Dépendance sexuelle

Version complète : témoignage de raoult
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Bonjour, j'écris mon témoignage, je pense que ça peut être interressant et en même tps j'espère que ça va m'aider à faire l'impossible, cad réussir à décrocher du sexe. tout a commencé en seconde il y a 6 ans. Je m'ennuyais un peu, j'étais un peu seul à l'époque et je ne sortais pas bc donc il fallait bien occuper son tps. Le sexe sur internet est apparue comme une excellente manière (très agréable) d'occuper son tps et petit à petit j'ai sombré dans la dépendance. Cela a duré 3 ans sans que je me pose de grosses questions.  Quand je suis entré en prepa, je me suis rendu compte que je perdais bc de tps sur internet et donc qu'il fallait que j'arrête si je ne voulais pas rater ma prepa. Sans jamais arrêter, j'ai réussi tant bien que mal à réduire bc la consommation mais je rechute toujours en moyenne une fois par semaine. J'ai eu une copine pendant cette période pour qui j'ai tenu un sevrage de 4 mois. Malheureusement j'ai replongé au bout de ces 4 mois et je n'ai jms réussi à vraiment repartir. J' ai finalement intégré une bonne école dont je suis très fier. Cependant maintenant j'ai accès à internet à n'importe quel moment (j'y suis obligé car c'est notre outil de travail et de communication) et c'est très difficile de résister à l'appat du sexe. Avant mon intégration et pendant mes 3 ans de prepa, j'ai essayé divers moyens pour décrocher du porno: - Au début j'ai fait la méthode classique qu'on fait au début: dès que je ressentais l'excitation, je me branlais pour mettre fin à l'envie. C'est une méthode qui ne marche que sur le cours tèrme car l'envie revient très vite et ne s'estompe jamais. Donc tjr au bout d'un moment on finit par craquer.  - Après je me suis dit qu'il fallait juste mettre fin à la branlette. Ne jamais se branler. Mais là c'est vraiment insoutenable (en même tps je pense que c'est ça qu'il faut faire, ou du moins ne se branler qu'occasionnellement et sans support visuel, sans fantasme). - J'ai essayé de restreindre mon accès à l'ordi (en demandant à mes parents de mettre un code sur l'ordi, comme ça je ne pouvais pas y aller tout seul) : ça ne marche pas car si jamais je me retrouve seul avec l'ordi, je suis alors incapable de résister. Je pense qu'il faut apprendre à résister avec les tentations qu'il y a aux alentours. De toute façon, il y a tjr un moment où on aura la possibilté d'aller voire du cul, alors il faut apprendre à gérer cela.Voilà tout ça ne marche pas très bien. Ce que je note qd je rechute, c'est que lorsque la tentation se présente, j'ai la flemme de résister. J'ai l'impression de ne pas vouloir détourner mon esprit des pensées érotiques. Je me dis de toutes mes forces qu'il faut que je résiste mais en même tps je n'ai pas envie de détourner mon esprit des pensées érotiques. Je pense que c'est ça mon principal pb  : il faut que j'arrive à laisser passer l'orage, àdétourner mon esprit lorsqu'il est envahit par des images de sexe.Je remarque que la période pendant laquelle j'ai le mieux résister est celle où j'avais une copine. En fait je voulais résister pour elle parce que je l'aimais vraiment fort et c'est pour elle que j'ai résisté aussi longtps. En gros j'ai beau me dire que c'est pour moi que je lutte, j'y arrive mieux quand je me dis que je me bats pour les autres.C'est pour ça que j'aime bien l'esprit de la freedom week (rejoignez là !!) : il y a l'idée qu'on puisse s'en sortir tous ensemble et qu'on se tire tous vers le haut. On s'aide soi même en aidant les autres.  Je souhaite vraiment m'en sortir. Mais j'ai vraiment besoin d'un coup de main. Franchement j'ai la motive mais tout seul j'y arrive pas. ya des jours où on est invulnérable et d'autre où on est très fragile.  Il faut que le forum réponde présent dans ces moments là. Voilà sinon malgé trois ans d'échec jsuis tjr motivé pour faire un grand bras d'honneur à la pornographie, alors que tous ceux qui sont motivés n'hésitent plus : il faut fonder une grande famille, se soutenir au maximum, parler le plus possible pour créer une barrière solide contre le porno. 

 voilà et pour finir, j'ai besoin dun gros calin pour être consolé [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4d75edb5e.gif"[/img] Bon courage à tous !  PS: - j'ai vu pas mal de choses sur internet. Dernièremment je ne vais plus voire de porno mais principalemnt des strip tease de star du x. C'est moins violent que le poorno mais malheuresmsent ça a les mêmes effets.

- les effets d'une rechute : chez moi c'est simple, ça me mine le moral, ça m'empêche de faire d'autres activités (parce que je suis dégouté de moi et dc je m'en veux à mort d'avoir rechuter) et ça me rend associable (alors que je suis franchement devenu très sociable avec le tps). En gros que des effets négatifs, mais malheuresment ça ne suffit pas pour me dissuader de rechuter. Tout ça pour confirmer que c'est vraiment une drogue (puisque que je rechute contre mon gré) et que c'est vraiment nuisible.

merci raoult.resister pour ta copine, ou resister grace aux bienfaits du bonheur de la vie avec une copine, ce n'est helas pas viable a moyen ou long terme.parce que ce n'est pas simplement la solitude ou l'envie de sexe (pulsions ou "besoins" qu'on considère un peu vite comme naturels et aller de soi...)  qui font cela. et quand on est occupé ailleurs, àtomber amoureux ou autre, qu'on a un autre sujetsur lequel focaliser son esprit, on n'est pas sujet à ces tentations. mais une fois que s'installe l'habitude, sans effet néfaste de routine, mais simplement par retombée de cette suroccupation de l'esprit par la nouveauté (c'est comme partir en vacances, en quelque sorte..), les raisons de fuir dans la branlette-porno qui n'ont pas disparu en fait reviennent à la surface.ce n'est pas le besoin de sexe, ça ne veut pas dire que la copine ne suffit pas ou plus. ça n'a rien à voir d'après moi. c'est un mécanisme de fuite, comme une drogue, fuite de la réalité, de ce que l'esprit aimerait bien adresser mais qu'on veut c*se cacher à soi-même, qui n'a éventuellement rien à voir avec le sexe, mais on préfère inconsciemment cacher ça et l'évitement qu'on trouve peut être le porno... comme le jeu vidéo, l'alcool, la boulimie, etc etc etcje crois vraiment que si l'esprit nous demande quelque chose si fort, qu'on ne peut pas résister à ce qu'on croit décoder comme "branle-toi!", il a ses raison, et il faut arriver à décrypter son message. ce n'est pas "branle-toi!", c'est autre chose.. peut-être "règle tes problèmes avec toi-même que tu as enfoui depuis l'enfance au fond de toi et ne veux pas adresser!"...maiscomme on s'est bien formatté pour ne pas les adresser justement, on ne peut pas entendre ça, on entend un vague "MMM MMM!" qu'on interprète comme "branle-toi!", comme si on essaye de décrypter les paroles d'une chanson dans une langue qu'on ne connait pas... ou en "yaourt".

le forum sert aussi à voir que les autres façons d'aborder le problème donnent certains résultats, mais qu'il faut accrocher toutes les cordes à son arc pour voir tous les aspects de la chose. sans faux-semblants ou quant-à-soi. vision globale, pour utiliser une expression à la mode, mais pour quelque chose d'utile...

Salut Raoult, bon effectivement je crois que c'est difficile de s'en sortir seul...d'ailleurs une réflexion me vient à l'instant...c'est peut être parce qu'on se sent seul qu'on tombe la dedans ?! C'est clair que le forum peut aider, il y aussi le Tchat qui est bien utile, n'hésite pas à t'y connecter, même quand il y a personne, les autres membres peuvent venir en te voyant connecter. Certains membres du forum donne leur numéro de tel en MP et propose de l'aide pour les moments difficiles, c'est vraiment précieux, n'hésite pas à en faire la demande. Perso, j'essaie de mettre, en plus, d'autres solutions : psy, groupe de parole DASA, activité culturelle ou physique... J'ai découvert ma dep affective et sexuelle il y a 5 mois, et doucement je remonte la pente, même si je sais que je suis loin d'être rétabli. Perso, je suis moins dans le sevrage brutal (même si j'ai arréter les pornos assez facilement (pour l'instant)), que dans la recherche de la "liberté", du bien être en faisant des trucs sympas pour moi et doucement je sens que les pulsions deviennent plus faibles, durent moins longtemps. J'ai lu un bouquin qui compare ces pulsions à une vague. Tu sens le truc monter, tu sens que ça te prend et que t'es limite en panique. A ce moment dis toi que tu sais que ça va passer, que la vague va finir par redescendre, et elle fini toujours par redescendre...on pourrait presque même s'amuser à surfer sur cette vilaine déferlente, et guetter la descente...    "voilà et pour finir, j'ai besoin dun gros calin pour être consolé [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4d75edb5e.gif"[/img]" Ca ma bien fait rire, mais là pour moi, tu soulèves la clé du problème, sans vouloir jouer le psy à 2 €...Le porno est très clairement une dépendance, chez certaines personnes, peu connue.Bon courage à toi. 
Bon courage RaoultMoi aussi j'ai connu la prépa et l'école avec la porno-dépendance.Pour ma part en prépa c'était bien pire car le week end j'enchainais sorties complètement bourré et masturbation le week end. J'étais dans la pure fuite en avant. Maintenant ça va mieux j'ai plus de temps pour moi mais je remets presque ma séxualité en question et aujrd après avoir eu des pensées désagréables sur le sujet au réveil j'ai chuté.Bon courage à toi.
merci les amis !la psychanalyse... ça m'interresse, mais j'avoue que j'y crois tellement pas !! Mais je devrai peut être poussé l'introspection plus loin, en même tps je vois pas trop comment faire...  résilience a dit : "c'est peut être parce qu'on se sent seul qu'on tombe la dedans ?!"Moui et non, pas forcément. je m'explique : En fait ma dépendance au sexe existe depuis assez lontps (à mon avis depuis le collège 6e) : à l'époque je regardais juste les clips de musique sur mcm/mtv etc... C'est de la vraie pornographie déguisée ces trucs là. Donc mon appétit pour les jolies filles vient de là, et ce n'était pas parce que j'étais seul à l'époque, c'est juste que je trouvais ça agréable. Après le visionnage a peu à peu évolué, je suis passé à internet, aux images de filles nues, puis au porno. Après j'avoue que comme je me faissais un peu chier au lycée parce que je ne sortais pas bc, cet état des choses a favorisé la plongée dans la dépendance. Mais bon dans mon cas je ne crois pas que ce soit la solitude qui ait amené la dépendance. C'est simplement le fait que tu as un accès facile à la pornographie, qui est addictif. donc une fois que tu tombes dedans, ben t'es dans la merde. Après je me voile peut etre la face, mais je pense que tous les dépendants ne sont pas forcément des gens seuls et asociables, ça peut etre plus subtil que ça. Bon moi j'ai un gros pb de confiance en moi donc bon je suis pas forcément l'exemple même pour illustrer tout ça.une petite question : la dasa c'est comment? Est ce que ça ressemble aux réunions de dasa qu'on peut voire dans desperate housewife (du genre tout le monde est en groupe et chacun prend la parole chacun son tour pour exposer son pb) parce que dans ce cas je trouve ça un peu glauque et ça m'attire pas du tout (d'ailleurs un rendez vous avec un psy me fait tout aussi chier, j'en ai déjà pris et je trouve que ça a servi à rien, mais bon je devrai peut etre réessayer).  Vision addict a dit : "mais je remets presque ma séxualité en question" . Une chose est sure, la pornographie fout le bordel dans notre tete. Et ça c'est vrai et c'est une des raisons pour lesquelles il fo vraiment arrêter. Un moment je me suis demandé si j'étais homo ?? Ce qui n'est pas du tout le cas, mais qui traduit un certain fantasme vis à vis de la fellation dû aux sites porno. Le porno, ça gâche vraiment tout, parce qu'à la base, la fellation on trouve ça dégoutant. Et  ça l'est. Mais ce qu'on trouve d'excitant dedans, c'est la domination de la femme. Et ça ça fausse vraiment les rapports intimes qu'on peut avoir avec une femme : Jadis à l'époque glorieuse où j'avais une copine, (et que j'étais dépendant) j'ai été confronté au pb des rapports sexuels. Il y a une phrase qui est très vraie qd on a une conjointe et qu'on est dépendant, c'est "la pornographie ne donne pas envie de faire l'amour, elle donne plutôt envie de se branler dans qqun". Et ça je l'ai remarqué qd j'étais avec mon ex : quand on avait des rapports, j'avais juste envie de faire l'acte et je devenais très excité, ce qui m'enpechait de profiter vraiment du rapport. En fait j'étais continuellement ffrustré parce que je voulais qu'elle assouvisse mes fantasmes mais en même tps je n'osais pas lui demander. En gros tous nos rapports ont été des échecs retentissants et en 9 mois on n'a jamais vraiment fait l'amour . Donc le porno nuit gravement à la vie sexuelle. Bon vision addict remets toi vite fait de ta rechute. Tu t'es fait avoir dans un moment pas évident puisqu'au réveil on n'est pas trop préparé à résister mais bon il fo apprendre et dis toi qu'il fallait passait par là pour s'en sortir. Chaque rechute nous apprend qqch. courage à tous, et puis courage à  moi aussi ! Envoyez moi des bisous !! PS: oui résilence je suis en manque d'affection, ça se ressent. Mais je sais pas si c'est du au porno ou plutot au fait d'avoir été amoureux ...
"Donc mon appétit pour les jolies filles vient de là, et ce n'était pas parce que j'étais seul à l'époque, c'est juste que je trouvais ça agréable."ça manque d'arguments? pourquoi n'étais-tu pas seul en 6e et pourquoi l'as-tu été peut-être par la suite, alors...?je pense que la pornographie n'est pas addictive en soi. il y a des gens qui boivent des coups et meuvent même se mettre minable de temps en temps, sans être alcooliques. pareil avec nombre de drogues. le porno ne fait pas entrer en jeu de substance extérieure à ton corps, même s'il y a habituation chimique dans le cerveau... il y a ceux qui y seront prédisposés, et les autres. la prédisposition n'est sans doute pas génétique ou innée. elle dépend selon moi de problèmes que justement la psychanalyse peut bien souvent décrire individuellement... ceci n'est pas une démonstration bien sûr.etbien évidemment, ête seul ou introverti ne constitue pas une condition nécessaire ni suffisante sans doute à développer la pornoaddiction. pour certains peut-être, pour d'autres ce seront d'autres facteurs... on peut faire des sondages et des statistiques, cela ne suffira quand même pas à dépister ou soigner ou expliquer le cas de chacun.pour ta question sur les dasa, tu peux lire qqs posts qui en causent ici:LIEN BRISÉ n'oublie pas que, comme ta réticence à aller voir un psy, il ne s'agit là que d'un principe que tu choisis de te mettre au-dessus de la guérison... "ok, j'ai un problème. il m'embête bien fort et j'aimerais le résoudre. mais de là à en passer par les méthodes proposées et même reconnues, il n'en est pas question tout de même..."le manque de bisous, le besoin de câlins, c'est sûrement du ressort de la fameuse dépendance affective. (tiens, c'est lors de ma toute première première visite chez les DASA que j'ai compris que j'étais dépendant sexuel mais aussi affectif... et sans avoir compris ça je serais encore tout au fond très certainement!)je t'embrasse, raoult.. en attendant demain matin pour tu sais quoi! Wink
oui bha j'ai pas envie d'aller a la dasa, et j'ai pas envie non plus de payer 90 euros le psy pour raconter ma life.Oui je sais je suis con et tetu mais bon on se refait pas. dsl mais l'introspection, ça me prend la tête.   Raoult a dit :"Donc mon appétit pour les jolies filles vient de là, et ce n'était pas parce que j'étais seul à l'époque, c'est juste que je trouvais ça agréable."mondom a répondu :  ça manque d'arguments? pourquoi n'étais-tu pas seul en 6e et pourquoi l'as-tu été peut-être par la suite, alors...?pas mal mondom, ya effectivement une faille Wink . En fait j'étais effectivement seul même qd j'étais petit. Les frangins étant bc plus grands que moi, ils étaient déjà dans des études évolués et j'étais tout seul à la maison. ça a du conduire à la dep.Y a un truc qui me hante qd même. Qd je réfléchis, je me dis que j'étais obligé de tomber dans cette dépendance. Parce que vu comment on a accès facilement au sexe aujourd'hui, j'aurai été forcément tenté un jour dans ma vie et j'en aurai profité parce que c'est agréable et qu'au début on ne voit pas où est le mal (on se dit même que c'est génial).  franchement jcrois qu'on peut devenir dépendant sans avoir forcément un pb de confiance en soi et sans être un abandonné de la vie. Après faudrait faire des stats pour voire... ça pourrait être interressant.Moi, d'un certain côté je préfère avoir été touché jeune que plus tard dans la vie parce que je pense que c'est bc plus difficile d'être dépendant quand on est vraiment dans la vie active que qd on est étudiant. Bon après il faut que je m'en sorte, mais ça c'est une autre histoire. Parfois je suis égalemnt content d'être tombé dans la dépendance parce que je trouve que ça fait comprendre pas mal de choses vis à vis de la deP et de ce que peuvent vivre certaines personnes. Parce qu'avant d'avoir vécu la déprime, la dépendance la détresse, on ne peut pas comprendre vraiment ces états d'esprit. Et pourtant y a bc de gens qui ont des pb aujourd'hui de toute nature. Au début on comprend pas les gens qui dépriment. Et puis une fois qu'on a bien déprimé pendant un an, et bien on comprend mieux les choses, et on commence à arrêter de dire que les gens qui ne font rien sont des feignants, et on se demande s'ils n'ont pas plutot un pb.

PS : lol en relisant ton post mondom je vois que j'ai fait un paragraphe inutile où je répète ce que tu as dit. Bon tant pis :/

chacun son envie de s'en sortir...je me souviens très bien quand je me suis dit "p... quelle m... il est hors de question que je continue comme ça, maintenant que je sais ce qu'il en est, je vais m'en sortir coûte que coûte, je n'ai tellement rien à perdre..." et je me suis même dit "c'est quoi ce truc, DASA, ça ressemble aux mauvaises parodies dans les mauvais films... mais bon, si c'est un moyen de s'en sortir... et puis zut, il est indispensable etque je'en finisse avec ce bordel dans ma vie, et impensable que je néglige la moindre chance d'y arriver. alors à la limite, même s'il faut me convertir au catholicisme, si ma vie est au bout, j'accepte de me remettre en question, j'ai tant été dans l'erreur pendant 40 ans après tout..."il y a une question de timing de la vie. moi ç'a été à 42 ans donc. peut-être une des raisons pour laquelle je viens ici tout le temps c'est que ça me fait mal au coeur d'imaginer qu'il y en a qui peuvent peut-être avoir le déclic un peu plus tôt dans leur vie, comme j'aurais sans doute pu (peut-être pas...).le psy, 90 euros, tu t'es peut-être mal renseigné.psychiâtre, avec feuille de maladie et remboursement sécu, ça existe. ça te coûte quelques euros la séance du coup.et puis il y a les cmp. letudiant a fait un topic là-dessus, et c'est encore moins cher puisque c'est gratuit.LIEN BRISÉ qui te prend la tête, c'est visiblement de te sortir de ta dépendance dont tu dis un peu plus bas dans ton post que tu es finalement content d'être tombé dedans parce qu'elle t'enrichit en te faisant comprendre les dépendances ou déprimes des autres...n'aurais-tu pas besoin d'un coup de pied au cul, toi?

 

lol mondom si on continue comme ça, on va s'entredéchirer le week end prochain.Ton post est bien et tu as sans doute raison. Apparemment je suis long à la détente ............ Bon je vais mieux me renseigner sur le psychanaliste et le cmp  
pensées érotiques qui se sont déclarées dans le courant de l'après midi sans crier gare en amphi. Jme suis démené pour les chasser de mon esprit.

ça a fini par partir mais qu'est-ce que ça m'énèrve !

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