Homme et femme n'ont pas le même fonctionnements je pense sur c'est une maladie moi je me recentre que sur moi.il y a beau coup d'égocentrisme dans tout dépendance mais si tu sens qu'il ne veut pas accepter qu'il est malade alors il faut te préserver et faire le choix qui s'impose Il y a des groupes dansa dans le monde entier.
cela fait cliché mais c'est vraiment Dr Jekyll et Mr Hydeou il reconnait qu'il a un problème ou pasou il reconnait ta souffrance ou pasou tu reconnait que c'est une maladie ou pas ( après beaucoup de documentation je ne juge plus mais je suis toujours très en colère et il me juge aggressive ( alors que je me trouve plutot mesurée)il m'a jugée légitime dans mes revendications mais trop rentre-dedansla mesure est difficile à prendreavec le temps il y a des choses que j'aurais trouvées inacceptables il y a quelques mois le temps aide mais les phases YOYO sont toujours là
Je m'en rends compte en effet... J'ai des périodes d'abattement où je me dis que non, il n'est pas juste 'comme les autres ' (la desillusion de base dans l'infidélité), mais qu'il est pire que les autres...D'autres où je 'crois' en sa dépendance, absence de libre arbitre et j'accepte ses sentiments envers moi...Ce n'est pas vivable au jour le jour, nous avons une famille dont je n'ai même plus envie de m'occuper, les vacances qui arrivent avec l'impossibilité de partager avec qui que ce soit... Des idées noires... L'impossibilité de voir le moindre espoir: vivre en acceptant mais je n'arrive pas à me détacher du passé et de la trahison, baisser les bras, abandonner, mais je n'ai envie de rien d'autre, m'éloigner ne fera pas disparaitre ce pan de ma vie pour autant... L'impression que les enfants trinquent déjà car ils subissent la situation sans la connaitre bien sur...J'en ai tellement assez...
il ne faut pas ressasser en boucleil te faut t'aérer l'espritpendant des mois je n'ai pensé qu'à cela, je n'arrivais plus à travailler, je perdais ma voix à force de crier dans la voiture, je pleurais en permanence ( mais notre relation était à distance, cela ne se voyait pas) je croyais qu'il m'avait menti depuis le début, sur tout, qu'il n'avait jamais eu de sentiments, qu'il m'avait utilisée (professionnellement et financièrement) et la colère est venueje le laisse se dépétrer des problèmes qu'il a lui même créés ( double vie déjà compliquée, imagine une triple au moins....) et je m'occupes de MES problèmes. Il a toujours pu compter sur moi, en fait j'ai très peu pu compter sur lui, donc je m'habitues à vivre sans luion y arrive, chaque pas est une victoire, douloureuse mais une victoire quand même
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bonsoir perduemon histoire est un peu différente de la tienne car moi je ne vis pas avec lui, on se voit le plus souvent tous les 15 jours et pendant les vacances et je n'ai pas d'enfants avec lui, mais bon le résultat est le meme, destruction, manque de confiance, remise en question de soi en permancence, notre histoire dure depuis 8 ans et 8 ans de mensonges et de tromperie, j'ai toujours pardonné enfin plutôt ravaler ma fierté ce qui m'étonne car dans ma vie professionnelle ou autre j'ai du tempérament et me laisse pas faire mais bon avec lui je pardonne, car à part ce côté de salaup il est génial....mais l'année derniére il a dépassé les limites de l'acceptation ( il les avait surement dépassé depuis longtemps mais je n'étais pas au courant quoique qu'il m ' a fait des coups pas piqués de vers .....), pendant nos vacances alors que j'étais présente il a eu une aventure avec une nana, une nana avec qui j'avais beaucoup sympatisée moi qui est beaucoup de mal à me faire des amies enfin bref là quand je l'ai appris (sans chercher en plus) je me suis sentie trahie 2 fois ... la douleur que cela m'a procuré je ne peux la définir, j'ai perdu 10 kilos en 2 mois, j'étais anéantie, mais là je lui ai donné encore une derniére chance..... 15 jours aprés une de ses collégues m'envoie un message sur facebook en me faisant un copié collé du message de mon mec qui lui proposé de s'envoyer en l'air..... là je me suis dis stopppp ça peut plus durer et je lui ai donné un ultimatum soit il faisait une thérapie soit nous 2 c'était fini pour de bon, il était dans un état .. il a pleuré m'a demandé pardon etc .... il a choisit la thérapie..... m'a dit je t'aime alors qu'il ne me l'avait jamais dit en 8 ans, bref je me suis dit enfin...il a fait cette thérapie de décembre à juin la psy lui a dit de faire un break car il était en phase de dépression, depuis je n'ose plus lui parler de rien et ne pose plus de question...et c''est moi qui fait la thérapie (avec la meme psy) car je veux comprendre pourquoi je reste car comme toi je ne sais plus si je l'aime ou pas mais la pensée de le perdre me met dans un état pitoyable.....voilà ou j'en suis c'est pas terrible à 50 ans heing !!!mais je veux me sortir de là et ne plus m'occuper de sa vie si il s'en sort tant mieux sinon tant pis, mais il ne m'emmera plus dans sa chute....
il faut se reconstruireensuite seulement tu peux décider si cela vaut le coup de rester ou pas
je prépare mon départpour le boulot je vais rester mais sur le reste il m'a encore menti sur des analyses médicales qu'il devait faireau mieux il veut faire un bébé avec l'autre, au pire ils ont partagés des microbesj'ai fait les analyses pour moi, je lui mettrais les résultats sous le nezquel manque de courage et de respecttout à l'heure il écoutait devant moi des chansons d'un concert qu'il a fait avec l'autre....je sais qu'il est perdu et hyper sensible mais je vois les attentions pour les autres et le peu pour moiil m'explique que cela prend du temps de répondre à tout le monde ( par mail) si cela continue même le boulot aura été sabordéquel gachiset le problème ne vient toujours que de mon attitude ma patience et ma voix ont des limites