Léa, je crois que nous sommes à peu près tout à fait d'accord... Quand il te fait l'amour avec son âme, c'est merveilleux. Le but de la guérison n'est pas de retrouver une sexualité merveilleuse mais de retrouver la façon de faire l'amour avec son âme. Le sexe merveilleux en découle, ce n'est pas la point de départ ou la foin en soi, parce qu'avant de faire l'amour les âmes communient d'une façon formidable, et ce n'est pas simplement dans le sexe que cela se sublime, le sexe en est une expression mais ce n'est pas la finalité de la vie, de la relation... C'est ça que je dis.
Ici l'on discute, on échange, on ne se juge pas plus qu'on ne se critique. Que cela reste inchangé...
Slave > les derniers messages de Julufu, non merci
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!!!Lia > effectivement, il faut que tout vienne d'eux, je suis d'accord. Et donc pour nous, il est inutile de nous changer en femme-flic ou en femme-infirmière ou tout ce qu'on n'est pas d'habitude pour faire pression . Mais je suis d'accord avec Léa, ce n'est pas parce qu'il y a ce problème qu'on va jeter à la poubelle tout ce qui nous lie. Et la chose constructive qu'on peut faire, c' est, il me semble, rester nous-mêmes autant que possible. Autant que possible j'ai dit...Léa > Je pense que nous sommes à peu près sur la même longueur d'onde et c'est vrai que ça fait du bien ! Je suis d'accord avec ton analyse sur les différentes catégories d'hommes...Mais je me suis souvent posé la question des limites : jusqu'où sont-ils capables d'aller avec les années ?
je suis d'accord aussi Sarriette.. positiver et rester nous-mêmes.. mais on le sait la tâche est ardue.. Ce n'est pas simple.. cela ne remet pas en question nos sentiements, ni les leurs.. et tout ce que l'on a pu construire..Je crois qu'avec les années, cela ne s'arrange pas s'il n'y a pas de suivi et de volonté de s'en sortir.. je crois que les limites sont a chaque fois repoussées et que cela escalade.. ce n'est que mon avis encore une fois.. Dans cette spirale ils sont perdus et rien n'existe !! Mon mari me l'a dit plusieurs fois.. Rien n'existe ni moi ni ses filles.. ni même lui je dirais.. ma psy m'a dit que pour toutes les dépendances, même la pulsion de vie était niée.. c'est dire..
Mon mari me l'a dit plusieurs fois.. Rien n'existe ni moi ni ses filles.. ni même lui je dirais.. ma psy m'a dit que pour toutes les dépendances, même la pulsion de vie était niée.. c'est dire.. dieu que c'est vrai ca [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4e02c5440.gif"[/img]pis c'est comme ca avec n'importe quel addiction re [img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil3dbd4e02c5440.gif"[/img]quand, depuis quelques années, tu bois de l'alcool tout les jours, tu te fout de la cocaine dans le nez, tu mange mal, tu dors mal, le corps ne suis plus.. de plus en plus mal dans sa peau, on écoute pas le mal, on le ni, on le clive.. et le seul moyen de l'oublier, c'est par le mal, on change le mal de place, mais pas en mieux..on a un mal de chien aux sinus, une partie de la tete a envie d'exploser, on ce mouche a tour de bras, on a le nez fendu et en sang.. notre systeme afaibli par la drogue, l'alcool, la mal-bouffe et le sommeil non réparateur fait des free game et empire notre mal, et on-ni-on-clive-on-prend-un-break, quel break?!?!? on ce pitch sur le cyber... des heures et des heures de playstation, wii, xbox, jeux, internet.. les yeux nous sorte de la tete, notre tete devient comme un terrain de football, on c'est coupé en devenant un etre virtuel gavé de batailles, de sang, de tuerie, de bassesses et de cul.. on devient un autre, froid, impersonnel, distant, on enterre la solution qui serait de prendre les moyens pour aller bien par une solution vide.. pis on a aussi mal..la fuite, la putain de fuite...plus rien n'est positif, on ne vois que noir, que negatif, plus rien n,a d'importance..quand on ce coupe ainsi, la seule chose vivante, c'est notre corps.. le reste, est déconnecté, comme un zombie.. pourtant, la prise est juste la, devant nos yeux..drole comment finalement, on veut s'empecher de souffrir, s'empecher d'avoir peur, et qu'on ce donne plutot plus de mal qu'autre chose..on a peur d'etre quelqu'un..
Citation : Lia a écrit: ... je crois que les limites sont a chaque fois repoussées et que cela escalade.. ce n'est que mon avis encore une fois..
Oui, c'est exactement ce que je pense et je me souviens justement avoir prononcé ce mot "escalade" , au cours de nos discussions il y a plusieurs années avec mon mari. Le problème, c'est qu'ils croient qu'ils pourront maîtriser .
Moi, très clairement, je ne suis pas sûre du tout de pouvoir faire face si il y a dépassement du virtuel.
C'est peut-être ça que ça veut dire, à l'origine, "se donner du mal pour arriver à quelque chose"...Je me donne du mal pour essayer d'être bien dans ma tête... Hélas, ce n'est pas le bon procédé, il aurait mieux fallu essayer de me donner du bien pour être moins mal... En plus, en fait c'est plus facile...Je dirais même que c'est naturel à mon avis, et c'est partir dans une autre direction en se persuadant qu'il le faut parce qu'on est comme ci ou comme ça, qu'on n'a pas envie de vivre comme monsieur tout le monde parce qu'on aspire à mieux, qu'on s'empêche de vivre normalement... Ensuite on s'empêche de revenir à la normale... C'est ce que je veux dire par "pour décrocher, il suffit d'arrêter de s'en empêcher". Plus facile à dire qu'à faire,cependant.
Citation : Mondom a écrit:. Ensuite on s'empêche de revenir à la normale... C'est ce que je veux dire par "pour décrocher, il suffit d'arrêter de s'en empêcher". Plus facile à dire qu'à faire,cependant.
Ah oui, c'est tout à fait ça ! Je retiens l'idée, très bien formulée.
oui, très vrai.. mais ce n'est pas aussi réfléchi et intellectualisé que nous le faisons sur ce forum.. Ou que le font les dépendants qui ont sorti un peu la tête de l'eau..C'est une pulsion.. une compulsion.. et là, le raisonnement n'a pas sa place.. !! Il n'existe pas.. Il y a cette angoisse qui monte et rien pour la raisonner, la réduire.. seulement l'envie de la satisfaire.. peu importe le reste !.. de l'extérieur cela peut sembler ridicule et on se dit qu'avec de la volonté en se bottant le cul.. on peut y arriver.. mais, c'est un mécanisme vicieux et qui n'est qu'un tout petit bout de l'iceberg.. tout petit !!!
tout simplement, une mauvaise habitude peut tout à fait se gommer, une dépendance elle ne se gomme pas, elle habite, elle fait partie de l'être, elle innonde, elle a bel et bien pris une place "vitale"(et ce mot n'a plus sa véritable existence réelle, c'est anti vitale) pour celui qui se l'est infligée, même contre son gré, il la subit, au moment ou la dépendance est en train de faire son nid