Dépendance sexuelle

Version complète : blocage sexuel
Vous consultez actuellement la version basse qualité d'un document. Voir la version complète avec le bon formatage.
Pages : 1 2
 bonjour, je tenais à vous donner la suite de notre histoire.j'ai fini par avoir des mycoses très souvent.lui s'est soigné une fois sérieusement.Mon corps a fini par se bloquer d'après ce que les thérapeutes m'ont dit.car à la pénétration, j'ai eu des douleurs.en fait une fois j'ai voulu mettre un gel intime, pensant que j'avais un problème de sécheresse intime, puis celà m'a amené aux urgences le lendemain, c'était horrible la douleur. j'avais pas d'infection dans les urines, mais tout le vagin en feu. sensation horrible. je ne sais pas si celà est due à une mycose ou bien au fait que n'ayant pas envie mon corps ne s'est pas ouvert normalement, et ainsi il a réagit comme si celà avait été un viol. Depuis on fait des fellations avec preservatif.mais ayant vu une sexologue, je sais qu'il nous faut faire une therapie ensembles.il ne veut pas, car il dit que c'est moi qui ait un soucis et pas lui, que pour lui ça va, que je n'ai cas me soigner. Recemment il me dit qu'il doit aller faire un chantier sur perpignan, car personne ne veut le faire, mais il me dit qu'il rentrera le soir, là je commence à paniquer....d'après les thérapeutes mon corps ne veut plus de son sexe à l'interieur de moi, et il nous faut travailler ensembles pour que celà revienne à la normale. La fréquence des fellatlions, c'est 2 jours sans.que pensez vous de ma situation ?merci d'avance
Il est important que vous consultiez ensemble comme tu dis. Tu peux peut être lui dire c'est pour toi et que tu voudrais bien qu'il t'accompagne. Si tu fais un blocage, il faut peut être repartir du début. Réapprendre à se connaitre petit à petit pour que la confiance puisse revenir. De se fixer par exemple simplement des caresses au début, de la tendresse sans penser d'aller jusqu'au bout de l'acte. Ca va peut être te détendre et petit à petit de nouveau avoir envie de lui.
 Le soucis est qu'il dit que c'est moi qui suis malade et que je dois me soigner. Lui il va bien. il a ce qu'il veut d'un côté, donc il est pas en manque.  Pour moi il est important qu'il participe, mais il n'en voit pas l'interet. je lui ai dit qu'il fallait qu'il vienne pour aider la sexologue à me soigner, mais rien n'y fait.Oui je pense que reprendre tout depuis le début est une bonne idée, mais là, sachant qu'il n'a pas envie de m'aider, je n'ai plus de désir. Je vais lui fixer un dernier ultimatum et si celà ne donne rien, j'aurai tout essayé.[img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4d75edb5e.gif"[/img]
Oui comme tu dis tu aura tout essayé. Si après lui ne veut pas faire d'effort pour que ça aille mieux, ça sera à toi de voir pour prendre une décision. Tu ne pourra pas t'en sortir toute seule, il faut qu'il le comprenne.  
 si il ne veut pas comprendre je serai obligée de le quitter, et celà sera très dur, car je l'aime, mais je ne peux pas continuer à vivre avec quelqu'un qui ne pense qu'à lui, et qui sans le vouloir me fait beaucoup souffrir.
r'garde jade la.. je vais t'amener un autre coté de la medaille.. une vision extérieur..pas compliquer ma chere le comment du pourquoi il ne veut pas participer, s'engager, s'investir.. il est dedans et tres enfoncé.. dans le déni qui va jusqu'a te culpabiliser toi..mais y'a pas que toi dans cette histoire merde!cé problemes a lui ont amener des problemes de couples, et des problemes pour toi..c'est ben simple chere madame, monsieur ne veut surtout pas s'impliquer pcque ca le coincerais dans tout cé mensonges et le metterait face a lui-meme.. et tout dépendant va tout faire pour éviter ca..je connais le pattern par coeur.. j'ai fait pareil.. arrete de penser a lui et pense a toi bordel.. tu en es rendu a en etre malade physiquement.. CÉ T'ASSEZ!!quand on en est rendu la, les bonnes questions a ce poser c'est pourquoi j,endure d'etre traiter ainsi et surtout, pourquoi je me traite ainsi..il va étirer l'élastique jusqu'a ce qu'il pete.. et l'élastique... cé toi.. mon copain est un ex toxicoman.. t'en qu'on ce frequentait, ca pouvait aller, quand il a été question de rester ensemble, j'ai dit, cé la drogue ou moi.. il a étiré l'élastique, j,ai pas attendu d'etre étiré au max.. au bout de 2 mois j'ai re-dit cé la drogue ou moi.. il a fait son choix.. il ne consomme plus depuis, mais, arreter est une chose, regler le probleme de fond en est une autre.. comme il n'a pas regler les problemes de fond, ca amenait des frictions, et des problemes.. je n'ai pas attendu.. la frustration a commencé a monter, je lui ai dis, tu vas voir quelqu,un, tu regles té choses ou tu t'en va.. il a été voir quelqu'un.. mais ce quelqu'un n'a pas la spécialité des dependance.. il lui a été d'une précieuse aide quand meme, ne serait-ce pour lui donner des infos et aussi de parler de cé problemes avec quelqu,un, mais il avait cé limite, un psy était de mise.. il hésitait, hésitait, étirait.. mon taux de tolerence est 2 mois faut croire pcque encore apres 2 mois de branlage dans le manche je lui ai dit, compte tu faire quelques chose? oui? ok.. ben tu as jusqu'a la fin du mois..bang! ca lui donnait une 10ene de jours...il ne le regrete pas, depuis, il va de mieux en mieux, et notre couple aussi :)mais bon..  y'a aussi qu'il le sait que si il ne fait pas ce qu'il a a faire, les boites et les sacs vont etre sorti pour qu'il emballe cé affaires et s'en alle.. l'ultimatum et s'y tenir, et surtout, ne pas sombrer..  
J'ai changé de comportement grace à vos conseil et les conseils de mes deux amis.je me suis détachée de lui, et plus de gaterie. il me demandait rien. Depuis lundi je suis très distante avec lui. Il faisait comme si il ne comprenait pas. L'autre jour il me dit, ben puisque tu fais la gueule, je mangerai pas avec toi, et moi j'ai dit, ben ok, façon je serai pas là non plus. et là un ami prévois qu'on se voit, car je vais très mal.je mange avec mon ami qui est comme mon frère. Et hier soir, mon homme me dit, où étais tu ? je lui réponds la vérité, et là je vois qu'il est contrarié très contrarié. Ils se connaissent tous les deux car c'est mon meilleur amis, et que celà fait longtemps que l'on se connait. mon ami a toujours été là pour moi dans les moments difficiles. Et là mon homme était ennervé, impossible de dormir. en fait il m'a dit qu'il  ne supportait pas que j'aille passer l'après midi avec un autre homme qu'il  n'avait pas confiance.et je lui ai dit qu'il n'avait pas de raison d'être inquiet. Et là ce matin on a enfin discuter, et il m'a dit que si je voulais, il viendrait voir la sexologue avec moi samedi. j'étais très surprise [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4d6422f04.gif"[/img] je n'en croyais pas mes oreilles.il me l'a redit avant de partir au boulot, maintenant je ne sais pas ce qu'il dira à ma sexologue, restera t il braqué ? je ne sais pas, on verra. j'espère qu'il ne changera pas d'avis.c'est dingue, mais j'attendais quelques jours et je me préparai à partir de chez moi, et là c'est comme si il avait senti quelque chose.donc je reprends espoir, mais bon j'attends de voir pour le croire, car faudrait pas qu'il recule....
dans tout ca n'oublie jamais une chose...un dependant va étirer l'élastique t,en qu'il le pourra..donc, ne saute pas de joie..mondom sur le site ici avait un expression.. jusque la tout va bien.. attitude typique du dependant.. si je vais jusque la, la paix va revenir comme avant.. donc, reste sur tes positions.. ne baisse pas la garde..et conseil de dependante-co-dependante.. informe toi sur la dépendance affective.. tu en est atteins comme nous tous ;-)la consultation de couple selon moi n'est pas la premiere chose a faire, mais bon, s'il veut bien y aller, cé un debut..moi je consulte de mon coté seule.. et ma psy, qui me connais bien m'a un jour expliqué que de consulter en couple ne serait pas la solution premiere a faire.. mais que si c'est la seule maniere que mon copain accepte de consulter d'y aller pcque apres un suivit en couple, le psy amenerait l'autre a se cerner et a aller consulter pour lui-meme..donc, finalement, mon copain va consulter seul, pour lui-meme.. je consulte aussi seule.. et la, il comprend qu'il a son bout de chemin a faire seul avant tout..  et que apres quelques temps, si on en ressent le besoin, la on pourra consulter en couple.. en tk, bonne chance a toi.. et tiens ton bout aussi, non encore plus fort que lui tient le sien ;-) 
Hello Jade34,Nuage est très expétimentée, avec beaucoup de recul et de maturité pour se comprendre et comprendre Jade34. Chaque cas en couple est différent mais le type de soufrance et la manière de souffirir du co-dépendant est pareil quasiment pour tous les co-dép. L'élastique qu'on étire jusqu'à la limite pour mieux le retendre une fois qu'il(elle) a lâché du lest en est une parfaite illustration et l'élasitque c'est le co-dép, très vrai.Une remarque peut-être : si tu commences à symptômiser de la sorte alors il faut absolument que tu t'en sortes et que tu te protèges, c'est relativement grave ce qui t'arrive et j'espère que tu en es consciente. Ton corps somatise, il te dit qu'il en peut plus, c'est du sérieux. Sans vouloir être alarmiste...Esemple : j'ai failli y laisser ma peau, c'est quand je me suis retrouvé face à la mort, sur un lit d'hôpital, que j'ai remonté la pente, j'ai eu un regain d'envie de vivre. Sinon je crois qu'avant je ne voulais plus. Il a fallu que je sois au bout du rouleau pour renaître. Et celà après cinq ans de séparation définitive avec mon ex épouse qui était adict et compulsive. J'ai mis cinq ans à m'en remettre donc ne pas prendre à la légère les dégât que celà peut avoir sur toi. Il y a un aspect chez l'addict sexuel dont on ne parle pas souvent, je veux parler de la perversion. Le dépendant (en conscience ou sans le vouloir) fait souvent preuve de perversion; ta souffrance n'est pas prise prise en compte, seul compte son accès à sa dope cotidienne. Dans cette pathologie le partenaire du dépendant est sacrifié sur l'autel du fruit de l'addiction : le passage à l'acte avec partenaires, le porno, les sex toys, la chasse sur Internet...la dope! Le dépendant en souffre terriblement. Sa souffrance il l'aime pas, il la sent passer et il en bave. Ta souffrance? c'est secondaire, moi j'ai l'impression que ma partenaire ne voyait que son martyr et se foutait bien de ce qu'elle me faisait endurer. Le pervers sent le mal pour lui-même mais il est bien incapable de s'imaginer la souffrance qu'il inflige à l'autre. Je suis d'accord, il faut qu'on se penche un peu sur le côté dépendance affective dont souffre à mon avis de nombreux co-dèp mais pas tous. Des fois on tombe des nues après la découverte de la vie scabreuse que mène notre partenaire compulsif à notre insu. Dans mon cas je ne supporte tout simplement pas du tout de subir ce problème, la limite arrive vite car j'ai des besoins affectifs normaux. Mais, oui, c'est vrai, on les aime nos partenaires et le piège c'est qu'on croit (surtout au début) qu'on peut, qu'on doit les aider car ils font naître en nous des sentiments de compassion et puis il faut du temps pour maîtriser les paramètres complexes de l'addiction sexuelle. Une fois assimilés, il faut être ferme et ne pas hésiter à se sauver (mettre des limites, séparation, ultimatum etc.) surtout si l'élastique s'étire jusqu'en enfer avant de se déchirer. Et c'est là qu'on voit si on s'aime ou si on est dépendant affectif, auquel cas on va rester au risque de se détruire...c'est toujours à nos dépens que celà se passe. S'aimer c'est se protéger, nul n'est en devoir de supporter les terribles souffrances d'un partenaire addict qui ne fait rien pour s'en sortir. 
Hello Jade34,Nuage est très expétimentée, avec beaucoup de recul et de maturité pour se comprendre et comprendre Jade34. Chaque cas en couple est différent mais le type de soufrance et la manière de souffirir du co-dépendant est pareil quasiment pour tous les co-dép. L'élastique qu'on étire jusqu'à la limite pour mieux le retendre une fois qu'il(elle) a lâché du lest en est une parfaite illustration et l'élasitque c'est le co-dép, très vrai.Une remarque peut-être : si tu commences à symptômiser de la sorte alors il faut absolument que tu t'en sortes et que tu te protèges, c'est relativement grave ce qui t'arrive et j'espère que tu en es consciente. Ton corps somatise, il te dit qu'il en peut plus, c'est du sérieux. Sans vouloir être alarmiste...Esemple : j'ai failli y laisser ma peau, c'est quand je me suis retrouvé face à la mort, sur un lit d'hôpital, que j'ai remonté la pente, j'ai eu un regain d'envie de vivre. Sinon je crois qu'avant je ne voulais plus. Il a fallu que je sois au bout du rouleau pour renaître. Et celà après cinq ans de séparation définitive avec mon ex épouse qui était adict et compulsive. J'ai mis cinq ans à m'en remettre donc ne pas prendre à la légère les dégât que celà peut avoir sur toi. Il y a un aspect chez l'addict sexuel dont on ne parle pas souvent, je veux parler de la perversion. Le dépendant (en conscience ou sans le vouloir) fait souvent preuve de perversion; ta souffrance n'est pas prise prise en compte, seul compte son accès à sa dope cotidienne. Dans cette pathologie le partenaire du dépendant est sacrifié sur l'autel du fruit de l'addiction : le passage à l'acte avec partenaires, le porno, les sex toys, la chasse sur Internet...la dope! Le dépendant en souffre terriblement. Sa souffrance il l'aime pas, il la sent passer et il en bave. Ta souffrance? c'est secondaire, moi j'ai l'impression que ma partenaire ne voyait que son martyr et se foutait bien de ce qu'elle me faisait endurer. Le pervers sent le mal pour lui-même mais il est bien incapable de s'imaginer la souffrance qu'il inflige à l'autre. Je suis d'accord, il faut qu'on se penche un peu sur le côté dépendance affective dont souffre à mon avis de nombreux co-dèp mais pas tous. Des fois on tombe des nues après la découverte de la vie scabreuse que mène notre partenaire compulsif à notre insu. Dans mon cas je ne supporte tout simplement pas du tout de subir ce problème, la limite arrive vite car j'ai des besoins affectifs normaux. Mais, oui, c'est vrai, on les aime nos partenaires et le piège c'est qu'on croit (surtout au début) qu'on peut, qu'on doit les aider car ils font naître en nous des sentiments de compassion et puis il faut du temps pour maîtriser les paramètres complexes de l'addiction sexuelle. Une fois assimilés, il faut être ferme et ne pas hésiter à se sauver (mettre des limites, séparation, ultimatum etc.) surtout si l'élastique s'étire jusqu'en enfer avant de se déchirer. Et c'est là qu'on voit si on s'aime ou si on est dépendant affectif, auquel cas on va rester au risque de se détruire...c'est toujours à nos dépens que celà se passe. S'aimer c'est se protéger, nul n'est en devoir de supporter les terribles souffrances d'un partenaire addict qui ne fait rien pour s'en sortir. 
Pages : 1 2
URLs de référence