26-02-2007, 16:53
Salut à toutes et à tous!
Il y a longtemps que je n'ai pas posté pour parler de "MOI"! J'ai toujours parlé de "lui", prit soin de "lui", vécu pour "lui"! Maintenant, me voilà!
J'ai prit beaucoup, beaucoup sur mes épaules! Beaucoup trop! J'ai voulu le protéger de lui-même mais j'ai oublié de me protéger, "MOI"! Les dernières semaines ont été très dures mais révélatrices de mes comportements de "co-dépendante" et ce, en grande partie, par les témoignages de vous, "co-copines"!
C'est comme si je m'étais coupée de la réalité, de "ma" réalité, de ma vie, pour faire de la sienne un endroit douiller où rien ne serait suceptible de li faire du mal. Un environnement "visuel" dénué de toutes tentations. Son "obsession" est devenue la mienne! Tout ce qui était "normal" pour moi, avant, est devenu source de grand stress. Je n'écoute plus les émissions de télé que j'écoutais "avant". Et parmis celle que j'écoute, je redoute toujours le moment de la scène 'sensuelle". Moi qui adore les revues de mode, de décoration, les revues artistiques, je n'en achète plus car on y trouve toujours des publicités du genre: une femme nue pour annoncer du "papier-cul"! Il y a un énorme dérapage là-dedans! Pour qu'il ne soit pas agressé visuellement, je me suis coupée de tout. De tout ce qui m'était normal, avant! De tout ce qui est normal, en fait. Tout ce qui m'étais anodin, avant, m'agresse maintenant. C'est comme si je regardais à travers "SES" yeux. Lorsque je regarde, je ne pense qu'à l'effet que cela peut avoir sur lui. Quand on est face à quelqu'un qui a mal, on se dit qu'on préfèrerait que ce soit nous qui ait mal pour épargner à l'autre la souffrance. C'est ce que j'ai fait. À m'en rendre malade. Malade physiquement et obsèdée psychologiquement.
Alors, j'ai décidé de rendre à César, ce qui appartient à César! La semaine passée, mon corps m'a dit: " Tu glisses, ma chérie, tout droit vers l'abîme de la dépression. Tu reconnais les symptômes? Ils sont bien là! C'est vraimnet ça que tu veux?"
Et bien "NON", je n'en veux pas! J'ai prit rendez-vous et je consulte cette semaine. Je lâche prise sur ce qui ne m'appartient pas! Je dois réapprendre à vivre "normalement". Pour "MOI"!
Et tout message d'encouragement me ferait le plus grand bien!
Merci d,être là, co-copines! labardo! :zen2: :love2:
Il y a longtemps que je n'ai pas posté pour parler de "MOI"! J'ai toujours parlé de "lui", prit soin de "lui", vécu pour "lui"! Maintenant, me voilà!
J'ai prit beaucoup, beaucoup sur mes épaules! Beaucoup trop! J'ai voulu le protéger de lui-même mais j'ai oublié de me protéger, "MOI"! Les dernières semaines ont été très dures mais révélatrices de mes comportements de "co-dépendante" et ce, en grande partie, par les témoignages de vous, "co-copines"!
C'est comme si je m'étais coupée de la réalité, de "ma" réalité, de ma vie, pour faire de la sienne un endroit douiller où rien ne serait suceptible de li faire du mal. Un environnement "visuel" dénué de toutes tentations. Son "obsession" est devenue la mienne! Tout ce qui était "normal" pour moi, avant, est devenu source de grand stress. Je n'écoute plus les émissions de télé que j'écoutais "avant". Et parmis celle que j'écoute, je redoute toujours le moment de la scène 'sensuelle". Moi qui adore les revues de mode, de décoration, les revues artistiques, je n'en achète plus car on y trouve toujours des publicités du genre: une femme nue pour annoncer du "papier-cul"! Il y a un énorme dérapage là-dedans! Pour qu'il ne soit pas agressé visuellement, je me suis coupée de tout. De tout ce qui m'était normal, avant! De tout ce qui est normal, en fait. Tout ce qui m'étais anodin, avant, m'agresse maintenant. C'est comme si je regardais à travers "SES" yeux. Lorsque je regarde, je ne pense qu'à l'effet que cela peut avoir sur lui. Quand on est face à quelqu'un qui a mal, on se dit qu'on préfèrerait que ce soit nous qui ait mal pour épargner à l'autre la souffrance. C'est ce que j'ai fait. À m'en rendre malade. Malade physiquement et obsèdée psychologiquement.
Alors, j'ai décidé de rendre à César, ce qui appartient à César! La semaine passée, mon corps m'a dit: " Tu glisses, ma chérie, tout droit vers l'abîme de la dépression. Tu reconnais les symptômes? Ils sont bien là! C'est vraimnet ça que tu veux?"
Et bien "NON", je n'en veux pas! J'ai prit rendez-vous et je consulte cette semaine. Je lâche prise sur ce qui ne m'appartient pas! Je dois réapprendre à vivre "normalement". Pour "MOI"!
Et tout message d'encouragement me ferait le plus grand bien!
Merci d,être là, co-copines! labardo! :zen2: :love2: