31-05-2014, 03:09
Bonjour à tous et à toutes.
Ma vie est un naufrage absolu, j'ai 34 ans sans emploi depuis 4 ans, sans aucune perspective d'avenir. Ajouté à cela un parcours sentimentale quasi-inexistant ( vierge à 34 ans ), une timidité maladive proche de l'handicap et vous avez la un terreau propice à une dépendance pornographique sévère.
En effet souvent la pornographie m'a parue comme l'exutoire idéale d'une vie faite de frustration.
En effet les innombrables heures passées à parcourir le net à la recherche les dernières vidéos porno étaient des heures ou mon cerveau était en mode " pilotage automatique" et je m'évitait ainsi de faire le terrible bilan de ma " vie ".
Cependant lorsqu'au petit matin les oiseaux commençaient à chanter signifiant pour beaucoup le début d'une journée active c'était pour moi la fin de ma nuit de débauche virtuelle et c'est avec un désespoir que je tirait la chasse emportant le kleenex dans laquelle j'avais vidé ma frustration.
J'ai essayé plusieurs fois d'arrêter mais toujours une image de pop-up, un clip musical osé ou une simple publicité était le prélude à la fin de mes illusions de sevrage.
Le désir virtuel grandissant en permanence sans être jamais satisfait je commençais à me tourner vers d'autre forme de consommation comme des sites de webcam X.
Avec le temps j'ai fini par me dire que la pornographie était la source de beaucoup de maux chez moi, en effet difficile à d'avoir suffisamment d'estime pour soi pour affronter un matin un entretien professionnel lorsque toute la nuit a été passée à moitié nu devant un écran d'ordinateur.
Pareil avec les femmes pourquoi prendre le risque d'une rencontre réelle alors que mes gigas de porno suffisaient à contenir mes envies ? d'autant plus que la pornographie avait tendance pour moi à réduire la femme à un réceptacle sexuel voir à une pratique sexuelle déterminée.
Ca fait une semaine seulement que j'ai arrêté avec une volonté très forte d'en finir et déjà je ressent des effets positifs comme :
- plus de temps à disposition
- je vois plus de monde
- je ressent une hausse de confiance en moi
- je suis de meilleure humeur
- une motivation pour m'en sortir
Je parle déjà naturellement au passé de cette addiction, je me répète en moi même des phrases choc qui me galvanise et imprégnent mon inconscient ( methode coué ).
j'ai déclaré une véritable guerre à la pornographie j'ai vidé mon disque dur, j'ai prêté mon Pc je n'utilise plus que mon smartphone pour naviguer. Intérieurement je me visualise la pornographie comme un petit être vil, laid, sournois qu'il suffit d'écraser, de piétiner avec la force de sa volonté et qui si elle doit nous embarquer une nouvelle fois cette fois il faudra infiniment plus qu'un petit pop-up de merde pour y parvenir.
Ma vie est un naufrage absolu, j'ai 34 ans sans emploi depuis 4 ans, sans aucune perspective d'avenir. Ajouté à cela un parcours sentimentale quasi-inexistant ( vierge à 34 ans ), une timidité maladive proche de l'handicap et vous avez la un terreau propice à une dépendance pornographique sévère.
En effet souvent la pornographie m'a parue comme l'exutoire idéale d'une vie faite de frustration.
En effet les innombrables heures passées à parcourir le net à la recherche les dernières vidéos porno étaient des heures ou mon cerveau était en mode " pilotage automatique" et je m'évitait ainsi de faire le terrible bilan de ma " vie ".
Cependant lorsqu'au petit matin les oiseaux commençaient à chanter signifiant pour beaucoup le début d'une journée active c'était pour moi la fin de ma nuit de débauche virtuelle et c'est avec un désespoir que je tirait la chasse emportant le kleenex dans laquelle j'avais vidé ma frustration.
J'ai essayé plusieurs fois d'arrêter mais toujours une image de pop-up, un clip musical osé ou une simple publicité était le prélude à la fin de mes illusions de sevrage.
Le désir virtuel grandissant en permanence sans être jamais satisfait je commençais à me tourner vers d'autre forme de consommation comme des sites de webcam X.
Avec le temps j'ai fini par me dire que la pornographie était la source de beaucoup de maux chez moi, en effet difficile à d'avoir suffisamment d'estime pour soi pour affronter un matin un entretien professionnel lorsque toute la nuit a été passée à moitié nu devant un écran d'ordinateur.
Pareil avec les femmes pourquoi prendre le risque d'une rencontre réelle alors que mes gigas de porno suffisaient à contenir mes envies ? d'autant plus que la pornographie avait tendance pour moi à réduire la femme à un réceptacle sexuel voir à une pratique sexuelle déterminée.
Ca fait une semaine seulement que j'ai arrêté avec une volonté très forte d'en finir et déjà je ressent des effets positifs comme :
- plus de temps à disposition
- je vois plus de monde
- je ressent une hausse de confiance en moi
- je suis de meilleure humeur
- une motivation pour m'en sortir
Je parle déjà naturellement au passé de cette addiction, je me répète en moi même des phrases choc qui me galvanise et imprégnent mon inconscient ( methode coué ).
j'ai déclaré une véritable guerre à la pornographie j'ai vidé mon disque dur, j'ai prêté mon Pc je n'utilise plus que mon smartphone pour naviguer. Intérieurement je me visualise la pornographie comme un petit être vil, laid, sournois qu'il suffit d'écraser, de piétiner avec la force de sa volonté et qui si elle doit nous embarquer une nouvelle fois cette fois il faudra infiniment plus qu'un petit pop-up de merde pour y parvenir.