descendre me faire à manger, ou ne pas me mettre tout de suite au travail (étude).

Si dur de se mettre au travail. J'ai l'habitude de ne pas travailler, de fuir.

J'ai intégré, j'ai appris à fuir. A regarder des vidéos ou imaginer plutôt que travailler. Je ne sais pas pourquoi, ça semble être si loin. Je ne sais pas comment faire contre ça. Et puis, c'est valable pour le travail théorique comme pour le travail pratique.

Travail : peur de ne pas réussir, de ne pas être bonne. De ne pas savoir faire. Pour la pratique aussi, malgré les progrès que me signalent mes professeurs.

Sexualité : néant. J'ai perdu mon désir. Malgré ça, il m'arrivait de temps en temps de retourner voir du porno, histoire d'à nouveau bien me faire mal. A la fin de l'année dernière, j'ai développé des sentiments amoureux envers deux femmes et mon désir est revenu. Quelque fois, j'ai pu me masturber sainement. Mais c'est difficile, hasardeux. J'ai du mal à avoir du plaisir sans les images brutales, dégradantes et fortes que j'ai ingurgité dans la pornographie.
En ce début d'année, j'ai à nouveau perdu mon désir.

TOUTE ACTION est un effort, provoque l'envie de fuir : théâtre, envoyer des messages, parler avec des amis/proches, cuisiner, aller aux toilettes, aller me laver, faire des courses, sortir, musée, promenade, lire, sexe, dormir... TOUT. Sauf me bousiller le cerveau dans l'inaction (ex. : regarder des vidéos)

Je cherchais quelque chose pour fuir aujourd'hui. J'ai failli aller dans le porno. Bon, petite masturbation mécanique. J'ai encore failli. Et je ne l'ai pas fait. Mais ce n'est pas vraiment mieux de s'en aller sur internet, ni sur la tablette de chocolat. Ça me donne une si mauvaise image de moi. Le bon cercle. Il faut que je le prise, putain.


Peut-être qu'il faudrait vraiment que je reprenne rendez-vous avec mon psychologue.
Il faudrait que je note tout, absolument tout avant. Pour pouvoir tout lui lister, avant de véritablement reprendre un travail. Il faudra aussi que j'ose lui demander de fermer sa gueule quand il parle trop ou quand je juge qu'il dit des conneries.

OU EST LE BOUTON DE L'ACTION ??!!!!

ACTION
ACTION
ACTION !!!

Je veux vivre, j'en ai marre de me le répéter.
Collège
Lycée
Licence
Alicante
Licence II
La même affaire !
MARRE !!

LE BOUTON DE L'ACTION.
Il y a vraiment ce réflexe d'ouvrir un nouvel onglet > YouTube > Abonnement
Un réflexe, une habitude. C'est peut-être une piste à suivre.

Avant, c'était nouvelle fenêtre de navigation privée > [recherche pornographique spécifique] > ouvrir 50 onglets (parfois, littéralement 50 onglets) > trier l'ordre de visionnage > les regarder jusqu'à ce que quelque chose arrive.
Il y a nettement un progrès !!!
Quand je replonge, souvent, la douleur que me provoque ces séances devient trop forte pour que je m'obstine à continuer. Bien !

Mais j'ai autre chose...
Je trouverai.


Si quelqu'un passe par là, je veux le féliciter pour toutes les avancées qu'il vit ou qu'il fait, aussi minuscules puissent-elles être. Elles comptent TOUTES. Vraiment, TOUTES !
Bonjour Marie crêpes. J'ai lu ton post. J'avais la flemme au départ parce qu'il était long et que j'ai un petit coup de blues en ce moment, mais je me suis dis que c'était mon devoir en tant que modérateur, et je me suis dis aussi que c'était mon devoir en temps que dépendant en sevrage : aller gratuitement vers les autres.
J'ai lu et je me suis senti proche de toi. On ne se rencontrera sans doute jamais, tu es lesbienne, je suis gay, et nos deux histoires n'ont sans doute rien à voir, mais voilà, c'est ici que tu as écris, et c'est ici que je t'ai lu, et d'une certaine manière, on a l'un et l'autre cassé un isolement.
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