Dépendance sexuelle

Version complète : Ma Présentation: Carlos
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La dépendance se nourrit souvent de la solitude, de l'enfermement sur soi-même. As-tu des activités que tu aimerais faire ? Des activités que tu as délaissé que tu aimerais reprendre ? Le sport ? Des associations ?
C'est exactement cela! Déjà cet été je suis parti un mois pour un trip surf, je surfais tous les jours et sans que je m'en rende compte (car la prise de conscience de mon addiction au sex n'était pas là) j'ai passé un mois de sevrage! Je sens bien qu'il y a un problème de fond car quand j'ai plus de copine je me rattache directement à autre chose. Je suis une personne qui a de la volonté donc dès que j'ai pris conscience que je subis un état addictif qui est néfaste pour moi j'arrive à m'en delivrer relativement facilement. Comme l'alcool et la cigarette par exemple... Mais le problème c'est que je reporte toujours cela sur autre chose. Par exemple en ce moment je passe mes soirées sur Facebook quitte à ne pas dormir! Alors c'est sûr que c'est mieux que les branlettes sur youjizz (excusez mon franc parlé...) mais c'est pas le top non plus! C'est tout ou rien... C'est fatiguant d'être comme cela. Pour répondre plus concrètement à ta question oui je voudrais reprendre le hockey mais du fait de mon travail je suis tout le temps en déplacement donc c'est un peu compliqué... Merci pour ton message. A bientôt

Il faut que je lâche prise totalement, comme quand j'étais en voyage. Que je lâche mon ordinateur et mon smartphone au profit d'un bon bouquin. Ça m'aide beaucoup ce forum. Merci à vous tous!
oui, je comprends cette sensation. Lorsque nous sommes occupés, le risque de s'adonner à ce type de pratique disparaît. Je connais aussi le remplacement d'une addiction par une autre. Quand j'ai arrêté la cigarette, j'ai plongé dans la porno dépendance. J' ai remplacé le shoot de nicotine par un autre. Et au début de mon premier sevrage, je pratiquais le sport quotidiennement pour avoir ma dose endorphine. je pense qu'on cherche à combler un vide.
C'est exactement cela! C'est finalement les symptômes sous jacent d'un syndrome magnaco-depressif... J'y vais peut-être un peu fort car je n'ai évidemment jamais eu de crise très forte à rester prostré chez moi dans un état mutique, n'y d'envies de mourir. Mais cette sensation de manque perpétuel, de besoin sais cesse de combler le vide, je pense que c'est lié à cela... Après perso j'ai arrêté de me prendre la tête en essayant de savoir à tout prix pourquoi je suis comme cela car personne be sait vraiment au final! Il paraîtrait que cela pourrait être hereditaire, mon père ayant fait des cures de désintoxication pendant sa jeunesse et n'ayant jamais connu mon grand père qui est décédé à 50 an des suites d'un alcoolisme grave qui l'a rongé toute sa vie, je pense effectivement que cette histoire est assez plausible... Le suicide de mon ex ne m'a pas beaucoup aidé non plus à vrai dire. Finalement je trouve que je ne m'en sors pas si mal! [SMILING FACE WITH OPEN MOUTH AND SMILING EYES]
merci Olive, c'est sympa de discuter avec toi. Il faut que j'aille lire un peu ton histoire pour que l'on puisse mieux discuter!
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