Bonjour, Ici et là, je trouve qu'il est trop souvent question de Dieu, de son regard sur nos actes qu'il jugerait bons ou mauvais. Quand bien même serait-il sceptique quand à l'existence du Tout-Puissant, ne pensez-vous pas que ces discours fassent un effet inverse sur le " dépendant " ? Le ciel n'aurait-il pas plutôt tendance à renforcer encore le sentiment de culpabilité que l'on éprouve avec le qu'en dira t-on, et donc à accentuer le mal-être, le sentiment d'incompréhension, mal-être que le dépendant voudra sûrement d'autant plus apaiser par le sexe ?Je veux bien que l'occasion de prêcher soit belle, mais entre la trop grande largesse d'esprit que peut avoir une personne qui tombe dans l'addiction, ses besoins affectifs, ses pulsions naturelles ( et non démoniaques ), entre certains désirs humains excessifs qui n'épanouissent personne mais désirs qui reviennent malgré la raison, entre tout ceci et la rigueur de l'éventuelle solution religieuse n'y a t-il pas une complexité de vue philosophique dans laquelle on se sent à coup sûr perdu ? Et pour garder ces deux pôles opposés, quelqu'un de coincé sexuellement et qui ne jure que par l'abstinence en bâillonnant sa libido pour plaire au Seigneur ne se rendra t-il pas, différemment certes, autant " malade " qu'un addict ?
je ne sais pas de quelle religion que tu es.. je ne sais pas, mais pour moi, dans aucune religion que je me suis le moindrement informé il y a culpabilisation.. la seule qu'il y a, c'est celle que la personne ce donne elle-meme.. de part son interprétation personnelle..
Je pense que la religion peut être un point d'appui pour le dépendant ou à l'inverse un boulet.Tout dépend selon moi de son appréhension de la religion, du rôle qu'il lui donne dans sa vie. Quel pouvoir attribue t'il à la religion ? Beaucoup se morfonde effectivement, ne se jugeant pas digne au regard de dieu. D'autre à l'inverse trouve un vrai point d'appui dans la prière ou dans le fait de s'abandonner à dieu.Etant athé je sais que parfois moi caractère trop rationnel peut aussi être un boulet : "dieu n'existe pas et seul moi peut m'en sortir"... Cela aussi rajoute une pression et ne contrin=bue pas à un certain lacher prise, à une acceptation de sa faiblesse face au produit.J'étais au départ très réfractaire à l'idée de se trouner vers la religion, mais après tout l'essentiel c'est d'aller mieux si cela passe part les préceptes de la bible, du coran, de bouddha, des SA, se soi même, finalement quelle importance ?
Croire en dieu doit aider mais jusqu'à un certain point, la nécessaire prise de conscience personnelle et profonde remise en question doit passer par l'individu lui même, après derrière ont y mets ce qu'on veut.
Je ne pense pas avoir été tout à fait bien compris, tant pis pour moi. Merci pour vos réponses et bonne continuation à vous.
je pense qu'il y a délire. en fait Rire et délire...tu connais l'émission tv...salut..oui moi relus deux fois...ton post...et rien compris...une vraie géocache de délire reluigieux...trouve ta voie...et si c'est la voix de Dieu...bien Alléuia..Je te souhaite de trouver la lumière...car je vois tous flou dans tes propos...