02-12-2006, 00:55
Pour s'en sortir.
Une fois que l'on a pris les devants, que l'on a pris son courage à deux mains, que l'on a enfin osé leur parler..Se dicossier.
penser à nous, compter sur NOUS pour redevenir celle que l'on était avant lui.Celle qui est nous, pas celle que l'on n'aime pas, celle qui souffre, qui se plaint, qui se fait une tonne de complexes....
Ne sert à rien de leur répéter chaque jour, de fouiller ce que l'on sait déjà.
De découvrir d'autres choses.Si vraiment çà passe à l'acte, sauve qui peut.
Si on a espoir, après , mais seulement Apèrs notre remise en forme à nous, on peut peut être espérer.
Ne pas perdre de l'esprit qu'ils seront maîtres de :trefle: sortir de cet enfer qui nous pourrit.
Mais que nous pouvons nous en extraire avant, et seules.Autant eux, réclament notre aide, autant nous ne pouvons faire autrement que de nous en sortir seules.
Et pour çà , il faut être nous.Celle qui NOUS plait.Celle dont on est fière.
Alors on pense à nous, on avance, on zappe ce qui nous fait du mal.
Ce qui nous rendra plus à même de comprendre, mais surtout de savoir cette capacité que l'on a à eviter de continuer de souffrir, pas parceuqe l'on est malade, mais parceque l'on se rend malade de la maladie de l'autre.
j'y pense, et je me sens mieux.
Une fois que l'on a pris les devants, que l'on a pris son courage à deux mains, que l'on a enfin osé leur parler..Se dicossier.
penser à nous, compter sur NOUS pour redevenir celle que l'on était avant lui.Celle qui est nous, pas celle que l'on n'aime pas, celle qui souffre, qui se plaint, qui se fait une tonne de complexes....
Ne sert à rien de leur répéter chaque jour, de fouiller ce que l'on sait déjà.
De découvrir d'autres choses.Si vraiment çà passe à l'acte, sauve qui peut.
Si on a espoir, après , mais seulement Apèrs notre remise en forme à nous, on peut peut être espérer.
Ne pas perdre de l'esprit qu'ils seront maîtres de :trefle: sortir de cet enfer qui nous pourrit.
Mais que nous pouvons nous en extraire avant, et seules.Autant eux, réclament notre aide, autant nous ne pouvons faire autrement que de nous en sortir seules.
Et pour çà , il faut être nous.Celle qui NOUS plait.Celle dont on est fière.
Alors on pense à nous, on avance, on zappe ce qui nous fait du mal.
Ce qui nous rendra plus à même de comprendre, mais surtout de savoir cette capacité que l'on a à eviter de continuer de souffrir, pas parceuqe l'on est malade, mais parceque l'on se rend malade de la maladie de l'autre.
j'y pense, et je me sens mieux.