Dépendance sexuelle

Quand tu dis de laisser mes pensé défiler, tu veux dire toutes mes pensées ? ou bien uniquement celle qui on un rapport avec ma reflexion ?Mais je t'avou que je n'y ai jamai pensé . En tout ca la nuit à été rude mai je m'en suis sorti indemne..Pourai tu quand meme préciser ce que tu à essayer de me dire stp  MILOU ?Merci et bonne journé, il fait beau aujourd'hui ca va surement m'aider.[img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil43aa266624ebf.gif"[/img]

bon moi je suis ancien jè une francais kasi ok bon apropo de sovrage si dur les premeir moins mi antonsionn conne tu ruchute si 1000fois dur que tunire  conn tu prond une douche soiyi rapide pk moi jè richutè danns la douch les 15 jeur de debu bon jè 1ans mtn qeu jè areter mi vriment la belle vie une otre mode de vie è voila bon chonse a tt è soiyi un homme de prensipe ??

moi je suis assez d'accord avec milou75, il n y a pas de recette magique, chaque individu est unique par son histoire, par son entrée dans l'addiction, par ses rapport à l'addiciont, par son environnement et j'en passe...Bien sur on pourrait tirer une ligne de fond, mais à quoi bon , cela demanderai de nouvelles ressources d'énergie dans le but de voir ces objectif se profiler alors qu'ils viennent tout seuls.Orroz, donne un petit descriptif du sevrage, et personnellement je ne m'y retrouve pas forcément, laisse aller ta pensé affronte tes démons, ta vie psychique, écoute là, et fait lui confiance!!allez à plus les gas!! 

Merci pour toute vos réponse et pour repondre a viartx oui je suis un homme de principe avec (sa peu paraitre bizard) beaucoup de valeur...

Je m'accroche et comme je le pensai le soleil me fait du bien..

C'est bizarre j'ai semble t il abordé un tournant dans mon sevrage. Même si j'y pense encore un peu je ressens un profond dégout pour mes relations avec les prostituées et toute mon ancienne vie. Pourvu que cela dure!

  Pourquoi je laisse filer mes pensées ?

 

J'ai encore bien du mal à vraiment comprendre moi même ce que je dis, c'est plus une ébauche de reflexion qu'autre chose.

 

Je suis à peut pres persuadé que l'arrêt de la MB ne peut pas être obtenu par ma volonté, à chaque fois que j'ai lutté avec fougue, résolution, volonté j'ai tôt ou tard chuté.

 

La compulsion commence par une pensée ou plutôt par une émotion.

 

Mon cerveau est conditionné pour réagir par une peur abominable à cette émotion, peur qui trouve un soulagement temporaire dans mon activité addictive.

 

Il se trouve que c'est la cyberdépendance mais cela aurait tout aussi bien pu être autre  chose. (Alcool, jeu, cigarette,boulimie et que sais je encore).

 

Finalement la forme de mon addiction n'a pas d'importance, je suis même persuadé que si par un coup de baguette magique je me débarassai de ma cyberdépendance presque aussitôt cela serait remplacé par une autre addiction.

 

Ce comportement est incrit, gravé dans  mon inconscient.

 

Les seuls messages que je peux recevoir de cet inconscient passent par la pensée, par mes émotions.

 

Voilà pourquoi je suis attentif à mes pensées. Je surveille mes émotions et je cherche à comprendre le schéma éronné qui oblige mon cerveau à toujours et toujours avoir recours à mon comportement addictif pour  sur-vivre.

 

Bien sur il me semble que l'idéal serait de remonter aux sources du problème ayant conditionné mon cerveau à réagir ainsi.

 

Je suis une psychotérapie depuis des années sans jamais avoir aborder le problème de la dépendance sexuelle, c'est fort hein !

 

Mon psy, à mon avis fort compétent à tant bien que mal réussi à me maintenir d'équerre.

 

J'ai même été plusieurs années sans le revoir.

Il y a un mois profitant du fait que j'étais malade physiquement  (moindre résistance) lors d'un rendez vous  il à tenté une séance d'hypnose.

 

A ma grande surprise, au bout de quelques minutes j'ai eu une réaction physique de mon ventre et bas ventre  (tremblements) absolument incontrolable qui à entrainé pour la première fois une crise de larme à son cabinet.

 

Cette crise à, semble t-il débloqué  la situation.

 

J'ai commencé, seul à retrouver cet état de semi-conscience, de relaxation et je me projete dans mon enfance.

 

Je commence à remonter des choses, à enlever des couches ........

 

Voilà pourquoi je suis attentif à mes pensées, je les laisse me guider me servir de signal d'alarme.

 

Pour l'instant je suis juste aux portes d'un monde inconnu, je ne prétends pas bien sur avoir la solution, mais peut-être un début de solution.

 

Encore une fois la MB est pour moi devenue secondaire, je veux vivre et si demain, comme c'est probable je rechute et bien tant pis cela ne m'empéchera pas de continuer à observer mes pensées et mes émotions pour vivre.

 

J'espère que ce long monologue aura pu t-être utile, il m'à en tout cas aider à un peut faire le point.

 

J'avance en enlevant une couche après l'autre et je vis.

Milou ton cheminement de pensé est logique en faite et continue dans cette direction, tu t'analyse normal, et à mon avis tu va trouver les origine du mal.Etonnant de ne pas avoir fait de fuite avec ton psy par rapport à ta dépendance, moi j ai mis plusieurs séances mais à un moment j ai tout laché!! et ouf!!! ça fait du bien!!Maintenant, mon psy m'a un jour posé la question à ton avis pourquoi d'être détourné vers cette addiction plutôt qu'une autre?? je te renvoie la question car elle me semble intéressante.

Bonne continuation Milou

Non, non je n'ai jamais parler de ma dépendance sexuelle à mon psy. Il faut dire, que je pensais et pense toujours que ce n'est qu'un symptôme de mon mal-être.Je m'occupais d'autre chose et la MB ne me génait pas plus que ca par rapport à l'état de malaise généralisé qui était le mien durant des années.J'ai réglé une bonne partie du problème mais la MB est toujours là et à tendance à prendre de plus en plus de place.Lors de la prochaine consultation (fin mai) j'aborderai le théme de la dépendance sexuelle, mais j'envisage surtout un recours à l'hypnose.Quant à la question de savoir pourquoi j'ai "choisi" la MB comme addiction il me vient spontanément la réponse suivante : mon recours à la MB remonte à l'age de 8 / 9 ans, il me semble que le moyen le plus simple pour un petit garçon est de jouer avec son sexe.Il est peut probable qu'une addiction à l'alcool, au tabac ou au jeu est pu passé innaperçu à l'époque.Donc c'était le plus simple ! Mais pour le coup je simplifie peut-être trop, je vais y réfléchir demain.