16-12-2007, 18:48
Hello,
Mon histoire est similaire à celle de beaucoup d'entre vous; je ne m'en réjouis pas, mais cela facilite le fait d'en parler.
Je suis marié, avec un super bon job dans l'informatique, une famille aimante et que j'aime, tout pour être heureux, me direz-vous ! et bien je le pense aussi, mais ce n'est pas assez suffisant.
Un besoin de sensation fortes principalement axé sur le fantasme et la pornographie me poursuit et me pourrit la vie.
Alors, l'inconnu des chats à rencontres, des sites d'annonces libertines, les videos en tous genres de plus en plus trash, m'ont fourni en sensations fortes et en plaisirs masturbatoires.
Même avant Internet, mes besoins de jouissances par la masturbation devaient etre assouvis réglièrement, parfois plusieurs fois par heure, mais depuis 1995, date de mes 1ères connexions sur la toile, j'ai tout eu à disposition comme pornographie possible. Cela a décuplé mes envies.
Je pense que je dois remonter à mes 11-12 ans pour me souvenir d'histoires de masturbations qui rendaient folle et impuissante ma belle-mère de l'époque, je m'étais déjà fait surprendre. Je me souviens du pédiatre, lors d'une visite qui me demandait si je me masturbais souvent, car en fait, je me rongeais les ongles depuis la mort de ma mère à mes 11 ans.
Le pédiatre disait que si on se rongeait les ongles, on se masturbait souvent, voire plusieurs fois par jour. Cela m'a marqué et je m'en souviens toujours et y repense fréquemment, en me disant qu'il avait raison.
Voilà la réponse, allez-vous vous dire; eh bien peut-être que vos avez raison; mais même après 10 ans de psychothérapie, je n'ai jamais abordé ce sujet avec mon psychiatre.
Le quotidien qui est de trouver le moindre moment pour être connecté et assez isolé pour chatter "hot" ou regarder des videos pornos, vous le connaissez bien; comme le fait de perdre la notion du temps, comme drogué lor de longues séances de masturbation, seul(e) ou à plusieurs, virtuellement.
Tout ceci, et cette impression d'être dégueulasse après chaque session sexuelle, et l'impression de manquer d'honnéteté me fatiguent et me font perdre mes nerfs.
Voilà pourquoi je me suis inscrit ici, je vous en raconterai d'autres détails avec plaisir lors d'échanges, dont je me réjouis.
A bientôt,
Ralph
Mon histoire est similaire à celle de beaucoup d'entre vous; je ne m'en réjouis pas, mais cela facilite le fait d'en parler.
Je suis marié, avec un super bon job dans l'informatique, une famille aimante et que j'aime, tout pour être heureux, me direz-vous ! et bien je le pense aussi, mais ce n'est pas assez suffisant.
Un besoin de sensation fortes principalement axé sur le fantasme et la pornographie me poursuit et me pourrit la vie.
Alors, l'inconnu des chats à rencontres, des sites d'annonces libertines, les videos en tous genres de plus en plus trash, m'ont fourni en sensations fortes et en plaisirs masturbatoires.
Même avant Internet, mes besoins de jouissances par la masturbation devaient etre assouvis réglièrement, parfois plusieurs fois par heure, mais depuis 1995, date de mes 1ères connexions sur la toile, j'ai tout eu à disposition comme pornographie possible. Cela a décuplé mes envies.
Je pense que je dois remonter à mes 11-12 ans pour me souvenir d'histoires de masturbations qui rendaient folle et impuissante ma belle-mère de l'époque, je m'étais déjà fait surprendre. Je me souviens du pédiatre, lors d'une visite qui me demandait si je me masturbais souvent, car en fait, je me rongeais les ongles depuis la mort de ma mère à mes 11 ans.
Le pédiatre disait que si on se rongeait les ongles, on se masturbait souvent, voire plusieurs fois par jour. Cela m'a marqué et je m'en souviens toujours et y repense fréquemment, en me disant qu'il avait raison.
Voilà la réponse, allez-vous vous dire; eh bien peut-être que vos avez raison; mais même après 10 ans de psychothérapie, je n'ai jamais abordé ce sujet avec mon psychiatre.
Le quotidien qui est de trouver le moindre moment pour être connecté et assez isolé pour chatter "hot" ou regarder des videos pornos, vous le connaissez bien; comme le fait de perdre la notion du temps, comme drogué lor de longues séances de masturbation, seul(e) ou à plusieurs, virtuellement.
Tout ceci, et cette impression d'être dégueulasse après chaque session sexuelle, et l'impression de manquer d'honnéteté me fatiguent et me font perdre mes nerfs.
Voilà pourquoi je me suis inscrit ici, je vous en raconterai d'autres détails avec plaisir lors d'échanges, dont je me réjouis.
A bientôt,
Ralph