Dépendance sexuelle

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Réaction:C'est bien gentil, ce qu'il dit. Mais ça fait 5 ans que ça dure, et il t'a fallu prendre ton élan et tout pour enfin pouvoir aborder le sujet avec lui, il faisait l'huître pour éviter ça, et ce que tu dis qu'il répond consiste un peu à botter en touche... "Oui, des problèmes j'en ai, celui-là en fait partie, je m'en occupe, tu peux dormir sur tes deux oreilles"...  Mais aussi "Oh ma pauvre chérie, je n'ai pas osé t'en parler directement bien sûr, mais si tu savais comme cela me peine de te causer du souci"... C'est simple, pour moi c'est loin d'être suffisant.Des médicaments qui permettent de contenir la dépendance au sexe, je n'y crois pas. Je souhaite de tout mon cœur me tromper sur ce fait et qu'il soit authentique et sincère, Baby. Mais je ne crois pas qu'il y ait des médicaments qui agissent sur la conscience pour permettre de déconnecter des sites de cul. Du "Dépornyl" peut-être...?Sa proposition de contenir sa consommation à un niveau "acceptable", on en a déjà parlé. Le niveau acceptable de porno, c'est zéro. Enfin c'est toi qui vois comment tu le ressens. Tant que ça ressemble à "Il faut bien que je me masturbe un petit peu quand même" (comme nombre de dépendants ici avant de prendre conscience de l'étendue du problème continuent de dire...), ou "Un petit peu ce n'est pas grave ou nuisible", l'on reste dans un "Je ne peux pas m'en passer" de supercherie, et ça s'appelle la dépendance. Et ce monstre-là est vorace.Qu'en penses-tu toi, de tout ça? Ce n'est pas logique que tu sois un peu perdue, je trouve. Ta propre opinion devrait être claire, non? Sinon tu te manipules toi-même ou te laisses manipuler? Tu te mets toi-même un petit voile devant les yeux?En tous cas, c'est très très bien d'en avoir parlé. Bravo à 300%.J'en profite, au cas où ils le liraient, pour revenir sur le débat "Dois-je en parler avec ma copine ou pas?" qui agite certains bocaux... Il me semble que chez nos amies les co-deps, il y a plus d'un élément qui explique bien que, si on se pose cette question, c'est qu'on a bien intérêt à le faire... Je ne veux pas forcer ceux qui ont bien établi qu'ils font leur chemin sans en avoir parlé et sont solides avec cette notion à changer d'avis, mais je pense que se poser la question est déjà un élément de réponse...A bientôt, Baby!

 

Je suis totalement d'accord avec mondom !pour moi ce qu'il faut que le dependant comprenne c'est qui aura jamais de solution miracle y a pas de ptites pillules remède miracle, ce qu'il faut c'est arriver à se regarder en face et assumer ce qu'on a fait tout simplement assumer et accepter qui l'on est qu'on a menti oui qu'on a trompé sa femme ou les gens qu'on aimait et apprendre à vivre avec ça et voir ce qu'on peut faire de ça . Est ce qu'un alcoolique peut dire je ne boit que 3 verres par jour ?  Un alcoolique qui veut s'en sortir c'est zéro alcool ! toute sa vie ! toute sa vie il doit apprendre à gérer ses angoisses  sans retomber dans l'enfer de l'alcool. Une addiction sexuelle c'est toujours une addiction!Moi aussi en ce qui conserne le débat en parler ou pas à son conjoint je suis pour, pour moi ça peut pas être une relation sincère puisqu'on biaise automatiquement la relation à l'autre puisque l'autre n'a pas toutes les cartes en main, je ne dis pas qu'il faut tout dire on peut peut etre eviter les details scabreux mais c'est trop facil de dire je ne veux pas le ou la faire souffrir c'est le dépendant qui se préserve parce que peut etre si il ou elle me voit tel que je suis avec mes failles je ne serais plus celui ou celle que je voit dans ses yeux sinon mondom pas mal le "dépornyl" va falloir déposer le brevet !baby penses à toi avant tout , a comment tu vis tout ça ce que toi tu en ressens toi seule saitil n'y a aucunes solutions types même pour les co dép c'est vraiment propre à chacun. courage à toi mais en parler déja est important , ne pas tout accepter sous prétexte qu'il y a de l'amour !

Bonsoir et encore merci pour vos réponses. résultat des courses, réponse écrite du sieur: il n'est plus atteint d'addiction, assume d'aller sur des sites une fois par semaine (à ce qu'il dit), ne voit pas là quelconque danger ni pour lui ni pour moi, pense que s'il devait s'arrêter, ce serait un effort considérable à fournir, mais pas insurmontable. On se demande du coup pourquoi il n'est pas encore parvenu à le surmonter. Mon avis: soit je suis d'une méfiance et incrédulité extrêmes, soit il est dans le déni et ne voit pas la contradiction inhérente au fait de dire: je ne suis plus addict, mais c'est quand même difficile de ne plus aller sur des sites. Je suis immensément triste et démunie.Courage à tous et à toutes 
et oui, Mondom, j'ai voulu y croire, et sûrement que j'ai dû mettre un voile devant mes yeux. Mais C'est aussi avec ces espoirs là que j'ai avancés. Que faire. J'ai les bras ballants, et une impression de vide. Allez, va falloir se ressaisir, the show must go on  
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