06-05-2015, 22:48
Je me permets de re-intervenir...
Comme la sexologie est une spécialisation, l'orientation prise par le thérapeute dépendra de sa "fonction" de départ...
S'il s'agit d'un médecin généraliste, oui, il parlera plus facilement des problématiques somatiques, s'il s'agit d'un psychologue, il pourra beaucoup plus facilement évoquer les problèmes de dépendance, de rapport au sexe, etc...
Tout ça pour dire et revenir au primordial selon moi, peu importe le diplôme, ou la spécialité, c'est la QUALITE de la relation au thérapeute qui prévaut absolument...Car de la découlera la relation de confiance et donc la possibilité pour soi de laisser s'entrouvrir les portes des coffre-forts que sont nos âmes/consciences/subconscients tourmentés...
Comme la sexologie est une spécialisation, l'orientation prise par le thérapeute dépendra de sa "fonction" de départ...
S'il s'agit d'un médecin généraliste, oui, il parlera plus facilement des problématiques somatiques, s'il s'agit d'un psychologue, il pourra beaucoup plus facilement évoquer les problèmes de dépendance, de rapport au sexe, etc...
Tout ça pour dire et revenir au primordial selon moi, peu importe le diplôme, ou la spécialité, c'est la QUALITE de la relation au thérapeute qui prévaut absolument...Car de la découlera la relation de confiance et donc la possibilité pour soi de laisser s'entrouvrir les portes des coffre-forts que sont nos âmes/consciences/subconscients tourmentés...