Dépendance sexuelle

Version complète : du nouveau,j'ai craqué, que de souffrances.
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Hello Manue!
Je lui explique tu sais, qu'il n'est pas reprochable( son mot étant je suis réprochable)
Ce qu'il en dit est qu'il a besoin se support avant de le faire avec moi...mais ce que je ne lui ai pas encore dit, est que souvent il le refait seul encore et encore, bon bref la dépendance est là à fond.
Bien sûr il ne se rend pas compte de tout, disant aussi qu'il n'y a pas de mal etc etc etc...
Ce en quoi on a bien avancé est que j'ai tout dit, enfin presque , c'est mon déclic à moi qui lui servira peut être à lui.
Mais je ne sais pas pour toi, les jours qui suivent les longs discours, la varité qui éclate( puisqu'avant il me demandait des preuves, çà a été fait) sont lourds, j'arrête pas de penser, pas les mêmes choses, mais je me dis que çà peut marcher comme çà peut tout foirer.
Mais ce n'est pas çà qui me rend tristounette.C'est le problème des sentiments.
Lui n'arrête pas de me dire "je t'aime", moi je pense à après.Que je mee trouve compliquée, mais ces regards qu'on échange ne sont pas avec de la haine, ce sont ceux de l'interrogation.
Normal, pour moi, je me sens un peu "déglinguée" par tout çà.J'ai trop attendu, mais bon, c'est trop tard.C'est fait.
Je ne le culpabilise pas , en fait, je lui explique que beaucoup sont tombés comme lui, mais il se retranche un peu trop sur le
"je ne suis pas dans les cas extrêmes!
il n'en sait rien, et je n'en sais rien, puis le dégré on s'en fiche, ce sont ses actes à lui, pas la peine de regarder chez le voisin.
Faut que je prenne du temps, de temps en temps pour l'entrainer un peu plus à aller se documenter de faits réels, c'est à dire ici.
Mais il y va à reculons.....
Bon et toi? Comment va?
Bises.........
Laure
bonjour,

2 jours sans en parler avec lui, j'avais amorcé avant hier, mais il a préféré le cachet d'aspirine.
Je pense lui demander ou il en est, a t il réfléchi à demain, comment peut on s'en sortir.Cette semaine a été dure, pour nous deux, je pense, révélations, pleurs, écroulements, mais on a tout de même réussi à parler un peu.
Lorsque j'ai cité ses dependances, il y en a 4, il m'a dit, je ne peux pas tout faire d'un coup, je vais donc commencer par une, celle qui pour lui, lui paraitrait la plus soft.
Y en a deux avec produits, y en a deux psycologiques totales.
çà fait beaucoup, je sais.Et là, en reflechissant, je sais de moi même que le psy est indispensable.
Je ne peux pas toutes les mélanger ses dep, mais elles ont toutes le même effet néfaste, et sont toutes là depuis de nombreuses années.
Puis comme toute compagne( compagnon) de dépendant, on ne connait pas la personne SANS ses addictions, ( en admettant qu'il se soigne) et là, çà fait peur.
J'ai besoin de me reconstruire, 5 ans à subir, mon coté battante a morflé, et lui de se reconstruire aussi.
De là, je me dis juste, j'ai bien fait , mais maintenant c'est ou çà passe ou çà casse.
Tant que le déni est là, j'ai eu des élans de tendresse, pas de dégout ressenti , je vivais avec ses mensonges.Là je l'ai vu et entendu avouer, çà m'a fait un choc.
Je n'ai toujours pas de dégout, d'ailleurs je me pose même actuellement la question pourquoi est ce que nous nous sentons baffouées, trahies, preuve que je vis mieux depuis qu'il a accepté de reconnaitre.Je pense que le mensonge est invivable.Reconnaitre soulage les deux personnes.
J'ai compris que dans son cas, c'est un profond malaise, mais il n'a pas encore bien tilté sur le mal que pouvait faire la dépendance aux charmes extérieurs des nanas, et ce que lui préfère( là je demande pas de détails ).
Il a juste attribué ce besoin, à un échec total de sa première expérience réelle.Il pensait qu'il ne pouvait pas.
Je peux lui expliquer tout ce que j'ai lu, pour qu'il comprenne d'ou tout çà est venu, mais comme il est entartré dans un tas de dépendances, je ne peux pas tout mélanger.
comme il est fragilisé par sa façon d'être ou ne pas être, je ne sais plus comment faire.
S i vous avez des idées, je suis preneuse.Merci.
Quatre dépendances, c’est peut-être quatre moyens de se protéger de quelque chose.
Le quelque chose, tant qu’on le masque par ces moyens de défense, on n’y a pas vraiment accès. Même si on le soupçonne, ce quelque chose (souvent, on l’ignore), il agit, sous contrôle, mais il agit.
C’est en en prenant conscience, qu’on peut espérer s’en débarrasser, de ce quelque chose et de ses masques.
Alors, c’est peut-être à faire d’un coup, mais avec un psy.
Oui Jozepha, c'est ce que je lui souhaite, de pouvoir maintenant prendre conscience qu'il ne pourra se debarrasser de tout çà qu' avec un psy.
j'ai connaissance de passages de sa vie, mais je ne suis pas lui, et ce qui pèse chez une personne, ne pèsera pas forcément chez une autre.Nos capacités de souffrance sont personnelles.
A moi de lui expliquer que seule une thérapie pourra l'aider.
Bjr,

Il va bien mieux côté moral, de là, il ne parle plus de tout çà.Je vais donc lui proposer de faire des petites "mises au point" de ce que l'on ressent et ou en est on.
Il a du penser que çà allait me passer, il faut que je lui dise, non, çà ne me passera jamais.
Mais on a du monde depuis quelques jours, et c'est pas facile de trouver le temps.
En réflechissant oui, on se rassure tous dans la vie, par rapport aux cas les plus extrêmes........
Il doit se dire un jour de gagné, et moi une de perdu.
Il n'a pas arrêté, même si c'est pas à l'extrême" comme il a pu faire, mais je pense qu'il n'a pas tout jeté, et pas trashé toutes ses photos.Et je comprends maintenant sa nervosité lorsque l'on part "que" quelques jours.
Les messages que je lui ferais passer, seront ceux de dépendants, comme lui, pour qu'il mesure l'étendue des dégâts.
Là ou je doute, c'est comme si je lui demandais d'arrêter de "fumer" , ce n'est pas sa décision, et il n'aura pas la même envie d'eliminer cette dépendance, puisqu'il est encore loin de penser que çà peut nuire, il en est resté au " j'aime çà, j'aime le sexe".
Bon , de toutes façons, je ne lâche pas.
A plus.
Laure :-?
Bonjour Laure.

Effectivement, ne lâche pas ! Au risque de me répéter, il va vouloir qu'un nouvel équilibre s'installe : qu'il puisse mener sa petite affaire sans que tu viennes trop l'importuner.
Ne lâches pas le mroceau et dit-lui bien que c'est une erradication complète que tu veux...

Bon courage ! Nicolas (1 mois demain).
Oui Nicolas, c'est ce que je vais lui dire, là, on va dire que l'on est en repos des méninges ici.
Et toi surtout bravo, pour ton premier mois! comme quoi, quand on veut changer, on peut toujours.
:lol:
Tant qu’il y a déni, notre argumentation est inefficace pour convaincre notre dépendant de conjoint. Il y entre beaucoup trop de ‘Ca me fait souffrir’, ‘Ton image de la femme me ferait mépriser la femme que je suis’, ‘Tu passes tout ton temps là-dessus et à peine avec moi’, etc.
Même si nous tentons de persuader en élargissant le débat (le monologue, en fait), nous ne pouvons pas nous empêcher de parler de nous.

Si un dépendant peut encaisser un discours, ce n’est que s’il se rapporte à son intérêt à lui. Au début, du moins.
Bien sûr l’éventualité (ou la menace) qu’on le quitte peut avoir une influence mais ce n’est que de son point de vue (les inconvénients, pour lui).

Les chocs qui le font se remettre en question sont plutôt dus aux témoignages de ses semblables, dépendants ou ex-dépendants. Il lui faut toucher du doigt le risque qu’il court, dans sa propre vie, pour son propre avenir.

Si nous reconnaissons que nous sommes de peu d’importance, nous pouvons aussi admettre qu’en insistant lourdement nous risquons d’être une entrave à leur libération.

C’est pourquoi laisser ‘traîner’ des témoignages de dépendants, le test d’Orroz, des ‘favoris’ renommés de sorte qu’ils soient parlants, un historique d’accès à quelques-unes des références du Wiki, ont plus de chances de le toucher. Il pourra aller y voir sans perdre la face, faire semblant de n’avoir rien lu, il ne se sentira obligé de rien, et peut-être, peut-être y aura-t-il enfin le fameux déclic.

Je ne dis pas que c’est LA méthode ; C’est à tenter… Quand on a déjà tenté tant de choses, une de plus…
rebonsissement ce soir, il est parit, parti dans les bois, nous habitons, dans la nature, après avoir vécu dans les grandes ville.Mais je ne le coirs pas, je sais, qu'il reviendra, au moins chercher ses affaires.
Ce qie a fair déborder le vase, c'est sa mère
je continue, merci;
elle
c'est quand est ce que tu vas récupérer laz couatin,k
moi
merci c'est moi qui ait payé pour la caution, pour la colacation.
LUI Bah esactement ce que je viens d ete dire..... erc...........tec..............
Bon il est parti, on habite dans la nature, mais je pense qu'avec son bagou, il ne sera pas,paumé, et que ilk va atterrir néanmoins ou il veut..........
Tant pis je ne lui ai pas couru après, j'en ai vraiment marre.
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