Dépendance sexuelle

Version complète : De retour. Pour me présenter, de nouveau, j'aurai besoin de plusieurs présentations.
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Chers membres, De retour, parmi vous. Pour me présenter de nouveau, j'aurai besoin de plusieurs présentations.J'accepte en connaissance de cause et librement le jeu, le risque et la chance des commentaires.   

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Mon propos à venir, tiendra, sous réserve de modification éventuelle, en deux volets :1. Quoi je masturbe? Quoi me masturbe?2. contribution clinique : De la jouissance à avoir tort tout seul qui ferait tourner fou [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil43aa215d246f4.gif"[/img]

 

Je m'attribue mes atermoiements, qui me questionnent.Je me demande, je crois : entre messages sur forum et blog automodéré, quel support me convient? 

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Elle arrête les rencontres furtives et  j'ai mal : A qui de quoi? à la perte, de sexe. Mais de qui? Et à la fois, je suis soulagé que la relation soit éteinte, car j'obsédais sur sa nudité, sur la vision de sa nudité, de son sexe. Le flash de cette vision m'apparaissait, me sautait au cerveau sans crier gare, trop de fois par jour. Je n'y pouvais rien, je pouvais juste ne pas alimenter mon imaginaire, chasser cette image, faire diversion, la rhabiller, lui tourner le dos et m'en approcher pour la recouvrir.Le sexe-femme me seXduisait, me dévisageait, me captivait, me squattait, me prenait à mon propre piège de l'avoir capté, morcelé, rapté. Ce qui, après coup, me parle de ma difficulté de le voir sans le capter, le capter par peur de le perdre, alors même qu'en le captant, je la perds en m'y perdant (dans l'image de son sexe, morcelé forcément, pour pouvoir me le repasser quand elle n'est pas là, quand elle ne sera plus là, l'avoir à voir quand je ne pourrai plus le voir ni l'avoir).Pour oublier la perte, je suis allé me "cuiter", mater du sexe dans un théatre érotique,  chez Chochote, vers St Michel, Paris. Quatre "filles" se succèdent , et de numéro en numéro, collent à tour de rôle les clients, aguichent les chalands, écartent les jambes sur canapé entre deux "veinards".On en prend plein les yeux, ça nettoie, ça console. Ou pas. Quoi je masturbe? Quoi me masturbe?Quand ma  psy me dit "c'est comme si vous étiez en couple avec l'autoérotisme", ça me parle bien.Je visionne des vidéos à caractère pornographique, souvent. Je suis tombé dedans, quand j'étais pubère, innocent, naïf et fragile. Et je me masturbe (me branle dans mon lit, ou me paluche sur écran), très souvent. Dans ma chambre, la pièce principale, celle dans laquelle je désire me sentir bien, être ok et en paix avec moi-même, c'est pas malin.Si j'ai pris conscience de mon automaltraitance et suis en cours de traitement, c'est très long à liquider. Ne pas en finir avec la branlette, l'intrigue sentimentalo-affectivo-sexuelle, c'est saboter d'avance toute possibilité de relation à 2. Et à soi .Cela je suis acculé à  de l'écrire pour ne pas le cacher, non pas, pardon,  comme un mistigri à te refiler, mais pour ne pas jouir de macérer à rester seul avec ça, oui quelque part, c'est trop lourd de le garder pour moi seul, et, oui pour le coup, tant pis de l'effet, je préfère dégouter/faire pitié/me faire plaindre  que de jouir, ça me fait trop mal, de la honte de me faire pitié tout seul.Tableau clinique : jouir d'avoir tort tout seul (d'après un texte de J. Salomé)Il y a une jouissance trouble, très forte à jouir tout seul, à nous faire jouir dans mon coin, à être le seul à jouir en nous imaginant l'un dans l'autre, moi tantôt basculant sur la femme, tantôt basculant dans la femme, (à la place de?). Avoir tort tout seul de se faire du tort tout seul, c'est encore plus parano et jouissif que d'avoir raison tout seul. Cet esseulement à fond, cette misère de plaisir, ce plaisir de me faire minable sans avoir besoin de personne pour me prendre en pitié, cette merde de jouissance, s'il vous plait, ne me laissez pas seul avec, merci, s'il vous plait, de me dire comment m'en distancer.Aidez-moi si possible  à m'aider à être plus homme, à ne pas attendre de la part  d'une/d'un autre ce qui me revient d'agir en propre, à ne pas vous demander de me rendre plus homme à ma place, à être vrai avec et à prendre soin de ce que je porte d' aimable et d'aimant. A me rendre capable par moi-même de me faire estimer de soi.Aidez-moi à être aidable . A apprendre à être enseignable, éducable par les occasions de la vie.  
Bonjour, J'ai l'intuition que, comme tout être humain, je suis à la fois équipé pour sentir intérieurement que le couple, simplement l'aventure, c'est trop dur pour moi, et ça me fait trop de mal. Ras le bol des psy qui nous gavent de besoins affectifs, de résilience. Au feu la sexologie. Et tous les recalés de la résilience, les invendus de l'amour, on en fait quoi, on les parque, on les exile?.. L'attirance vers le sexe opposé et le désir de rapprochement, voire, mais dans une moindre mesure l'exercice de la sexualité, sont inaltérables : la preuve, même les handicapés physiques veulent du sexe, même les trisomiques veulent se mettre en couple. En affectif et en amour, il n'y a pas de COTOREP : est-ce un bien? Je morfle trop à ramer à rencontrer, à ramer à durer en cas de rare rencontre. Toujours je suis largué, toujours ça me coûte une déprime sévère. J'ai 50 ans, je réclame le droit à me retirer définitivement de la vie sentimentale-amoureuse. Comme seul moyen d'être honnête avec moi-même, de reconnaitre que, en "couple", je souffre beaucoup plus que je ne suis heureux. Or, je ne suis pas maso. Pour ne pas finir comme le crevard de service, le loser de service, le gibier de psy. Juste ne pas m'excuser ni me plaindre d'être une personne à affectivité réduite, à amour réduit, à intimité réduite, à sexualité nulle. Il me reste quand même la bouffe, la musique, le sport à la télé, la lecture, je n'ai pas tout perdu. Merci de votre attention. Cordialement.
Je  parle de chez, et vers chez :  les incasables, les cas lourds (les cas soc'?), ceux/celles pour qui l'affection ne fait que frustrer et morfler, les recalés, les invendus de la rencontre, du couple, de la sexualité, personnes à échanges de services affectifs réduits, les imbaisables, non baisants, mal baisés, dont la sexualité ne peut être que compensatoire. Je ne m'en excuse pas, je ne m'en plains pas. Je vis avec, je fais avec, c'est juste ma condition, une injustice juste.C'est merveilleux que des semblables accèdent au couple(s) durable(s),  exercent une sexualité satisfaisante, n'aient même pas à chercher pour rencontrer, se rencontrent et connaissent l'amour. Je n'en ai pas l'heur, tant pis pour moi, j'avais qu'à être plus homme, plus résilient. De celles et ceux qui manquent  au courage quand il en faut, qui ne savent pas s'y prendre, n'ont jamais su, ne sauront jamais, ou s'y mettent trop tard, trop maladroits, démunis, fragiles, de celles et ceux qui ne savent pas se défendre, ni se préserver, ni se débrouiller. Dommages collatéraux, épaves, naufragés, qui meurent jeunes, dont la puanteur du cadavre finit par indisposer le voisinage. Qui se montent le bourrichon tous(es) seul(e)s, qui s'autoproclament des droits sexuels que personne ne serait assez grave pour leur en accorder l'exercice avec. Qui auront passer leur vie à regarder les autres avancer dans la vie, comme des vaches qui regardent passer les trains. Pour qui c'aura été toujours déja foutu, pour qui ça aura toujours fait trop mal, été trop dur. Mon historique masculo-féminin des trente dernières années est réaliste, lui : insatisfaction féminine à 100%, mes mains, mes bouche, langue, bite sont imprescriptiblement malhabiles et frustratrices.Elles approchent mal, séduisent mal, s'expriment mal,  passent mal, se débrouillent mal, elles n'auraient pas dû; bien elles auraient dû.  Sentent mal, touchent mal, caressent mal, excitent mal, stimulent mal ( le point ou l'angle ou la pression ou le mouvement ou la vitesse conviennent mal), turgescent mal, elles n'auraient pas dû; bien elles auraient dû. Elles entrent mal, glissent mal, pénétrent mal, translatent mal, elles n'auraient pas dû; bien elles auraient dû. Elles font mal, font du mal, se font mal, se font du mal, elles n'auraient pas dû; bien et du bien elles auraient dû.Qui veut de ça? Qui veut se taper ça, se coltiner ça, sortir avec ça?  Personne, des folles, des galériennes, des cas soc'.N'avoir été doté de fonctionnalités, en principe au départ en ordre de marche, que pour s'en servir mal. Pourquoi sur moi? C'est abuser, non?Cordialement.
Tout ME devient un flingue:  la nudité féminine est un flingue, la bouche et les yeux sont des canons, le giron, la crosse, les tétons le viseur.L'attirance, le mal d'amour, le manque d'amour et le manque à l'amour sont des flingues.Une femme qui se dénude, c'est comme si elle me braque son flingue. Elles sont quelquefois des tueuses de masses, lâchées en liberté.Certains coeurs de certaines femmes sont des charniers, lourd des cadavres de mecs largués, jamais remis à déterrer.Je dois passer mon permis de port d'armes, je dois m'entraîner dans un centre de tir, pour pouvoir me défendre, exercer ma légitime défense, en cas d'agression imminente. La solitude est un flingue, les egregores des groupes,réunions, forums, discussions sont des flingues, des mines antipersonnel, des pièges, des leurres.Ce n'est peut-être pas la porno qui est virtuelle, mais la réalité, les événements, les situations qui sont pornotransformables, l'Histoire, l'Humanité  qui serait en état avancé, voire en phase terminale de pornographisation..L'enfance est un flingue, l'instinct maternel l'arme absolue. La peur, la honte, des flingues, à s'appliquer sur le plexus.  Bon rétablissement. 
Le panneau à éviter, en cas de petit vécu, de peu d'expérience donc de décalage d'expérience, c'est de se monter la tête.J'ai un petit vécu, mais je suis à ma place, j'accepte de ne pouvoir donner plus que ce que je peux. 
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