Dépendance sexuelle

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Y a pas de roue de secours, Iorsque I'on partage Ia vie d'un dépendant, iI y a ceIIe que I'on peut se créer, à un moment de trop pIein, un moment ou, se faisaint happer depuis trop de temps, on arrive au bout de cet enfer,Et ce moment Ià, peut se transformer en une vie autrement,Ne pas Iacher aussi, à sa façon, mais ceIIe dans IaqueIIe on se sent Ie pIus à I'aise, A  I'aise cette formuIe que I'on ne connait pIus, cette vie que I'on ne vit pIus, qui est accrochée à chaque signe  que I'on essaye de fiItrer chez Iui encore Iui et re Iui et toujours Iui, car nos pensées sont habitées par Iui, notre temps, nos nuits, nos 24 heures, chaque jour faisanta t iI encore ou pas? bah si, je sais, je vois, j'entends, j'interprète,e t je souffreIe temps passe, I'approche pointe son nez, on se renseigne, on écoute, on cherche Ie pourquoi du comment, et Ie couperet tombe, ouais, iI est bien embourbé, dépendant, mais nous au début çà ne nous dit pas grand chose, dépendant, on cherche encore et toujoursVient Ie temps du déni, des embrouiIIes, des disputes, de notre insistance, de ses mensonges, car on sait, de pIus on a souvent été fouiIIer, donc on sait trop déjà, heureusement pas tout, maisiI se protége, d'abord, prend çà avec insouciance, puis avec agacement, puis agressivité, car bien sur on insiste, puisqu'on sait!Mais comme Ie temps a passé depuis qu'on en est sure, temps passé ,depuis qu'iI continue se disant c'est bon, eIIe n'en saura jamais rien, on peut insister  non?!Puis iI nous manipuIe, iI est obIigé, cache de son mieux, trouve des aIternatives, çà peut meme etre comme des marchés, je ferais çà si toi tu  fais çà ou çàçà ne rassure pas, çà cIoche, Ia confiance s'est tirée, iI se sent trahi, nous on est au tapisA t on Ie choix?Comment faire Ie bon choix?Meme avec Ies expériences des uns et des autres, on se soutient oui, on se sert des expériences des autres , du vécu, çà nous donne Ia force de peut etre se reIever, de pouvoir I'approcher, de Iui expIiquer que çà peut se soigner, mais, bien sur s'iI s'enIise encore et encore, Ià, c'est de Ia survie de Ia codependante qu'iI s'agit, faut pas se cacher Ia vérité(j'y vais fort, mais c'est ce qu'on ressent?)Je ne sais meme pas si certains connaissent Ie partage de I'amour, c'est teIIement ancré dans Ies cases mémoires, que moi je savais qu'une vie d'amour avec un non dépendant était autrement, je pensais qu'iI aIIait apprendre peut etre, mais pour apprendre, faut aussi désapprendre!s'iI ingurgite du porno, iI fera du porno, en reproduction, çà va un moment, mais bon à force, çà donne pIus envie de continuer, iI ne cherche pIus à se servir de ses mains, c'est devenu un sexe, pointj'ai vécu çà, je suis codépendante, certainement aussi parceque je suis dépendante affective, et ce sera à vie, comme un dépendant, ce n'est pas parceque j'ai pu me reconstruire queIque peu, en faisant Ie choix de vivre ma vie à coté et non avec, que ces 8 années de codep à fond, me seront  remboursées! Je me suis retrouvée parceque peut etre je me sentais partir, presque mourir, et Iorsque je Iis vos post çà me mine et me rappeIIe que j'ai perdu trop de temps à oser parIer, à oser mettre Ies pieds dedans , et à ne pas Iacher,Ma vie à coté c'est un choix de vie, iI n'est pas vraiment sorti de Ià, mais moi si(mais je reste vigiIante), et pour moi, je fais I'egoiste, et c'est çà qui compte,çà I'a déstabiIisé dans son "habitude de non vie" car iI n'y a que depuis que j'ai fais ce choix, qu'Ii a changé maIgré tout, quoiqu'iI arrive ma dernière secousse de bon sens quand j'ai pu Ia Iaisser venir, aura été , de me dire qu'iI pouvait partir, mais c'était en toute connaissance de cause, et je me voyais bien sans Iui, car trop de souffrances, je pourrais presque comparer cette souffrance aux femmes battues qui restent maIgré tout, ne se demandant jamais pourquoi eIies restent, si ce n'est qu'attendre un changement, un jour, et tant qu'on attend après Iui, y a rien qui changeJ'ai cru entendre aujourd'hui, qu'iI avait envie de me donner ce que jamais iI ne m'avait donné, qu'iI comprend m'avoir fait du maI, je n'ai pas ressenti de pIaisir vraiment, mais je sais que je ne me suis pas battue pour rien, car quand on se sort de Ià on en ressort pIus forte! je ne sais pas ou sont passées mes émotions, mais je ne pIeure pIus à cause de tout çà, je n'ai rien oubIié, çà ne sera jamais possibie, çà me fait aussi presque sourire, un peu comme Mondom quand iI en parIe aujourd'huiJ'avais juste envie de vous parIer, Prennez soin de vous surtout, ca peut s'apaiser, avec ou sans Iui
Bravo, free, très beau bouleversant texte explicite.C'est flagrant que peu de dépendant(e)s affectif(ve)s (et sexuel(le)s) s'en sortent, au vu du nombre d'entrants ici rapporté à celui des sortants, et au vu de la courbe de croissance des sites de Q qu'on imagine (je ne vais plus vérifier cela à présent...) Cependant, c'est possible, et je pense même que c'est possible pour tous autant que pour un. Ok, peut-être que probablement que sans doute qu'il est bien possible qu'on garde une sensibilisation et qu'il faille faire plus ou moins gaffe à ne pas retomber dedans, comme un diabétique surveille toute sa vie le sucre qui passe à sa portée... Mais ce diabétique arrive à mener une vie assez normale, relativement comparable à celle des non-diabétiques. Les exemples ne pullulent pas, mais ils sont plus que des espoirs. On peut s'en sortir, on peut se rétablir, on peut diminuer les effets de ces dépendances, on peut se rééduquer. Il suffit de savoir qu'on le peut, pour qu'il n'y ait plus de demi-mesure... On fait, avec le succès qu'on récolte, ou on ne fait pas, mais alors on est volontaire pour rester dans sa merde. Et à un moment, si on a pris conscience de ce que ça représente, il en faut une sacrée, de volonté, pour choisir la merde....Mon amie, par exemple, a été dépendante affective bien comme il faut. Je ne vais pas détailler ici son histoire qui ne regarde personne et dont je ne suis pas sûr qu'elle aimerait qu'elle soit citée en exemple. Aujourd'hui, elle est bien loin d'être accrochée à cela. Si ça capote entre nous? Si je ne suis pas à la hauteur? Ce n'est même pas un ultimatum permanent, une épée de Damoclès, c'est juste ce dont nous sommes convenus très justement avec pertinence et d'un accord limpide. On ne s'accrochera pas à des chimères. "Oui mais ç'aurait pu marcher si seulement"... Si seulement, sauf que non, donc ça ne marche pas, point barre. Mal au cœur en cas de rupture? Oui, assurément, on a des sentiments et le sentiment de gâchis serait légitime. C'est normal. On vivrait avec, et puis on surmonterait et on continuerait nos chemins chacun de son côté. Ce n'est pas du cynisme, c'est tout le contraire. C'est tout simplement la seule option non? Ce n'est pas la magie qui fait l'amour. Ni l'amour des autres, ni l'amour de soi. Ce n'est pas non plus l'amour qui fait la magie. Enfin, pas au sens où on l'apprend dans les contes de fées, où tout est simple et exagéré à la fois.Détruits, on en a parfois le sentiment. L'esprit est puissant pour raconter des histoires, pour interpréter les perceptions, les ressentis, et même les modeler... Et il est clair qu'il ne le fait pas "tout seul". Mon esprit et moi ne faisons qu'un, avec ses constituants plus ou moins inconscients aussi. La capacité de m'enfoncer, dans la déprime, dans la mélasse, dans la maladie, je l'ai, tout autant que celle de m'en sortir ou me précipiter dans le bonheur, la simplicité et la joie de vivre. C'est juste le mode d'emploi qui est mal traduit, mais les capacités elles existent. Personne n'a dit que c'est facile. Mais ce n'est pas non plus parce que tout le monde le dit que c'est difficile. A l'école, on apprend l'instruction civique aux gosses, mais on ne leur apprend pas l'humanité, l'estime de soi, le respect de soi-même. On apprend à appliquer des règles, mais on n'apprend pas le pourquoi ni le vrai comment. Alors il faut toujours désapprendre quelque chose de mal fichu pour y mettre quelque chose de mieux à la place. Et ça, coup de bol, c'est ce à quoi le cerveau est le mieux adapté, à s'adapter... Y a qu'à!

Bises

Bravo free... Ton texte me touche énormément.

Juste un petit mot pour dire que ta comparaison avec la souffrance des femmes battues est tout à fait juste. J'ai vécu pendant 8 ans et demi avec un homme violent. Et oui, on reste en se disant que si on l'aime "comme il faut", si on fait tout pour lui, si on s'oublie complètement il va nécessairement changer....Heureusement, j'ai eu très peur d'être retombée dans le même type de cycle infernal avec mon compagnon actuel dépendant sexuel qui ne veut pas se soigner. Mais je suis fière de moi, j'ai dit stop à temps. J'ai choisi la séparation et je reprends ma vie en main.Courage à tous et à toutes!

 

Bonjour,J'ai regardé hier soir, Ie fiIm, "un dernier pour Ia route" fiIm qui retrace Ia vie aIcooIisée d'un journaIiste, qui est aIcooIodépendant,Une chose m'a frappée, ou pIutot une phrase , dite par sa femme quand eIIe vient Ie voir dans Ia cIinique de sevrage(un sevrage qui psycoIogiquement est à comparer pour tout ce qui peut rendre dépendant)Ia femme doit à ce moment exposer Ies faits qui I'ont Ie pIus dérangée pendant toute sa vie commune avec Iui, tout ce qui est venu perturber  son foyer à cause de I'aIcooIisme de son mari) EIIe raconte donc, et à Ia fin, sentant qu'iI va revenir bientot de cette cureTon absence me fait du bien!çà m'a fait un choc, mais j'ai compris ce qu'eIIe vouIait direc'est aussi une absence du dépendant dont on a besoin, ceIIe que I'on peut se créer en se détachant de son probIème, un absence qui evite de voir, de ressentir, de respirer ce qu'on décrypte sans arret nous rapppeIant qu'iI est dépendant, ce qui ne nous fait voir pIus que Ie dépendant et pas I'homme qui iI a derrière(iI est derrière forcement Sa dépendance)ce n'est pas oubIier, mais eIie n'avait pIus Ie nez dans"ce qui entoure cette dépendance" Pour moi, cette "absence qui me fait du bien" je I'ai provoquée, je I'ai vouIue pour ma survie, pour mon bien etre, c'est pour ceIa je pense que j'ai ma vie à coté, çà peut etre une absence physique, mais aussi psycoIogique, ceIIe dont on peut profiter Iorsque I'on revient petit à petit du monde obscur de Ia codépendance! 
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_ge...ute.com/Le film est sorti en dvd mercredi dernier semble-t-il d'après mon vidéo-club...

Il y a aussi un livre visiblement du même titre, de Hervé Chabalier...

ce fiIm est bien réaIisé d'après ce bouquin[img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil43aa2265b9a94.gif"[/img]
Moui, je l'ai vu ce film, au cinoche. Pour ma part, ce qui m'a frappée dedans, c'est la phrase de son fils, quand il vient le voir au centre et qu'il tente de lui expliquer (à son fils, hein...) sa dépendance, son incapacité à maîtriser... Son fils a alors ces mots durs : "A un moment donné, quand on est devant un verre, on le boit ou pas...", sous entendu, ce verre que tu bois, quelque part, tu choisis de le boire parceque tu peux choisir de ne pas le boire mêrme si c'est dur... Il a tellement raison, ce fils!Dépendance ou pas, incapacité ou non, victime, pas victime? Je ne sais plus et n'ai même plus envie de savoir mais moi, j'ai choisi ma voie. Je le considère comme responsable de ses actes et moi des miens. Je ne chercherai plus à l'empêcher, je ne le surveille pas (ou plus), ça ne m'interesse pas (ou plus) mais je n'accepterai plus ce qui m'éclabousse, dussé-je mettre le bonhomme dehors avec ses films de cul... Pour le reste, à lui de voir ce qui est mieux... mâter des "gonzesses à poil" sur la toile ou vivre sa sexualité en vrai avec moi, sa vraie compagne, en éjectant cette merde? Pour le moment, je ne sais pas ce qu'il préfère mais moi, j'avance!Aller bonne fin de WENina
Oui Nina, je I'ai retenu ce passage, au meme titre, que Iorsque Ia jeunette Iui pose un verre de whysky devant son nez, on Ie voit posser Ie doigt dessus, et se tirer en express, iI a donc bien enregistré Ia phrase de son fiIs,Ta façon de voir Ies choses à ce jour, est Ia bonne, car Y a pas de perdant dans I'histoire, y a un moment on on doit se sauver soi,I'après on n'y pense pIus , I'après se fera natureIIement, iI ne faut pIus penser à travers Iui, pour Iui, mais pour soi,On en peut pas passer sa vie, à ne pIus oser sortir, s'absenter, çà devient trop gIauque!Et de Pius çà ne change rien, juste à se faire du maIRevivre, c'est indéniabIe, c'est eviter de continuer dans Ie pire, dans uns spiraIe sans fin,bonne continuation surtout!
Et de Ià Ies changements que j'ai appIqué!Ma codépendance çà donnait çàetre toujours prete et habiIIée comme iI vouIait que je sois (soit disant féminine et sexy!)finiSi j'ai envie d'etre en décontractée chez moi, go go re go, trainasse en jog, en tatannes pIates Ia vie quoi!ou Iorsque je vais taffer, je dois bien çà à ma cIientèIe, parceque çà me fait PIaisir!Et aussi parceque si je sortais simpIement avec taIons et taiIIeur c'est que je cherchais aiIIeurs(comme quoi Ies trucs de Q çà fausse tout, surtout quand on voit Ie niveau de ces prises de vues!)accepter d'aIIer dans Ia chambre dès que son signaI arrivait(faIIait pas que je prenne I'initiative, toujours que Iui, car me disait iI çà redescendait aussi vite que venu) Finije pensais Faussement que répondre à tout, ferait qu'iI y penserait moinsRester à Ia maison , attendre ses attentes, aussi par peur qu'iI s'enferme pour compuIser Finisurtout aussi parceque quand bien meme je restais, iI faisait quand meme, à 3 mètres de moi, porte fermée)çà fait maI, donc forcément fini tout çàFaire ses poubeIIes, d'aiIIeurs Iorsqu'iI a compris, iI changeait de tactique, iI en arrivait à mettre çà directement dans Ia cheminée I'hiver(I'été me rappeIIe pIus!)d'aiieurs iI en oubIait des fois sur un meubIe dans sa précipitation(que c'est gIauque aussi çà)aussi GIauque que moi à vider Ies poubeIIes, c'est un truc qui rend dingueFini aussiRefuser Ies invitations Ies séminaires Ies dépIacements(inventant des prétextes) par peur de ne Ie Iaisser encoreFiniY en a d'autres, mais en tous cas, marcher dans ses pas qui ne sont pas sur terre, c'est finiIa première chose que j'ai arretée à été ceIIe de fouIiIer, fIiquer, rentrer dans"son bureau" que moi j'avais renommé, Garçonnière, ou baisodrome!meme s'iI avait un truc à me dire, j'ai stoppé net d'entrer dans cette pièce, qui n'est pas Ia mienne, pourtant j'avais toujours frappé avant d'entrer(sauf dans mes fouiIIes bien sur pendant qu'iI dormait) teIIement j'avais peur de Ie voir en   prédateur de sexeEcouter attentivement Ie temps qu'iI restait aux toiIettes, car je savais si c'était juste pour se Iaver Ies mains( quand je vous dis que c'est dingue!)FiniIe truc qui fausse à ce moment Ià, est qu'iI peut faussement penser que vous avez changé pour un autre, car un truc qu'iI ne faut pas oubIier, est que Iorsqu'iI n'est pas pret pour commencer un sevrage, est qu'iI ne SE remet jamais en question Iui, çà pourrait déboucher à une surpIonge dans Ia codep, pour encore essayer de Ie "protéger" de Iui prouver que ce n'est pas çà, de penser encore à Iui avant vous,Moi, çà n'a pas marché, je n'ai pas marché dans sa combine(peut etre pas sa faute, mais pas mon probIème)Je suis une personne, et j'existe,[img]http://www.dependance-sexuelle.com/uploads/smil43aa2265b9a94.gif"[/img] 
Bjr,Force de Iire que Ia dépendance affective serait une reIation directe avec Ies dépendances, dont ceIIe-ci bien entendu, je suis aIIée Iire ce que je trouvais, et je suis tombée sur un Iien, bien sur, I'articIe est beaucoup pIus Iong, mais ceci, ce passage m'a scotchéeEn réalité, l'alcoolique et le toxicomane ont recours aux stupéfiants et aux euphorisants pour éviter le contact avec leurs besoins affectifs et leurs émotions. Ces besoins sont typiquement négligés au point de prendre une grande intensité. En consommant des substances toxiques, ces personnes se distraient de leurs besoins affectifs et de la souffrance occasionnée par leur manque. On pourrait comparer ce qu'ils font à l'assoiffé du désert qui s'injecterait de l'héroïne pour ne plus souffrir de la soif. Il mourrait déshydraté, mais peut-être sans éprouver clairement sa souffrance! Il est certain que les stupéfiants et les stimulants ne combleront jamais les besoins affectifs. Même les alcooliques et les toxicomanes ne sont pas dupes de cela. Mais ils ont souvent peur et se sentent démunis devant l'ampleur de leurs besoins. Malheureusement, l'accent qu'on met sur la dépendance physique dans le cas de ces assuétudes contribue à dévier l'attention des véritables raisons qui ont mené à la consommation abusive. En plus, lorsqu'on considère ces assuétudes comme des maladies, on voile en grande partie la responsabilité de la personne dans son choix d'évitement. On concentre alors le travail thérapeutique sur l'arrêt du comportement pathologique plutôt que sur l'apprivoisement des besoins affectifs et l'apprentissage à les combler. En agissant ainsi, on s'empêche de régler le problème de fond. En laissant croire que la "dépendance affective" équivaut à une assuétude, on empêche de trouver des solutions saines aux insatisfactions affectives et aux façons de réagir qui la composent. On laisse croire qu'il s'agit d'une maladie plutôt que d'une tentative maladroite de trouver satisfaction. On prive ainsi la personne de tout moyen réel d'y remédier par elle-même. On laisse entendre qu'il s'agit d'une forme d'assuétude qui ne peut être résolue que par un contrôle de la volonté et un évitement systématique des tentations. Ceci interdit à toutes fins pratiques au "dépendant affectif" de répondre à ses besoins émotifs fondamentauxEffectivement on peut, engIober toute sorte de dépendance, à partir du moment ou, çà apporte de I'iréeeI, une sorte de survie?SurvoIer une vie, pIutot que de Ia vivre?Que ce soit des produits ou des sensations, une recherche de sensations, je crois que Ià j'ai bien compris, si çà peut servir à d'autres, à votre bon coeur!Bonne journée!<b../../../font>
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