10-05-2015, 22:20
Chers amis,
Voici un « casus » comme disent les juristes, un sujet léger qui vous illustrera ma situation actuelle, que j’ai vaguement expliquée ça et là, et sur laquelle je reviendrai peut-être, mais pour lequel j’aimerais quelques avis rapides.
Je suis en sevrage de porno depuis bientôt 9 ans. Plus aucune envie de ce côté-là. En revanche, en 9 ans, j’ai eu 10 ou 15 relations plus ou moins sérieuses, quasi toujours en ayant été amoureux (mais Cupidon est malin et trompeur !!! d’ailleurs je crois que son nom scientifique est « testostérone »), jamais de rencontre via internet.
Après une relation de trois ans, dans laquelle je m'étais engagé plus que jamais (plus que je ne m'engagerai jamais plus, d'ailleurs!), je suis séparé depuis 3 mois avec les choses qui ne sont pas encore totalement claires notamment sur le plan administratif.
Manque affectif, plus que sexuel, de dingue. C’est assez terrible. J’ai l’impression de ressentir le même mal-être que celui qui est décrit sur le forum chez nos compagnons juste avant une rechute. Pas d’envie de porno, mais obsession de certaines collègues, même sans en être amoureux, au contraire même en étant certain de ne m’intéresser qu’à leur corps. Imaginez qu’à chaque Audi blanche que je croise je pense à une de ces deux nanas, que j'ai déjà croisée dans cette voiture ! Lamentable… Et dire que je donne parfois des conseils sur ce forum, c’est à mourir de rire.
Bref.
La semaine dernière j’ai rencontré à un concert une femme séduisante, mais dont pour diverses raisons je ne serai pas amoureux, qui est à mon avis autant en manque que moi, avec qui j’ai dansé puis parlé. A qui j’ai déjà eu l’occasion de faire comprendre que je ne n’avais rien de sérieux à lui proposer sur le plan sentimental, qui de ce fait a ce soir-là préférer éviter la glissade vers l’horizontale mais qui se disait contente qu’on se revoie.
On a prévu maintenant de se voir demain en fin de journée.
Lorsque je la redéposerai chez elle, si elle pousse un peu direction le plumard et que j’y vais, en disant encore que c’est juste de la tendresse parce que ma prétendue (mal- ?)honnêteté affective l’exige,
est-ce que selon vous ce sera une expression de ma dépendance affective, si oui y a-t-il une raison de l’éviter,
ou bien une histoire de fesse contemporaine, banale et innocente ?
Merci de votre lecture et de vos avis spontanés. (oui la notion d'innocence, faute, culpabilité, est à travailler je sais, mais donnez-moi votre conseil surtout ;-) ! )
Corto
Voici un « casus » comme disent les juristes, un sujet léger qui vous illustrera ma situation actuelle, que j’ai vaguement expliquée ça et là, et sur laquelle je reviendrai peut-être, mais pour lequel j’aimerais quelques avis rapides.
Je suis en sevrage de porno depuis bientôt 9 ans. Plus aucune envie de ce côté-là. En revanche, en 9 ans, j’ai eu 10 ou 15 relations plus ou moins sérieuses, quasi toujours en ayant été amoureux (mais Cupidon est malin et trompeur !!! d’ailleurs je crois que son nom scientifique est « testostérone »), jamais de rencontre via internet.
Après une relation de trois ans, dans laquelle je m'étais engagé plus que jamais (plus que je ne m'engagerai jamais plus, d'ailleurs!), je suis séparé depuis 3 mois avec les choses qui ne sont pas encore totalement claires notamment sur le plan administratif.
Manque affectif, plus que sexuel, de dingue. C’est assez terrible. J’ai l’impression de ressentir le même mal-être que celui qui est décrit sur le forum chez nos compagnons juste avant une rechute. Pas d’envie de porno, mais obsession de certaines collègues, même sans en être amoureux, au contraire même en étant certain de ne m’intéresser qu’à leur corps. Imaginez qu’à chaque Audi blanche que je croise je pense à une de ces deux nanas, que j'ai déjà croisée dans cette voiture ! Lamentable… Et dire que je donne parfois des conseils sur ce forum, c’est à mourir de rire.
Bref.
La semaine dernière j’ai rencontré à un concert une femme séduisante, mais dont pour diverses raisons je ne serai pas amoureux, qui est à mon avis autant en manque que moi, avec qui j’ai dansé puis parlé. A qui j’ai déjà eu l’occasion de faire comprendre que je ne n’avais rien de sérieux à lui proposer sur le plan sentimental, qui de ce fait a ce soir-là préférer éviter la glissade vers l’horizontale mais qui se disait contente qu’on se revoie.
On a prévu maintenant de se voir demain en fin de journée.
Lorsque je la redéposerai chez elle, si elle pousse un peu direction le plumard et que j’y vais, en disant encore que c’est juste de la tendresse parce que ma prétendue (mal- ?)honnêteté affective l’exige,
est-ce que selon vous ce sera une expression de ma dépendance affective, si oui y a-t-il une raison de l’éviter,
ou bien une histoire de fesse contemporaine, banale et innocente ?
Merci de votre lecture et de vos avis spontanés. (oui la notion d'innocence, faute, culpabilité, est à travailler je sais, mais donnez-moi votre conseil surtout ;-) ! )
Corto