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Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 <style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin:0cm; mso-para-margin-bottom:.0001pt; mso-pagination:widow-orphan; font-size:10.0pt; font-family:"Times New Roman"; mso-ansi-language:#0400; mso-fareast-language:#0400; mso-bidi-language:#0400;} </style> Bonjour co-SA. Pas beaucoup de réponses à ton histoire désespérément désespérante.
On aimerait pouvoir solutionner ton problème, mais par le biais d'un forum je doute que cela soit possible, c'est à toi et à toi seule de le faire, même si d'aucun peut te donner ici son avis sur la question.
Que puis-je faire… tout d'abord compatire compatir (non décidément ça ne prend pas d"e" je viens de vérifier) et te dire que je sais ce que c'est que d'être co-dépendant. Ma deuxième femme était sexolique et avait une telle soif qu'elle aurait sauté dès que j'avais le dos tourné sur tout ce qui était aqueux, même un piano, comme disait boby lapointe (mais ce n'est peut-être pas le moment de faire de l'humour, tu n'as peut-être pas envie de rire). Je suis ressorti de cette histoire passablement déglingué et me sentant dévalorisé, et j'ai mis dix ans à m'en remettre. Mais tout ceci est loin derrière moi. Pourtant je ne crois pas avoir été un mauvais amant, je me suis toujours soucié du plaisir de l'autre… Ce n'est pas facile de rompre avec quelqu'un que l'on a aimé et qui ne vous à donné un enfant que pour repartir avec, après sept années passées à essayer de retarder le naufrage du Titanic… pourtant la rupture était la seule solution et j'ai grandement participé à la provoquer, car je n'en pouvais plus.
Suite à quoi c'est cette douleur profonde, intolérable, qui m'a forcé pour ainsi dire à quitter mon moi pour survivre, il était devenu inhabitable, un enfer, j'aurais pu en mourir, j'avais maigri moi qui n'était déjà pas très gras. Il m'a fallu apprendre peu à peu à me détacher de ce moi-souffrance pour entrer dans un espace de paix, où je n'étais pas, apprendre à méditer. J'ai dû faire le choix entre l'amour et la haine et, comme j'étais un artiste, je me suis dit que la haine n'intéressait pas les gens et qu'il fallait trouver la force de retrouver l'amour d'une façon ou une autre. Et je savais que l'amour on ne le trouve jamais à l'extérieur de soi, on le trouve dans son cœur. J'ai lutté pendant des années pour le retrouver. Moi aussi j'ai été tenté de dire : ah la vilaine ! elle me l'a volé. Non, ce qu'elle m'a volé c'était ma dépendance à elle, c'est tout…
Il y a un moment où il faut faire un choix entre sa dignité, la survie de son âme, et son amour pour l'autre. Et dieu sait si j'ai aimé cette fille. (On peut très bien éprouver un amour vrai et être en même temps dépendant -dans le sens pathologique du terme-, ce sont des choses distinctes qu'on a tendance à confondre.) Vingt ans après, je l'aimais toujours, malgré la rupture, malgré que j'aie eu depuis elle des maîtresses, mais ce qu'elle m'a fait subir n'était pas vivable. Je lui avais posé un ultimatum : sachant qu'elle devait se rendre à une réunion où je savais qu'elle allait rencontrer un gars qui allait chercher à la séduire, je lui ai dit : si tu y vas, notre histoire est terminée. Elle y est allée. C'était une forte tête, une forte personnalité. Mais il était difficile de parler avec elle, elle était secrète et en perpétuel calcul de ce qu'elle pouvait faire ou ne pas faire pour préserver sa double vie, son petit jardin des plaisirs vénéneux. Je ne parle pas seulement d'histoires de cul, nous aurions pu partager ensemble des expériences libertines, et nous avons essayé d'ailleurs, mais elle ne supportait pas de me voir approcher d'une autre fille et elle préférait me mentir pour assouvir en douce ses propres turpitudes… en somme elle voulait le beurre et l'argent du beurre, la sécurité affective du couple sans avoir à sacrifier son comportement de célibataire, cela casse complètement toute confiance qu'on peut avoir en l'autre.
Dans un couple il faut être réuni par en bas (le sexe et les intérêts matériels), par le milieu (le cœur, la famille) et par en haut (l'amour inconditionnel et partagé pour quelque chose de plus vaste), il faut pouvoir analyser ensemble la situation, en parler, avoir un objectif spirituel, une sorte d'idéal sur lequel les protagonistes sont d'accord, ça peut être une religion mais ça peut être autre chose.
Si un de ces trois points d'attachement (je ne dis pas dépendance si tu vois la nuance) manque, alors le couple est en danger. Les maintenir vivants et sains c'est la seule garantie sur le long terme sinon, comme disait Beigbeider à sa manière provocatrice, « l'amour dure trois ans ». Le cyberaddict et surtout le sexolique en réel, eux, minent la relation au premier étage. Et s'il n'y a que le cœur pour sauver la situation et que ajna (l'amour inconditionnel du troisième œil) est trop faible, la situation n'est pas viable.
Je t'ai vue plusieurs fois passer sur le site et je me suis dit que cela devait être bien dur pour toi, de constater que personne ne vient t'apporter un espoir ou une solution, même un petit bonjour. Mais le remède dont tu as besoin pour retrouver le bonheur… il faut je me répète que tu le trouves toi-même.
Si tu ne peux pas ou ne veux pas partir et que ton mari ne t'apporte pas ce que tu souhaites, tu risques de t'accrocher à tes enfants d'une façon déséquilibrée. Alors ce remède, il faut que tu le trouves en toi-même. Tu ne parles pas du tout de ta religion, de ta spiritualité, de ta famille, de tes moyens de vie, etc. si tu restes avec quelqu'un qui te rend malheureuse juste pour la commodité matérielle, ce n'est pas un bon calcul, tu risques d'y perdre des choses plus importantes que l'argent ou une maison… tu dis que tu l'aimes, est-ce la seule raison pour rester ou est-ce une excuse… il y a aussi les enfants, je sais que ce n'est pas simple.
Quoi qu'il en soit, tu dois penser à toi. Pas par égoïsme mais parce que tous les êtres vivants naissent seuls et meurent seuls, et qu'entre temps vivre avec les autres est bien difficile. Tu dois trouver en toi cette petite voix qui te connaît bien et qui te dira si tu dois rester ou partir. Et si tu dois rester, arrête de te plaindre, cela ne fait qu'empirer ta douleur. Trouve ce qu'il y a de positif dans ta situation… et retrouve en ton cœur les raisons d'apprécier ta vie… tu as des enfants merveilleux… (ils sont toujours merveilleux pour leurs parents, quoi que... ) Le bonheur ne s'enfuit jamais, personne ne nous le vole, il reste toujours en nous, mais c'est nous qui ne le voyons plus et qui l'enterrons sous des montagnes d'égoïsme que nous nommons amour parce que cela fait plus joli…
Je vais même plus loin : je te dis que chacun se trouve dans la situation idéale pour trouver le vrai bonheur dans son cœur et non un faux bonheur qui n'est qu'une image dans le miroir que nous tend l'autre. C'est une loi spirituelle. Plus la situation est douloureuse, plus c'est parce que nous dormons profondément et plus elle nous est nécessaire pour nous réveiller.
Que tu partes ou que tu restes en somme n'est pas le vrai problème. Le vrai problème est de te mettre en route et faire du chemin en toi-même.
Si tu restes pour te retrouver sexuellement frustrée, prend un amant, ne reste pas impuissante à gémir, tu nous fais mal… T'a-t-il « volé ta part du bonheur » comme tu dis, ou l'as-tu laissé te la dérober sans y prendre garde, parce que tu n'oses pas te penser seule. L'aimes-tu au point de sacrifier, je ne dis pas ta vie, mais l'espoir de vivre au moins une vie meilleure, plus décente ? C'est dur de te lire, on a l'impression que tu es sans force, sans réaction, sans autonomie, autrement dit dépendante. Je crois que les dépendants ont le chic pour se renifler. Qui se ressemble s'assemble, comme on dit. Ils croient avoir trouvé l'âme sœur, mais leur maladie passe avant, ils ne le savent pas encore, et elle vient saboter la relation, parce qu'elle se heurte à la maladie de l'autre.
Aimer quelqu'un n'est peut-être pas accepter de se laisser humilier sans réagir. C'est encore plus difficile et douloureux de dire cela quand il y a des enfants, bien sûr. Te sens-tu capable de t'enfoncer toujours davantage dans une situation que tu n'aimes pas, qui te détruit, jusqu'où pourras-tu tenir ? Penses à eux est-ce sain, comme ambiance familiale ?
Tu termines ta missive de façon désabusée. On sens que tu as abdiqué et que tu ne revendiqueras rien, donc qu'attends-tu de ce forum ? de la compassion ? elle ne te sera pas d'une grande aide, les mots anonymes s'ils peuvent éclairer un peu les choses ne peuvent pas remplacer une famille, l'aide du psychologue (en as-tu consulté plusieurs ?) as-tu cherché des méthodes de développement personnel ? quel est ton rapport avec le sacré ? Les gens d'ici, même les mieux intentionnés doivent avoir une amère sensation en te lisant… celle de ne rien pouvoir faire pour t'aider, car il semble que tu n'aies pas vraiment décidé de le faire toi-même…
On est tenté de te dire que tu mérites mieux que ça, mais on ne peut pas vivre ta vie à ta place… et comme apparemment tu as décidé de rester et d'accepter, on ne peut que te souhaiter que la situation trouve un équilibre, s'améliore et surtout que les enfants n'en souffrent pas trop. Avoir des parents malheureux est la pire chose qui soit, je te parle en connaissance de cause, ma mère s'est forcée à rester avec un homme qu'elle n'aimait plus… Elle allait se cacher dans la cave pour pleurer… imagine l'impression que ça fait sur un môme quand il découvre ça. Il se pose des questions. Des parents dépendants engendrent des enfants dépendants pas par génétique : par mimétisme. J'ai l'impression que dans la communauté de laquelle tu viens, la femme doit rester soumise et que cela t'empêche d'envisager de te révolter… parce qu'au bout de quatre ans de temps entre les deux missives, on dirait que les progrès de ton mari ne sont pas vraiment convaincants. C'est l'impression que ça donne, je peux me tromper.
C'est difficile de donner des conseils à quelqu'un qu'on ne connaît pas, dont on ne sait rien. Donc j'espère que tu recevras mes propos un peu durs avec du recul, et que tu concevras que je ne cherche qu'à te donner des pistes de réflexion utiles. Je ne m'adresse pas qu'à toi d'ailleurs, mais aussi à travers toi à toutes celles et ceux qui vivent des situations similaires. Et leur dire que j'ai vécu ça aussi. Et j'espère que tu me pardonneras de vouloir te secouer gentiment pour que tu te réveilles… et termines ta prochaine lettre par un sourire, une note d'espoir…
Bon courage à toi...
Fritzecat.
Bonjour Fritzecat et merci pour ta réponse. Ta longue réponse confirme mon sentiment c'est que les forums et l'internet ne sont pas pour moi. C'est une forme de dependance en soi de poster et passer beaucoup de temps sur les forums, n'est-tu pas d'accord avec moi? Tu pose des bonnes questions à mon sujet, je crois que finalement je n'ai pas envie de me dévoiler et donner les détails sur mes croyances, ma famille, etc. Je ne suis pas non plus d'accord qu'il faut absolument consulter quelqu'un. Si on arrive à se poser des bonnes questions, d'avoir une capacité de faire une autoanalyse et voir les progres de developpement personnel. Je crois qu'il est important d'être en accord avec soi même, ses valeurs, croyances. Malgré les evenements personels je constate une évolution interne plutôt positif bien qu'acquise dans la douleur et contrairement à ce que peut faire penser mes messages j'avance dans la vie.
Chaque histoire est differente et je suis triste de voir que tu as vécu une experience douloureuse avec ta femme qui t'as marqué à jamais.
Mon temoignage est une sorte de carnet, une façon d'exprimer, de faire un essaie de temoigner pour comprendre si ça me fait du bien ou pas. Peut-être je comprends très bien la situation, j'ai beaucoup de recul, peut-être qu'on a beaucoup parlé avec mon conjoint, peut-être que je vois à quel point mon mari aime nos enfants et peut-être pour tous ces raisons et tant d'autres je ne cherche pas forcément de conseil, de soutien ou de la compassion sur ce forum.Bien que mon message puisse paraitre desesperant, je suis assez sereine. J'ai ma douleur, mon vécu, ma tristesse et blessure, je l'affronte, j'assume mon choix de rester. Mince, on est bien quand on est tous les quatre, on est heureux. Ca se sent, ça se voit. Je ne me voile pas la face. Je sais que je ne reviens pas en arrière. Prendre les décisions à chaud n'est pas une bonne chose. Je n'ai pas vraiment fait le choix de rester ou de partir. Je dirais que je continue ma vie avec mes enfants et mon mari qui veux être avec moi. Sauf qu'aujourd'hui rien n'est plus comme avant. C'est que du temps qui me dira si je veux rester avec lui. Mon mari veut s'ensortir définitivement de sa dépendance. Il se dit de souffrir de ses années et de s'abimer, sans prendre aucun plaisir si ce n'est que d'avoir sa dose. Tous n'est pas rose, il a un enorme chemin à parcourir. Je ne quitte pas un homme qui fait un effort de s'en sortir. J'ai des enfants, un travail, vie sociale et activités sportives qui me mentienent dans la vie réelle. Toutes ces choses que mon mari n'avaient plus ces dernières années. Ca peut parraitre bizarre mais je rayonne comparativement à son état.Voilà, je ne sais pas si je reviendrais regulièrement pour temoigner et ce n'est par parce que je me sens mise en question et on a touché le point sensible sur moi. Je vais temoigner pour moi et pour d'autres qui veulent bien lire mon histroire.Ce we nous sommes allés passer 4 jours à la mer. Les enfants étaient heureux et ont passé plus de temps avec leurs père qu'avec moi. J'en ai profité pour m'évader un peu et passer le temps seule. Mon mari me propose de faire les we à deux et ensuite de partir en voyage. Ca me fait plaisir qu'il pense à ces choses là. Moi j'envie de voir comment ça se passe son sevrage dans le temps. Je me sens souvent triste et détachée. Pourtant notre vie quotidienne a beaucoup changé ces dernières semaines. On est plus réunis. Maintenant il faut voir ce que ça va donner pour notre couple. Je sens que je reste sur mes reserves.
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Bien entendu, j'en suis conscient, j'expérimente la chose, parce que pour l'instant il n'y a rien dans ma vie d'assez fort pour me motiver à passer mon temps sainement. Ça ne durera pas, c'est un passage obligé, où j'essaie de me « racheter » du temps que j'ai passé dans la porno, en aidant d'autres personnes qui y sont encore par mes posts. Dès la fin de la première semaine, j'ai eu conscience que l'expérience serait à la fin décevante. J'en ai parlé par mp avec un ancien du forum qui m'a confirmé mes impressions. Mais le forum est fait pour qu'on le quitte, pour qu'on ne s'y attache pas c'est sa vocation. Donc il n'y a pas de problème avec ça. Lorsque j'aurai dit ce que j'ai à dire, ce qu'il me semble nécessaire de partager autant pour moi que pour ceux qui pourraient avoir intérêt à me lire, je ne resterai pas ici.
Je suis heureux de constater plus de positivité dans ta dernière missive, bien qu'une réserve finale. Qui n'est sans doute que sagesse et lucidité et non, comme le ton de l'autre lettre aurait pu le laisser croire faiblesse. Il est difficile de communiquer par écrit en si peu de mots et avec des gens qu'on ne connaît pas ; ça reste très formel, presque un exercice de style dans le genre de ceux que l'on voit dans les magasines : « le psy Untel répond aux lecteurs ». Ça n'a pas une portée immense. Je dirais que mon intérêt dans la question d'écrire ici est assez littéraire, tu as dû t'en rendre compte si tu m'as lu un peu. Je pense aussi paradoxalement que l'écriture peut permettre d'échanger un certain essentiel, c'est une forme de communication assez spirituelle qui exige d'être vraiment sincère et en liaison intime avec soi-même, son essence et l'essence de l'autre, bien que cela reste mental. Il ne faut pas être triste pour moi (comme toi je donne une impression différente de ce que je suis maintenant en racontant des choses qui remontent à plus de vingt-cinq ans, j'ai eu le temps de m'en détacher, et même si ça m'a marqué, je ne pense pas que cela m'ait fait dévier de mon chemin, plutôt m'y ramener : je suis et ai toujours été une sorte d'ermite, se plaisant dans la solitude et ayant vécu simplement en plus plusieurs expériences de couple). Ces expériences m'ont appris des choses essentielles que je n'aurais peut être pas trouvées dans la solitude. Je pense que le plus important doit être trouvé en soi et non en l'autre. Ce qu'un dépendant a à trouver de plus salvateur se trouve à mon avis dans la solitude puisque précisément sa maladie est de trop s'en remettre à l'autre et pas assez à lui-même. Quoi qu'on ait pu vivre, ce qui a été est inéluctablement inscrit dans le livre de la vie, on peut donc dire que c'était nécessaire. Dieu (la vie) n'inflige pas de sévices gratuitement et tout a un sens. Parfois difficile à décrypter et d'apparence injuste, et c'est précisément le rôle de la spiritualité que de nous aider à le faire. Et comme toi le fond de ma vie est plutôt serein que tourmenté au final. Les émotions que je décris sont des vagues à la surface, et même dans la tempête, le fond reste immobile. Je pense surtout aux gens qui liront nos lettres et qui réfléchiront sur nos parcours, la façon dont on y répond, la façon dont on en parle et la façon dont nous communiquons à leur sujet alors que nous ne nous connaissons pas.
J'ai été très heureux de ta réponse et comme je ne sais trop comment finir ce mot, je vais te souhaiter tout simplement une bonne continuation, prend ton temps pour revenir nous voir et nous donner des nouvelles, tu seras la bienvenue…
fzc