08-10-2015, 17:04
Bonjour à tous et à toutes,
Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, vous pouvez voir ma présentation ici
Je vous la fais courte pour ceux qui ne me connaisse pas, j'ai 35 ans, je suis marié, j'ai une fille, je suis sans emploi (j'espère que ça changera rapidement de ce point de vue) et surtout (et c'est la raison pour laquelle je suis ici) j'ai commencé très tôt puisque je suis porno dépendant depuis un peu moins de 25 ans.
Depuis 8 jours maintenant (depuis le 30 septembre 2015), je suis en sevrage et, croisons les doigts, je n'ai pas encore rechuté, même si parfois les tentations sont fortes.
Je suppose que tout le monde est passé par là, mais je voulais un peu savoir comment vous (avez) gérez ce qui suit.
En fait, je suis confronté à plusieurs problèmes depuis que j'ai entamé ce sevrage :
1) J'avais remarqué ça avant (mon sevrage), quand j'arrêtais de regarder des pornos pendant plusieurs jours, mais là, du coup c'est encore plus flagrant : ça fait 2 - 3 nuits où je fais, au moins, un rêve érotico-porno. Pour le moment, je n'ai pas encore eu de "pollution nocturne", mais je pense que plus ça va aller, plus je vais avancer dans mon sevrage, plus je vais faire ce type de rêves et plus il y a un risque que ça se produise. Alors vous allez me dire que dans l'article dont j'ai mis le lien, il est écrit que c'est "extrêmement rare à l’âge adulte". Cependant, je peux vous dire ça (m')arrive encore puisque j'en ai eu il y a quelques semaines quand mes parents sont venus passer quelques jours chez nous. Avec ça, la question n'est pas "si j'ai ou aurais des "pollutions nocturnes" ou pas ?", mais plutôt "comment faire pour ne PAS assouvir son envie de porno au réveil après avoir fait de tels rêves (qu'il y ait ou non "pollutions nocturnes") ?"
2) (Là je pense que c'est plus lié à mon parcours personnel, mais) Comme ça fait, comme je l'écrivais plus haut, un peu moins de 25 ans que je "consomme" du porno quasi quotidiennement, j'ai une vision, comment dirais-je, "distordue", "erronée" des femmes.
Pour ceux qui connaissent la série Friends, il y a un épisode (Saison 4 épisode 17) où Chandler et Joey zappent sur leur TV et tombent sur une chaine de porno. De peur de ne plus recevoir cette chaine, ils ne zappent pas et n'éteignent pas la TV et, du coup, ils regardent du porno à longueur de journée. Vers la fin de l'épisode, après plusieurs jours, ils se rendent compte qu'ils ont adopté la logique du porno, les clichés du porno et ils considèrent donc chaque femme un peu comme "de la viande". Y'en a un des deux qui dit un truc du genre "C'est bizarre, mais la nana dans l'ascenseur ne m'a pas sauté dessus et n'a pas déchiré mes vêtements". Comme ils se rendent compte que le porno n'est pas la réalité, ils décident de zapper et donc d'arrêter le porno.
Mon problème, c'est que ça fait 25 ans que je fonctionne comme ça, que je vois en chaque femme entre 18 et 55 ans, pas trop mal, une s... potentielle dans l'intimité** et, du coup, je ne peux pas m'empêcher de les imaginer nues et de fantasmer sur elles. (Vu la quantité phénoménale de femmes, réelles ou virtuelles (comme les animatrices, actrices...) sur lesquelles j'ai fantasmé, il y a surement plusieurs s... dans le lot, mais là n'est pas la question). Plus ça va, plus ça va loin.
Quand j'étais ado, je fantasmais sur mes camarades (filles), puis sur mes profs (femmes). Quand j'ai commencé à travailler c'était sur mes collègues, mes amies. Au début, ça n'était que les célibataires; maintenant qu'elles soient mariées, pas mariées, que je sois moi-même marié ou pas marié, avec ou sans ma femme à côté, ça ne m'arrête plus ! Maintenant c'est des inconnues que je croise dans la journée (une nana dans la rue, la caissière d'un magasin...) ou même des actrices, des présentatrices... (Pour les femmes "réelles" que je croise dans la journée) J'en deviens presque voyeur maintenant; quand je ne vois pas une bretelle de soutif ou un bout de culotte ou string, je cherche à les apercevoir et je suis presque frustré quand je n'en vois pas. Pour le moment (et de mon point de vue) c'est toujours des regards discrets, mais je ne sais pas si je le suis vraiment (discret) ! Du coup j'en arrive à me demander si je ne passe pas pour un pervers pour toutes ces femmes que je croise, si elles voient que je les déshabille du regard et fantasme sur elles.
Mon problème, comme je disais plus haut, c'est que ça fait 25 ans que je fonctionne comme ça, que je vois les femmes comme ça et je ne sais pas comment "fonctionner" autrement, comment regarder "normalement" une femme. Je sais pertinemment que ma vision des femmes est erronée, que le porno n'est pas la réalité (c'est peut-être d'ailleurs une des raisons qui me pousse à en regarder), mais comme je ne sais pas comment fonctionner autrement...
Pour les plus "philosophes" d'entre vous, je vis un peu le mythe, l'allégorie de la caverne (que j'ai découverts après la sortie de Matrix). La différence c'est que je suis conscient que ma vision des femmes est erronée, est altérée par le porno et que ça n'est pas la réalité.
Ce qui en découle et qui met (ou peut mettre) à mal mon sevrage, c'est que, dès que je sors de chez moi pour faire des courses ou aller sur des brocantes comme dimanche dernier, j'en reviens avec plein de fantasmes dans la tête.
Jusqu'ici, je les ai "chassé" en pensant à autre chose, en m'occupant, mais ça n'est pas toujours évident.
3) (Un peu en lien avec le 2nd point évoqué plus haut) Je suis, presque à longueur de journée, "confronté" (bien que le mot soit un peu fort) à de jolies femmes, plus ou moins habillées, que ce soit à la TV via des émissions, des séries, des pubs, dans des BD..., ou dans la vie de tous les jours (des collègues, des voisines, des amies...). Pour le moment j'arrive à "gérer" mes fantasmes, mes envies pour ne pas dire mes "pulsions", mais en même temps ça ne fait que 8 jours. Comment vous, si vous vous sevrez, depuis plus longtemps que moi, vous arrivez à gérer cette hyper sexualisation des femmes dans les médias ? Comment, si vous avez la même vision erronée que moi des femmes, à cause du porno, vous arrivez à "gérer", vous arrivez à ne pas succomber à la tentation ?
C'est un peu comme un alcoolique qui verrait des pubs pour de l'alcool et/ou travaillerait à côté (voire dans) un bar.
4) Si vous avez lu ma présentation, vous savez que j'ai une fille et que je souffre d’oligospermie (en lien ou non avec mon addiction, je ne sais pas). Par conséquent, avec ma femme, on a du passer par une PMA (Procréation Médicalement Assistée) (à ne pas confondre, SVP, avec une GPA), notamment par une insémination artificielle, pour avoir notre fille. Pourquoi je vous parle de ça ? Parce qu'on essaye d'avoir un second enfant et comme ça ne vient pas, je vois venir gros comme une maison qu'il va falloir remettre "ça". Le problème, c'est que la PMA implique, à un moment ou un autre, que je fasse un ou plusieurs "petit prélèvement". Donc, tôt ou tard, je vais devoir (avec ou sans porno), me masturber pour faire ce(s) fameux prélèvement(s). Même si c'est presque "légal" et "autorisé" dans ce cas là, j'ai peur de retomber dans mes travers après ça.
C'est un peu comme un alcoolique, en plein sevrage qui doit prendre un médicament à base d'alcool.
Je pense que si et quand ça arrivera, ça fera un moment que j'aurais entamé mon sevrage et que j'arriverai à "gérer" ça, mais quand même, ça me fait un peu peur.
Si vous avez été confronté au même problème, à devoir vous masturber "pour la bonne cause", comment est-ce que vous avez fait pour ne pas rechuter (si vous avez réussi) ?
Si vous avez lu jusqu'ici,... merci.
J'espère que je ne vous saoule pas trop avec mes problèmes, mais j'ai aussi besoin que ça sorte, que j'aie ou non des réponses à mes questions.
En tout cas, merci par avance si vous voulez y répondre ou si vous voulez témoigner à votre tour.
Je vous souhaite une bonne journée.
A bientôt
** Attention, après la réaction d'Ekeiloh, je me rends compte que certain(e)s pourraient mal interpréter le terme "s..." et, du coup pourrait en être blessé(e)s. Par "s..." j'entends "cochonne" (pour ne pas dire "grosse cochonne") "qui aime le sexe". Je ne considère ni les femmes comme des "prostituées" (car 1), j'ai trop de respect pour les femmes pour les traiter de p... et 2) car les "vraies" prostituées ne le font pas par choix) ni comme des dépendantes du sexe (déjà parce que 1) étant moi-même un dépendant (au porno), je serais on ne peut plus mal placé pour juger des dépendantes du sexe et ensuite 2) parce que jusqu'à il y a une dizaine de jours, je ne savais pas qu'on pouvait être dépendant(e) du sexe). De plus, je pense que ni les prostituées ni les dépendantes du sexe/nymphomanes (en tout cas dans leur immense majorité) n'aiment le sexe et font ça par choix, mais, au contraire en sont les victimes. J'espère n'avoir ni heurté, ni blessé les dépendantes du sexe ou les femmes/compagnes de dépendant(e)s, au quel cas, veuillez m'en excuser.
Pour ceux qui ne me connaissent pas encore, vous pouvez voir ma présentation ici
Je vous la fais courte pour ceux qui ne me connaisse pas, j'ai 35 ans, je suis marié, j'ai une fille, je suis sans emploi (j'espère que ça changera rapidement de ce point de vue) et surtout (et c'est la raison pour laquelle je suis ici) j'ai commencé très tôt puisque je suis porno dépendant depuis un peu moins de 25 ans.
Depuis 8 jours maintenant (depuis le 30 septembre 2015), je suis en sevrage et, croisons les doigts, je n'ai pas encore rechuté, même si parfois les tentations sont fortes.
Je suppose que tout le monde est passé par là, mais je voulais un peu savoir comment vous (avez) gérez ce qui suit.
En fait, je suis confronté à plusieurs problèmes depuis que j'ai entamé ce sevrage :
1) J'avais remarqué ça avant (mon sevrage), quand j'arrêtais de regarder des pornos pendant plusieurs jours, mais là, du coup c'est encore plus flagrant : ça fait 2 - 3 nuits où je fais, au moins, un rêve érotico-porno. Pour le moment, je n'ai pas encore eu de "pollution nocturne", mais je pense que plus ça va aller, plus je vais avancer dans mon sevrage, plus je vais faire ce type de rêves et plus il y a un risque que ça se produise. Alors vous allez me dire que dans l'article dont j'ai mis le lien, il est écrit que c'est "extrêmement rare à l’âge adulte". Cependant, je peux vous dire ça (m')arrive encore puisque j'en ai eu il y a quelques semaines quand mes parents sont venus passer quelques jours chez nous. Avec ça, la question n'est pas "si j'ai ou aurais des "pollutions nocturnes" ou pas ?", mais plutôt "comment faire pour ne PAS assouvir son envie de porno au réveil après avoir fait de tels rêves (qu'il y ait ou non "pollutions nocturnes") ?"
2) (Là je pense que c'est plus lié à mon parcours personnel, mais) Comme ça fait, comme je l'écrivais plus haut, un peu moins de 25 ans que je "consomme" du porno quasi quotidiennement, j'ai une vision, comment dirais-je, "distordue", "erronée" des femmes.
Pour ceux qui connaissent la série Friends, il y a un épisode (Saison 4 épisode 17) où Chandler et Joey zappent sur leur TV et tombent sur une chaine de porno. De peur de ne plus recevoir cette chaine, ils ne zappent pas et n'éteignent pas la TV et, du coup, ils regardent du porno à longueur de journée. Vers la fin de l'épisode, après plusieurs jours, ils se rendent compte qu'ils ont adopté la logique du porno, les clichés du porno et ils considèrent donc chaque femme un peu comme "de la viande". Y'en a un des deux qui dit un truc du genre "C'est bizarre, mais la nana dans l'ascenseur ne m'a pas sauté dessus et n'a pas déchiré mes vêtements". Comme ils se rendent compte que le porno n'est pas la réalité, ils décident de zapper et donc d'arrêter le porno.
Mon problème, c'est que ça fait 25 ans que je fonctionne comme ça, que je vois en chaque femme entre 18 et 55 ans, pas trop mal, une s... potentielle dans l'intimité** et, du coup, je ne peux pas m'empêcher de les imaginer nues et de fantasmer sur elles. (Vu la quantité phénoménale de femmes, réelles ou virtuelles (comme les animatrices, actrices...) sur lesquelles j'ai fantasmé, il y a surement plusieurs s... dans le lot, mais là n'est pas la question). Plus ça va, plus ça va loin.
Quand j'étais ado, je fantasmais sur mes camarades (filles), puis sur mes profs (femmes). Quand j'ai commencé à travailler c'était sur mes collègues, mes amies. Au début, ça n'était que les célibataires; maintenant qu'elles soient mariées, pas mariées, que je sois moi-même marié ou pas marié, avec ou sans ma femme à côté, ça ne m'arrête plus ! Maintenant c'est des inconnues que je croise dans la journée (une nana dans la rue, la caissière d'un magasin...) ou même des actrices, des présentatrices... (Pour les femmes "réelles" que je croise dans la journée) J'en deviens presque voyeur maintenant; quand je ne vois pas une bretelle de soutif ou un bout de culotte ou string, je cherche à les apercevoir et je suis presque frustré quand je n'en vois pas. Pour le moment (et de mon point de vue) c'est toujours des regards discrets, mais je ne sais pas si je le suis vraiment (discret) ! Du coup j'en arrive à me demander si je ne passe pas pour un pervers pour toutes ces femmes que je croise, si elles voient que je les déshabille du regard et fantasme sur elles.
Mon problème, comme je disais plus haut, c'est que ça fait 25 ans que je fonctionne comme ça, que je vois les femmes comme ça et je ne sais pas comment "fonctionner" autrement, comment regarder "normalement" une femme. Je sais pertinemment que ma vision des femmes est erronée, que le porno n'est pas la réalité (c'est peut-être d'ailleurs une des raisons qui me pousse à en regarder), mais comme je ne sais pas comment fonctionner autrement...
Pour les plus "philosophes" d'entre vous, je vis un peu le mythe, l'allégorie de la caverne (que j'ai découverts après la sortie de Matrix). La différence c'est que je suis conscient que ma vision des femmes est erronée, est altérée par le porno et que ça n'est pas la réalité.
Ce qui en découle et qui met (ou peut mettre) à mal mon sevrage, c'est que, dès que je sors de chez moi pour faire des courses ou aller sur des brocantes comme dimanche dernier, j'en reviens avec plein de fantasmes dans la tête.
Jusqu'ici, je les ai "chassé" en pensant à autre chose, en m'occupant, mais ça n'est pas toujours évident.
3) (Un peu en lien avec le 2nd point évoqué plus haut) Je suis, presque à longueur de journée, "confronté" (bien que le mot soit un peu fort) à de jolies femmes, plus ou moins habillées, que ce soit à la TV via des émissions, des séries, des pubs, dans des BD..., ou dans la vie de tous les jours (des collègues, des voisines, des amies...). Pour le moment j'arrive à "gérer" mes fantasmes, mes envies pour ne pas dire mes "pulsions", mais en même temps ça ne fait que 8 jours. Comment vous, si vous vous sevrez, depuis plus longtemps que moi, vous arrivez à gérer cette hyper sexualisation des femmes dans les médias ? Comment, si vous avez la même vision erronée que moi des femmes, à cause du porno, vous arrivez à "gérer", vous arrivez à ne pas succomber à la tentation ?
C'est un peu comme un alcoolique qui verrait des pubs pour de l'alcool et/ou travaillerait à côté (voire dans) un bar.
4) Si vous avez lu ma présentation, vous savez que j'ai une fille et que je souffre d’oligospermie (en lien ou non avec mon addiction, je ne sais pas). Par conséquent, avec ma femme, on a du passer par une PMA (Procréation Médicalement Assistée) (à ne pas confondre, SVP, avec une GPA), notamment par une insémination artificielle, pour avoir notre fille. Pourquoi je vous parle de ça ? Parce qu'on essaye d'avoir un second enfant et comme ça ne vient pas, je vois venir gros comme une maison qu'il va falloir remettre "ça". Le problème, c'est que la PMA implique, à un moment ou un autre, que je fasse un ou plusieurs "petit prélèvement". Donc, tôt ou tard, je vais devoir (avec ou sans porno), me masturber pour faire ce(s) fameux prélèvement(s). Même si c'est presque "légal" et "autorisé" dans ce cas là, j'ai peur de retomber dans mes travers après ça.
C'est un peu comme un alcoolique, en plein sevrage qui doit prendre un médicament à base d'alcool.
Je pense que si et quand ça arrivera, ça fera un moment que j'aurais entamé mon sevrage et que j'arriverai à "gérer" ça, mais quand même, ça me fait un peu peur.
Si vous avez été confronté au même problème, à devoir vous masturber "pour la bonne cause", comment est-ce que vous avez fait pour ne pas rechuter (si vous avez réussi) ?
Si vous avez lu jusqu'ici,... merci.
J'espère que je ne vous saoule pas trop avec mes problèmes, mais j'ai aussi besoin que ça sorte, que j'aie ou non des réponses à mes questions.
En tout cas, merci par avance si vous voulez y répondre ou si vous voulez témoigner à votre tour.
Je vous souhaite une bonne journée.
A bientôt
** Attention, après la réaction d'Ekeiloh, je me rends compte que certain(e)s pourraient mal interpréter le terme "s..." et, du coup pourrait en être blessé(e)s. Par "s..." j'entends "cochonne" (pour ne pas dire "grosse cochonne") "qui aime le sexe". Je ne considère ni les femmes comme des "prostituées" (car 1), j'ai trop de respect pour les femmes pour les traiter de p... et 2) car les "vraies" prostituées ne le font pas par choix) ni comme des dépendantes du sexe (déjà parce que 1) étant moi-même un dépendant (au porno), je serais on ne peut plus mal placé pour juger des dépendantes du sexe et ensuite 2) parce que jusqu'à il y a une dizaine de jours, je ne savais pas qu'on pouvait être dépendant(e) du sexe). De plus, je pense que ni les prostituées ni les dépendantes du sexe/nymphomanes (en tout cas dans leur immense majorité) n'aiment le sexe et font ça par choix, mais, au contraire en sont les victimes. J'espère n'avoir ni heurté, ni blessé les dépendantes du sexe ou les femmes/compagnes de dépendant(e)s, au quel cas, veuillez m'en excuser.